De A.R  
 
Chère Jocelyne,
C’est avec une grande joie que j’ai pris connaissance de la remise de votre éminente distinction. Cette Médaille d’or des Valeurs francophones vient opportunément récompenser votre talent et votre belle œuvre.
Dans ce cadre, j’ai lu avec émotion le discours approprié et de grande qualité qui a été prononcé par monsieur Denis Fadda. Sa mise en valeur, d’une part, de la grande sensibilité contenue dans vos ouvrages et, d’autre part, de la richesse de vos récits interviennent avec justesse. Elle permet de rendre hommage à votre engagement à l’égard d’une Mémoire que nous devons impérativement préserver et transmettre aux générations qui nous survivront.
J’aurai plaisir à informer prochainement les présidents d’associations du monde Rapatrié que je réunis régulièrement. Mon collaborateur Marc Benveniste vous appellera afin d’envisager, si vous le souhaitez, votre présence lors de la prochaine édition de la manifestation Au soleil des deux rives, au mois de septembre prochain.
Amicalement
Agnès Rampal
Adjoint au Maire
Déléguée aux Rapatriés
 
 
 

 

De D.L  
 
Chère Madame,
J’ai bien reçu vos messages ainsi que le courrier et le poème qui y étaient joints.
Permettez-moi de vous remercier pour cette délicate attention qui me touche.
La lecture de ces quelques mots chaleureux - choisis avec précision - accompagnés de formules ciselées avec justesse, témoignent une fois de plus de votre maîtrise remarquable de notre belle langue.Vos textes invitent par ailleurs à une certaine réflexion et accordent au devoir de mémoire une place éminemment essentielle.
Sachez que je souscris pleinement à cette approche et considère que la sagesse et l’expérience de nos aînés constituent des témoignages inestimables pour irriguer notre appréhension de la société et des rapports humains.Je suis à ce titre ravi que la Médaille d’Or des Valeurs Francophones de la Renaissance Française vous ait été remise par le Professeur Denis Fadda, saluant ainsi un talent certain et reconnu.
Vous remerciant une nouvelle fois.
Bien Cordialement à vous,
David Lisnard
Maire de Cannes
Vice-président du Département des Alpes-Maritimes
 
 
 

 

De L.F  
 
En ce temps là, c'est-à-dire à partir de 1830 et jusqu'en 1962, pour atteindre le niveau d'excellence, non seulement dans le domaine de l'agriculture, il a fallu à l'ensemble de la population énormément de courage, d'adaptation et de persévérance afin d'acquérir les compétences absolument indispensables, étant donné les difficiles conditions naturellement rencontrées et une certaine hostilité, surtout dans le début de la présence Française.
Rappelons tout de même, qu'en Algérie on avait souvent largement atteint les quelques 95% d'autosuffisance dans ce pays, sans tenir compte des ressources pétrolières. Souvenons-nous aussi que pendant toute la durée des deux grandes guerres 14/18 et 39/45, des dizaines de cargos partaient de France et repartaient d'Algérie vers la métropole pleins à ras bord de chairs à canon en hommes, en chevaux et autres animaux comestibles ainsi que de très nombreuses autres ressources vitales dont tous les produits alimentaires cultivés par ceux qui ont été plus tard lâchement et honteusement trahis.
 
 
 

 

De D.F  
 
Madame,
Je garderai le meilleur souvenir de ce moment émouvant du 23 avril
Comme je m'étais engagé à le faire, je vous adresse ci-joint le texte du discours que j'ai prononcé
J'espère que Nice Matin a fait état du juste hommage qui vous a été rendu.
Que vos mots sont justes ! Vous accomplissez bien plus qu'un devoir de Mémoire; vous remplissez vraiment une mission, celle de sauver et de pérenniser notre Mémoire. Les générations qui nous ont précédés le méritent tant !
Malheureusement, dans leur immense majorité les historiens déforment notre histoire; la vérité ne peut donc passer que par une écriture comme la vôtre.
Madame, votre plume nous est devenue indispensable; continuez, je vous en prie !
Je vous prie d'agréer, Madame, l'assurance de ma respectueuse considération
 
 
 

 

De S.H  
 
Chère Madame J''ai lu et relu et chaque fois avec beaucoup d'émotion. Je vous retrouve dans le discours du Président que je trouve tellement "juste", il a su mettre l'accent sur la sincérité de vos écrit, de vos actes. Je vous adresse mes plus vives félicitations.Merci de me faire partager ces moments exceptionnels; je suis très fière pour vous et pour tout ce que vous transmettez "au futur".Vous voyez bien.... déjà vous rayonniez.... vous êtes née pour "rayonner" .....continuez .... c'est du bonheur que vous donnez autour de vous.....
 
 
 

 

De M.S  
 
Dans toute l'Algérie raisonnaient ces 5 syllabes au son des casseroles !
J'ai été particulièrement touché en lisant votre histoire personnelle, cet épisode de l'abandon de votre chien berger allemand sur le port d'Alger. A la séparation douloureuse de votre terre natale s'ajouter celle de votre compagnon à quatre pattes... Merci pour ce beau poème. Des souvenirs émouvant qui remontent dans nos cœurs.
 
 
 

 

De N.A  
 
Ouah! quel poème
Émouvant magnifique
L'exil magnifique texte merci pour ce partage émouvant.
 
 
 

 

De S.B  
 
Merci beaucoup pour votre gentil message, votre soutien me touche beaucoup, et des mots touchants comme les vôtres sont un véritable baume au cœur.
Merci aussi de trouver intéressant ce que je publie, un compliment de vous a son pesant d'or, merci chère amie
 
 
 

 

De J.P  
 
C'est toujours une joie mêlée de tristesse de vous lire... Nous partageons tant de choses, même ces dimanches familiaux d'antan où nous étions tous réunis autour de Pépé et Mémé, le ciment de la fratrie à deux pattes et des petits-enfants enchantés, les maîtres du jardin aux délices et de la basse-cour dont les poulets et les lapins faisaient nos délices. A l'époque, ils n'étaient pas encore devenus "Papy" et "Mamy"... Ils étaient tout simplement le grand-père qui détenait le pouvoir sur son petit monde et la grand-mère qui savait si bien nous régaler, nous garder pendant les vacances, frotter à la pierre ponce, à l'eau du puits, les coudes noircis ! Tant de simplicité vraie ! Tant de bonheur dans les cœurs ! Jours fragiles, trop vite enfuis !
De J.O
Votre texte, si délicat, est tellement poignant. Il pourrait s'appeler "la nostalgie des racines"... en référence à un beau livre de Mircéa Eliade, "la nostalgie des origines"...
 
 
 

 

De D.B  
 
J'ai eu l'impression d'avoir lu mon histoire je crois que tout est dit ,j'ai vraiment aimé
Votre livre merci pour votre talent....
 
 
 

 

De O.J  
 
Chère Jocelyne, la guerre est un fléau, où qu'elle soit, mais l'homme ne peut s'en passer.
Quant à l'accueil que les "Pieds noirs" ont reçu, c'est une attitude phobique de "l'autre" qui perdure et nous n'en avons pas encore fini. Rien que le surnom donné aux Français exilés d'Algérie, il est bien révélateur de la vision que le gouvernement voulait donner d'eux pour se dédouaner... Quelle est son origine ? Quand est-il apparu ? Qui a lancé ce nom, cette "rumeur" d'un qualificatif au fond de "noirceur" qui déjà entourait les "exilés" d'une aura pas bien brillante. On aurait pu les appeler, vous appeler les Algéro-Français, puisqu'on ne peut pas dire comme les Bretons, quand on veut marquer l'origine, les Français tout court... Je pense qu'ainsi on enferme l'homme, on le délimite comme le territoire qu'on lui impose, on l'y assimile pour qu'il verse son sang pour le défendre au gré de la volonté des Puissants ! Notre terre d'origine est notre sceau mémoriel "minéral"... L'humain, pour être équilibré et heureux, a besoin de connaître son origine, de garder le lien, sinon, au fond, pourquoi vouloir marquer notre origine ? La terre est bien petite à l'échelle de l'Univers !
Il y a tellement de non-dits et de volonté politique derrière toutes ces "appellations" !!! Il faut être courageux pour avoir vécu tout cela et avoir positivé sa vie. C'était un grand, un terrible défi. J'ai connu des personnes qui ont vécu ce drame et n'ont pu le supporter, ils se sont enfoncés dans la folie.
De F.T
Combien j'ai eu de plaisir à lire votre long mail, ( jamais trop long pour moi !). Votre cœur est grand et plein de noblesse. Vous faites la part des choses et des événements: "tout n'est jamais tout blanc ou tout noir" ! Quant au terme de pieds-noirs, le gouvernement français de l'époque et les français de France nous en ont affublé péjorativement. Ce n'est qu'en France que j'ai entendu pour la première fois ce terme. Maintenant les historiens ( qui bien souvent écrivent l'Histoire de l'Algérie sans jamais y être allés ou y avoir vécu ) émettent l'idée que les soldats de Napoléon III, quand ils ont débarqué que les quais d'Alger, portaient des guêtres blanches sur leurs chaussures noires. Or les indigènes qui le plus souvent marchaient pieds nus ou en babouches les auraient appelés les Pieds-Noirs !! ou encore quand les vignerons français foulaient le raisin dans les grandes cuves, ressortaient avec les pieds noirs !
De F.J
Votre récit me bouleverse au point que je ne quitte pas du regard les yeux d' Athos. Je comprends pourquoi votre cœur saigne encore car ce portrait révèle bien le chien exceptionnel qu' il devait être. Je ressens toujours une grande émotion en lisant vos écrits ,émotion due sans aucun doute à la sincérité de vos propos, c'est vrai on n'a rien sans efforts ,tout se gagne à la sueur de sont front ,merci
Divers:
Très belle plume trempée dans la poésie, un régal!
Comme toujours, ta plume court sur le papier et sans nous connaître, tu sais écrire ce que nous ressentons et les souvenirs remontent à la surface
merci pour ce beau texte qui soulage et calme mon âme

Avec des mots simples,des mots de tous les jours vous avez ce don de nous subjuguer merci encore une fois ,j'attends le prochain texte
Je suis personnellement contente de voir que notre histoire est racontée et écrite par de vrais témoins oculaires car il faut que nos descendants sachent et comprennent notre histoire pour que que notre peuple PN ne soit pas oublié

J ai bu toutes vos paroles qui ont glissé sur tous mes souvenirs comme un long fleuve tranquille merci merci
Magnifique j'ai les larmes aux yeux merci pour ce partage d'amour

Quel arbre magnifique et ces paroles d'amour et de reconnaissance pour nous et nos ancêtres pieds noirs . Amitiés
Cet olivier est sublime, il me rappelle la terre de mon pays...Votre poème m'a fait monter les larmes aux yeux, il est magnifique, merci Jocelyne
Extraordinaire. Quelle amour que vous portez pour la terre Algérie!!! . Je suis vraiment ému. Merci
C'est beau, l'olivier c'est aussi le symbole de la paix. Les racines poussent toutes dans la terre d'où nous provenons.
Très beau texte chère Jocelyne ,une déclaration d’amour, une très belle déclaration,pour moi peu importe le premier arbre ,ce qui est important c'est que des Personnes comme vous parlent de cet arbre Avec tant d’amour.
L’histoire de votre grand père est très émouvante j’ai les larmes aux yeux ,il Mérite la haut un immense palais j’espère Qui l’a eu dés sont arrivée.
Tout d'abord pour vous dire que votre prose est irréprochable et fait honneur à la langue française
Très beau développé sur cet olivier majestueux :il a une histoire qui nous touche au cœur nous les Pieds Noir : merci a vous Jocelyne

 
 
 

 

De T.F  
 
Bonsoir  Jocelyne, je suis particulièrement ému pour la distinction que tu viens de recevoir!....et savoir que tu a été récompensée sur des ouvres consacrées à l'Algérie, me touche particulièrement !...le sais-tu peut être ?? je suis né en Algérie, dans une petite ville près d'Oran ( Aïn-Témouchent )...et cette guerre d'Algérie a particulièrement touchée notre famille !!...un traumatisme qui ne s'est jamais "cicatrisé"...bref..cela me ferait énormément plaisir de pouvoir lire l' une de tes ouvres..me diras-tu comment me les procurer ??? Bravo encore pour cette distinction, et peut-être pourrions nous en parler ?
 
 
 

 

De H.D  
 
Je comprends bien votre amour de la littérature et le plaisir intellectuel.. que vous rapporte cette activité a défaut ( j'ai bien saisi ) de mirifiques rentrées financières...est tout a fait légitime... que vous en soyez récompensée et reconnue par la société des érudits... est la moindre des choses...continuez ..à conter notre histoire simple et véridique....pour faire opposition à ceux qui la racontent à leur manière...en la travestissant et en mentant sur ce que nous étions véritablement en tant que petit peuple sur un grand bout de France d'Afrique du Nord...façonné du sang et de la sueur..ainsi que des os de nos anciens.... Par malheur nous avons voulu être plus français que les métropolitains....la suite ..vous la connaissez....
 
 
 

 

De A.G  
 
Chère compatriote, Je vous adresse mes plus vives félicitations pour ce prestigieux titre et la médaille qui l'accompagne. A travers vous c'est toute la communauté PN qui est honorée. Soyez en remerciée, elle en a tant besoin.
 
 
 

 

De M.N  
 
Toutes mes félicitations pour cette superbe promotion. Vous faîtes honneur aux Pieds-Noirs.
 
 
 

 

De M.C  
 
Compliments; nous sommes toujours fiers de voir des pieds noirs distingués
 
 
 

 

De E.S  
 
Bravo. Nous sommes fiers d'avoir des compatriotes tels que vous.
 
 
 

 

De L.M  
 
Je n'ai pas l'honneur de vous connaître mais je vous remercie de me compter parmi vos contacts et de m'avoir fait part de cet événement qui, par votre personne honore la communauté pied noir tout entière. Recevez Madame mes humbles mais néanmoins sincères félicitations.
 
 
 

 

  De J.B  
 
 Bonjour chère compatriote, Je viens de parcourir  votre  profil ,  je vais donc transmettre  votre info sur mon forum  « Familia Oranaise » , pour prolonger  l'information.. à de futurs lecteurs, qui sait....
 
 
 

 

De F.E  
 
Toutes mes  félicitations, mon  grand  père  maternelle  sicilien de  Catane, a  tracé toutes les grandes route   de  la  Tunisie  au  Maroc  pour  la  société  COLAS   (Rulio  GAZZINNI ingénieur  des Ponts et  Chaussés ) et  mon  arrière grand-père  Eugène  ETIENNE   Ministre  des  Colonies, juste  pour  vous  dire  que  comme  vous  il y a une  blessure  éternelle  dans nos  cour, et que  sans  vous  connaître,  je  suis  fier  de votre  réussite Un Pied-Noir  de  Constantine.
 
 
 

 

De J.L.  
 
Je suis très heureux d'apprendre cette nouvelle qui fait, heureusement, remonter dans notre estime les valeurs de nos écrivains Pied Noir. Encore bravo et merci de m'avoir communiquer cette grande nouvelle. Continuer à écrire sur notre pays perdu. A bientôt de vous lire, Toutes mes salutations distinguées.
 
 
 

 

De M.S  
 
Belle récompense...pour un beau travail d'écriture ! Compliments les plus sincères et cordiales salutations. Rubrique "Le phare fouilleur"
 
 
 

 

De J.C  
 
Je tiens à vous féliciter pour la promotion dont vous venez de faire l'objet, dans l'ordre du Mérite national, pour l'ouvre littéraire que vous avez accomplie. ma femme se joint à moi; elle est originaire de Belcourt et moi de Guyotville.
 
 
 

 

De A.M  
 
Madame et chère compatriote, Je vous remercie de me faire part de la reconnaissance dont vous faites l'objet avec l'attribution de cette médaille d'or au titre de la Renaissance Française. A mon tour d'être fier de vous en tant que Pied Noir, car la distinction qui honore l'un des nôtres rejaillit sur toute notre communauté. C'est donc avec beaucoup de plaisir et de reconnaissance que je vous adresse mes plus sincères et cordiales félicitations. Que cette distinction vous encourage madame le "Maître en littérature"  à poursuivre votre ouvre littéraire avec bonheur.
 
 
 

 

De G.R  
 
Chère Madame,  Mille félicitations pour cette belle promotion qui vous fait honneur . Elle vous fait d'autant plus honneur que vous tenez à y associer vos origines et les vôtres, présents et disparus.  Je me permets de vous adresser mes plus cordiales félicitations avec mes remerciements pour l'hommage que vous rendez aux vôtres, dont je suis.  "VITUS"
 
 
 

 

De Y.P  
 
Bonjour chère compatriote. Mon arrière grand-père a cru lui aussi au Père-Noël ! Après avoir été amputé d'une jambe le 21 janvier 1871 lors de la bataille de St Quentin on lui a attribué une concession "facilement défrichable" dans la région de Souk-Arras (il avait déjà 4 enfants). Ce fut une grande misère... Ses cendres doivent se dissoudre également en terre d'Afrique du côté de Guelma... Nous sommes les seuls à pouvoir comprendre ! Toutes mes félicitations pour votre promotion ! Respectueusement.
 
 
 

 

De D.M.L  
 
Votre message a été mis sur le livre d or et une mise à jour dans votre coin qui vous est réservé
 
 
 

 

De G.M  
 
Chère Compatriote Toutes mes très sincères félicitations pour votre nomination plus que méritée. Peut-être sommes-nous parents lointains : ma grand-mère paternelle, originaire de Valencia, s'appelait aussi Mas. Gérard Munera Officier de la Légion d'Honneur 19 Cobb Island Drive Greenwich  CT  06830   USA
 
 
 

 

De H.D  
 
Chère J Mas..   que je n'ai pas l'honneur de connaître...je me permet de vous répondre puisque je suis destinataire de votre avis. Je suis content pour vous et vous félicite....vous avez raison d'être légitimement fière... Vous n'êtes pas la seule a être à la fois... Pieds Noirs...descendante de gens de condition modeste..à accéder a la notoriété....mais vos efforts sont louables...et le résultat vous honore ...   Pour ma part je pense au curieux paradoxe qui vous fait..et nous fait prendre cette belle revanche à travers vous... sur ceux qui nous souhaitaient d'aller nous faire pendre, ou noyer, ailleurs en 1962......   Je suis cependant très amer quand je constate que la Renaissance Française que vous contribuez si brillamment à promouvoir.....est bien mal  défendue par le reste des français (ou tout au moins une bonne partie...) ...en particuliers nos supposées élites...   De reniements en reniements, de compromissions en mensonges historiques....je pense qu'en fait de renaissance...c'est plutôt la décadence qui guette notre Patrie millénaire....!   Courage .....petite soldate des lettres....mais vous serez vous aussi sacrifiée....comme nous le fumes nous, les renards des djebels...  aprés avoir gagné une guerre par les armes.... que l'on nous perdit par le verbe ...! et une alliance avec le Diable de nos principaux chefs. Sincèrement votre........          
 
 
 

 

De F.V  
 
Toutes mes sincères félicitations pour cette distinction très honorifique pour nous «  Pied-Noir » . Bravo.
 
 
 

 

De P.S  
 
Bonsoir Jocelyne, je suis très heureux pour vous de cette reconnaissance qui vous est faite. Je vous transmets toutes mes félicitations et mon admiration pour votre ouvre littéraire. Vous évoquez votre grand-mère qui était fière de son frère... Moi, c'est mon père, orphelin de père très jeune (il avait 5 ans), qui n'est pas allé à l'école à Oran et de ce fait ne savait ni lire ni écrire, à part son nom et qui le jour de ma réussite au Bac Math Elem au Lycée Lamoricière s'en est allé claironner sur tous les toits de Saint-Eugène le quartier où nous habitions mon succès dont il était très fier... Sincères amitiés PN.
 
 
 

 

De R.P  
 
Je voulais simplement vous féliciter pour cette distinction qui n'est certainement pas due au fruit du hasard, bravo.
 
 
 

 

De P.P  
 
Je viens d'apprendre avec joie la haute distinction qui vous a été attribuée et je suis heureuse de vous féliciter. Cet honneur qui vient de vous être consenti pour récompenser votre ouvre participe beaucoup à la reconnaissance de notre communauté qui en bien besoin. Nous sommes fiers avec vous. Je vous remercie et vous adresse encore toutes mes chaleureuses. Félicitations et l'expression de mon amitié en souvenir de Là-Bas.
 
 
 

 

De G.S  
 
Toutes nos félicitations à vous Jocelyne. Toutes nos pensées vont à nos parents et grands parents laissés la bas. Aujourd'hui en ce 26 mars nos pensées vont aussi vers tous ceux qui sont tombés ce jour là. Amitiés d'un enfant de BARAKI
 
 
 

 

De H.V  
 
Eh ! bien ! oui, il y a de quoi être fière, je vous adresse mes sincères félicitations.
 
 
 

 

De A.A  
 
Je vous félicite pour votre brillante promotion au titre de " Maître en Littérature ".
 
 
 

 

De A.D  
 
Votre prose est irréprochable et fait honneur à la langue française. Un grand merci.
 
 
 

 

  De H.L  
 
Magnifiques récits de tranche de vie avec les décors que je connais puisque moi aussi, la côte turquoise m'a vu naître et la côte d'Azur me fait vivre. J'ai aimé lire ces histoires pleine de vérité ou le bonheur et le malheur, ou la joie et la tristesse se mêlent tour à tour et qui laissent un parfum de nostalgie.
 
 
 

 

  De A.R  
 
Toutes mes sincères félicitations chère Jocelyne : récompense méritée qui fait honneur au parcours de si nombreux rapatriés et bien évidemment à votre famille qui a su vous éduquer  dans nos belles valeurs républicaines qui ont été bien oubliées depuis.
 
 
 

 

  De G.C  
 
En lisant votre livre «  Chez nous en Algérie, la méditerranée était au nord » j'ai beaucoup apprécié votre qualité d'écriture, votre sensibilité et votre âme. J'y ai retrouvé des expressions, des habitudes, descriptions que j'ai connues dans mon enfance et adolescence là-bas... Merci infiniment et BRAVO.
 
 
 

 

  De A.A  
 
Permettez moi de vous adresser toutes mes félicitations pour votre distinction. Je comprend votre joie et je partage votre émotion en pensant à votre famille. C'est une très belle histoire que celle de votre famille, cela m'a beaucoup touchée.
 
 
 

 

  De L.M  
 
C'est bien chaleureusement que je vous félicite. Vous représentez dignement la grande famille « Pied-Noir ».
 
 
 

 

De S.H  
 
Que d'émotions ! je suis bouleversée mais tellement heureuse que vous ayez retrouvé votre amie d'enfance. Quel bonheur ! quelle  leçon !  de la vie qui est là... toujours avec tous ses aléas.... elle va où elle veut, comme elle veut... et  enfin,  nous comprenons alors tout ce  qu'elle nous a fait vivre... là où elle nous a entraînés même si le "pourquoi" est parfois incompréhensible, cruel.... Et le temps....  le temps qui passe.... grand maître de tout qui, de toute façon, a toujours raison, oui, mais ce n'est pas sans  " pourquoi ainsi"  qui nous plonge dans de profondes réflexions.....    Et oui ... comme on l'entend très souvent :"c'est la vie"   un bref résumé facile,  accommodant bien des cas......J'espère que vous pourrez vous revoir et revivre ensemble les bons moments de votre enfance heureuse, insouciante mais je crains que les mauvais souvenirs surgissent et vous amènent à revivre des événements tellement douloureux.  Mais comment en faire l'impasse ?    Pensez à demain..... la vie avance .... elle n'aime pas la "marche arrière".....
 
 
 

 

De L.C   
 
Toute mes félicitations pour votre  nouvelle nomination à l'Institution "La Renaissance Française". Oui, nos ancêtres doivent être  fiers de nos réalisations, eux qui n'ont connu que privations, rêves irréalisables.   Quel merveilleux message !  Réconfortant. Une preuve : le dialogue entre nous n'a jamais été interrompu. Nous sommes faits pour nous entendre. Il faudrait que l'on s'écoute un peu plus. Merveilleux message venant certainement d'un être sensible, de cour. Merci de me l'avoir transmis, je le conserve. Trop riche pour le négliger. Nos ancêtres veillent sur nous et nous accompagnent. Nous n'oublions pas leurs sacrifices, leurs peurs, leurs échecs, leur passion pour une terre qui n'a pas toujours été à la hauteur de leurs privations, de leurs efforts. On ne peut pas l'oublier. Ils se sont tant aimés !  Chère Jocelyne, j'éprouve toujours autant de plaisir à lire vos écrits : sensibilité, vérité, sagesse... tout y est ! Touchant !
 
 
 

 

De S H  
 
J'ai lu votre extrait avec toujours beaucoup de plaisir; cette profonde nostalgie qui vous habite me bouleverse chaque fois. Je voudrais pouvoir faire quelque chose mais je me sens impuissante devant cette plaie qui ne se vous quittera jamais; le mal est trop grand......
 
 
 

 

De F.P  
 
Le dernier livre " Attache ta charrue à une étoile » de Jocelyne Mas, femme écrivain reconnue, elle a su trouver son public, qui reconnaît l'élégance de son style et l'universalité de ces histoires dont beaucoup touchent directement, ces gens modestes qui auraient pu être eux aussi, les héros sans grade de ses récits. D'autres aussi, ont pu louer la qualité et la modestie de cette artiste exemplaire.
 
 
 

 

De F.C  
 
Jocelyne Mas nous emmène dans ce pays qu'elle aime tant. Tout au long des ouvrages, aux multiples récompenses, son amour pour l'Algérie éclaire le lecteur, qui se reconnaissant parfois un peu dans le récit, l'oil un peu humide d'une éternelle nostalgie, fait le salutaire chemin de la mémoire. "Les souvenirs c'est tout ce qu'il nous reste. C'est pour cela que j'écris, pour les partager, pour rétablir la vérité et combattre l'oubli. Et aussi rendre un hommage à tous nos parents et grands-parents, car sans eux, sans leur courage, leur travail acharné et leur ténacité, nous n'aurions jamais connu ce si beau pays." "Il était une fois ma ville, Alger la blanche" Baraki le berceau de mon enfance. a été écrit pour nos petits-enfants. Je ne voulais pas leur montrer une Algérie trop sanglante, mais un beau et magnifique pays. Pour qu'ils apprennent à le connaître et qu'ils l'aiment comme nous l'avons aimé : passionnément. Prix des Arts et Lettres de France Préfacé par Jean-Louis LAYRAC : critique littéraire. Voir les autres livres sur Site Internet http://www.jocelynemas.com
 
 
 

 

De C.F  
 
Je viens de terminer votre livre « Chez nous en Algérie, la méditerranée était au nord » , un grand merci pour votre dédicace ; votre écriture subtile et sensible et un baume sur nos âmes abîmées par la rapidité et la dureté du monde moderne..
 
 
 

 

DE R.S  
 
Toutes mes félicitations, pour tant de talent mérité Sincèrement
 
 
 

 

De S.P  
 
Bonjour Madame Mas ! Un grand bravo à vous pour cette remarquable distinction qui honore le chemin que vous avez accompli et dont votre famille aurait été effectivement très fière. Nous ne manquerons pas de rendre compte de cette belle récompense dans la prochaine Revue !
 
 
 

 

De M.B  
 
Séquence émotion garantie! Félicitation au Maître! Bravo pour tout ce que tu fais et qui de plus est reconnu par les plus hautes instances. J'ai admiré ton diplôme et ta médaille. ton mari, tes enfants, ta famille et tes amis peuvent être fiers de toi. Tu es tellement au dessus du lot, tu le mérites. H et moi t'embrassons et te félicitons.
 
 
 

 

De M.E  
 
Nous prenons le temps de te féliciter chaleureusement , nous partageons ta joie et ton émotion BRAVO. !!!!
 
 
 

 

De A.D  
 
"La Renaissance de France" vient de recevoir dans ses rangs la poétesse et auteur Jocelyne MAS. Elle a passé son enfance en Algérie. C'est de Cannes où sa famille s'était réfugiée, qu'elle a écrit ses souvenirs d'un Paradis perdu. Félicitations à l'artiste dont nous publions régulièrement des textes dans notre magazine Paris-Côte d'Azur.
 
 
 

 

De J.P.P  
 
Je vous félicite pour l'obtention de ce nouveau titre et m'est revenu en mémoire, ma propre grand-mère qui avait dû quitter l'école à 9 ans et qui était capable de rédiger une lettre sans aucune faute, sans rature, et avec une écriture attendrissante d'enfant. Je peux vous paraître sot, mais je suis ému. Bravo, Madame, continuez !
 
 
 

 

De S.B  
 
J'ai lu vos lignes pleines de soleil avec une émotion non contenue, décrivant si bien nos sentiments plein d'amour, de tumulte et de souvenirs. Dieu que cela est loin et si proche à la fois.. J ai lu aussi avec intérêt les réponses de vos correspondants dans votre Livre d'Or notamment ceux de nos amis de cour qui sont restés sur notre chère terre..Comme nous avons souffert ..et repensons tous à nos vies passées là bas...nos amis d Algérie où je suis retournée 3 fois ont fait passer le message d'ESPOIR ET D ESPERANCE afin que nous puissions renouer des liens qui nous ont unis durant + de 130 ans...Eux aussi nous leur manquons. Avec l'amitié et la considération d une compatriote.
 
 
 

 

De T.B  
 
Bonjour Jocelyne, Ton parcours prestigieux est tout à ton honneur et très humblement et avec une grande admiration, je te présente toutes mes félicitations. Plus modestement, je suis fils d'immigrés italiens, sicilien (analphabète) et napolitaine et après mes études au Lycée Bugeaud + facultés des lettres, j'ai fait ma carrière dans l'Éducation Nationale, comme professeur de français-anglais, puis instituteur, pour finir Professeur des Écoles Maître-Formateur en Français Langue Étrangère. Je suis à la retraite depuis 20ans et je milite pour la défense de la langue française en étant en relation avec des enseignant-e-s de FLÉ du monde entier. PS: Mon engagement et mon invention "Mon ALPHABET +" 1ère cartographie illustrée (et illustrable) du système grapho-phonétique de la langue française ont probablement été à l'origine de ma distinction de Chevalier dans l'ordre des Palmes Académiques. Ton message me l'a remis en mémoire en me faisant retrouver cette émotion teintée de fierté dédiée à mes parents et grands-parents.
 
 
 

 

De N.F  
 
Toutes mes félicitations, un grand bravo et merci à notre prof de Français Madame Bouchara (t'en souviens-tu?) qui nous a donné goût à la littérature. Bises affectueuses.
 
 
 

 

De J.V  
 
Toutes mes félicitations, C'est une vrai reconnaissance....J'en suis très heureuse pour toi. Je ne crois pas que l'école Chazot peut s'en glorifier... Bien sincèrement à toi.
 
 
 

 

De D.A  
 
C' est au nom de mes amis de la permanence de la Bibliothèque Sonore que nous vous félicitions pour l' honneur qui vous a été fait lors de cette remise de médaille. Nous vous en souhaitons beaucoup d' autres.
 
 
 

 

De D.J  
 
Chère Jocelyne, Toutes mes félicitations pour cette belle et juste reconnaissance,
 
 
 

 

De J.C  
 
Je suis très contente pour votre distinction honorifique. Les " pieds noirs " ont été aussi, touchés qu'une personne de "là bas " les représente aussi bien. Bonne chance à vous pour la suite de vos récits et mon époux se joint à moi pour vous présenter toutes nos sincères félicitations. Bien Cordialement
 
 
 

 

De F.R  
 
Alors d'abord, mes très sincères et admiratives félicitations ! Votre grand-mère, vos parents, de là haut sont très fiers, et je vous remercie de m'avoir prévenue personnellement, cela me touche beaucoup ! Être reconnu est bien plus important que d'être "connu". C'est à ce moment là que l'on prend conscience d'un chemin accompli, qui se révèle en pleine lumière dans le regard de ceux qui vous ont suivie. Que ceci vous encourage à continuer d'écrire, que ceci vous donne des ailes !
 
 
 

 

De A.D  
 
"La Renaissance de France" vient de recevoir dans ses rangs la poétesse et auteur Jocelyne Mas. Elle a passé son enfance en Algérie. C'est de Cannes où sa famille s'était réfugiée, qu'elle a écrit ses souvenirs d'un Paradis perdu. Félicitations à l'artiste dont nous publions régulièrement des textes dans Paris Côte d'Azur...
 
 
 

 

De F.R  
 
Chère Jocelyne, J'avais emporté votre livre sur l'Algérie dont j'ai poursuivi la lecture chaque soir... Ce fut un grand plaisir des sens de découvrir les évocations, les paysages, les senteurs, les essences de votre enfance, - dont beaucoup se retrouvent au bord de l'océan indien !- si sensiblement vivantes et admirablement écrites. Impressionnée de trouver la réplique de mes pensées par moments : ce que vous dites de votre amour de la nature non domestiquée... Ce fut également une épreuve tout aussi intense que de plonger dans l'histoire atroce de la guerre d'Algérie. Bien que gaullien (et non gaulliste comme il aimait à dire), Papa était curieux du sens de l'histoire. J'ai trouvé un livre écrit par l'un des cerveaux de l'attentat du Petit Clamart (Comment je n'ai pas tué De Gaulle), j'y ai découvert des pages fort instructives pour moi sur la pensée d'extrême droite et son rejet viscéral de la république et de ses valeurs. Dans un autre, de Tournoux, la consignation des "pensées" du Général et de ses proches au fil de la crise algérienne tout aussi édifiantes : De Gaulle a toujours été insensible lorsqu'il s'agissait de mettre sa stratégie en actes. Je le sais pour la bataille de l'Authion dont le tabou s'est enfin levé en ce 70e anniversaire, ce à quoi j'ai souhaité modestement contribuer. La France Libre fut un exemple, un idéal à suivre, et nous avons besoin de nous nourrir de ses élans fondateurs ; mais nier ou cacher les travers ne sert à rien, ce n'est pas affaiblir un idéal que de dissimuler les sacrifices qu'il a fallu consentir pour qu'il puisse s'accomplir. Ils font intrinsèquement partie de cette histoire. Je connais bien des français libres d'origine juive qui ont subi l'antisémitisme de leurs chefs. Pour eux, cela faisait partie de la réalité des mentalités de cette époque, celle des officiers sortis du rang... mais cela n'a jamais affaibli leur fierté d'avoir appartenu à la France Libre ni leur conviction d'avoir contribué à ce qui les rassemblait tous : la défense de la liberté de la France, l'honneur d'y avoir participé. S'attacher à ce qui rassemble et élève plutôt qu'à ce qui divise... Quelqu'un a dit que l' histoire de l'Algérie était bien trop complexe à comprendre pour ceux qui ne l'ont pas connue.Et que seule la douleur de la perte nous est humainement compréhensible. Il me semble que votre douleur s'est figée et demeurée telle à travers le temps, elle est la toile sensible sur laquelle vous avez fait revivre et donné à connaître tout ce que vous avez irrémédiablement perdu. Une transmission absolument nécessaire pour tous ceux qui recherchent leurs racines... C'est cette idée puissante que je garderai de ma lecture. Je ne sais si avec le recul du temps qui passe vous acceptez aujourd'hui l'idée que, quelles qu'aient pu être les erreurs politiques commises durant la guerre d'Algérie, le mouvement était inéluctable car non circonscrit à ce seul territoire. Le désir d'émancipation des peuples ( pour des raisons politiques ou religieuses) devint irrépressible à la fin de la seconde guerre, à l'échelle mondiale. Les premiers massacres de Sétif ont lieu le 8 mai 1945... Cette immense vague a en définitive balayé la construction coloniale des générations précédentes Même si cela n'apporte nulle consolation à la perte, ni de justification à l'abandon des pieds-noirs ni de pardon pour notre lâcheté suprême envers les harkis. Ma famille m'avait à l'époque mise en garde sur mon retour... "Tu ne retrouveras rien de ce que tu as connu, il n'est pas bon de revenir sur ses pas..." Ils n'avaient pas tort : la ville où je me suis installée n'avait déjà rien à voir avec celle de mon enfance. Mais j'ai retrouvé intact mon amour de ce pays, aussi puissant que je l'avais laissé mais me contraignant justement à grandir, à appréhender différemment mes visions d'enfance ...De cette époque je garde le plaisir de vivre en se contentant de peu et en sachant apprécier les moindres petites choses....
 
 
 

 

De B.B  
 
Chère Madame, vous savez si bien assembler les mots pour faire éclore une poésie et la vôtre « Joli mois de mai » est si belle !
 
 
 

 

De R.L  
 
Merci Jocelyne, pour ce merveilleux petit poème, ta douceur, ta générosité et ton attention envers moi.
 
 
 

 

De M.F  
 
C'est magnifique. Merci
 
 
 

 

De S.H  
 
Merci infiniment Mme Mas, votre petit poème m'a profondément touchée, c'est vraiment très gentil, vous ne manquez jamais une occasion pour faire plaisir. Encore un gros merci...... je vous embrasse
 
 
 

 

De C.J  
 
Merci pour ce beau poème, cela nous touche beaucoup.
 
 
 

 

De M.E  
 
Un grand merci pour ce joli poème parfumé qui nous apporte aussi le soleil.
 
 
 

 

De A.M  
 
bravo Jocelyne, ce n'est pas souvent que l'on peut lire cette littérature!
 
 
 

 

De K.E  
 
Bonjour Jocelyne, Merci beaucoup pour ce beau poème, ça nous a vraiment beaucoup touché.
 
 
 

 

DE D.J  
 
Je viens de lire votre livre « Il était une fois ma ville Alger la blanche » Merci beaucoup pour ce très beau récit émouvant, tout en odeur et couleur. J'aurai aimé avoir le témoignage aussi détaillé de la part de ma famille.
 
 
 

 

De M.P  
 
Je crois qu'on a dû se croiser plus d'une fois. On allait à Jean-Bart, Fort de l'eau, Staouëli, Cap-Caxine, Baïnem, etc ... J'ai reconnu en lisant « Il était une fois ma ville Alger la blanche » ma vie dans pas mal de passages en famille. C'est un beau résumé de la vie en Algérie. Le retour en France a dû être plus douloureux, avec la perte des parents et grands-parents tant aimés. Mais on est obligé d'avancer. On a quand même, et malgré la guerre, eu une enfance heureuse auprès de parents aimants.
 
 
 

 

De A.O  
 
Bonjour Mme Mas, C'est avec retard que je vous adresse ce petit mot pour vous remercier de votre touchante dédicace et aussi pour vous dire à quel point j'ai apprécié votre bel ouvrage « Chez nous en Algérie, la méditerranée était au nord » sur ''notre'' histoire dans ce beau pays. Mon épouse qui est du Luberon l'a également lu avec grand intérêt, et ma famille le découvrira prochainement. L'histoire qui vous est propre s'est déroulée du côté d'Alger et pour ma famille du côté d'Oran, par vos écrits, j'ai revécu avec beaucoup de nostalgie cette période compliquée de notre passé avec ses bons et ses mauvais souvenirs. Tout y est avec le souci du détail sur l'Histoire, l'atmosphère, l'ambiance si particulière de notre mode de vie, y compris avec les Algériens, les paysages, les parfums, les couleurs, j'y étais.... Je vous dis encore un grand merci.
 
 
 

 

De J.J  
 
Quel immense plaisir que de vous lire....comment ne pas être appréciée avec cette grâce au bout de votre "plume"....Tout y est, délicatesse des mots, précision de la métaphore, chaleur de l'âme, bref ! un régal pour les yeux et pour le cour. Merci d' être devenue une relation privilégiée et de me compter parmi les vôtres. J'en suis très touché. J'ai lu votre allocution et j'en ai eu des frissons, Votre discours m'aura fait chaud au cour....
 
 
 

 

De R.B  
 
Madame, je viens de terminer votre excellent livre et ma femme va en prendre connaissance; ça nous rappelle de très bons moments et de très mauvais !!!!!!! quel parcours ! pour vous et votre famille !!!!!! Famille comme bien d'autres, trahie comme nous les militaires ! c'est une honte qui ne s'effacera pas. J'ai laissé mon cour et mon âme dans ce beau pays qui était notre après toutes les créations réalisées par les pieds noirs !!!!!! Je ne regarde pas les émissions télévisées sur l'Algérie car je passe mon temps à pleurer mes amis morts aux combats "pour rien" !!!!!!! tous ces traîtres, dont certains sont encore en vie, mériteraient les tribunaux.
 
 
 

 

De H.L  
 
Je viens de terminer votre livre « De la Côte Turquoise à la Côte d'Azur ».Magnifiques récits de tranches de vie avec les décors que je connais puisque moi aussi, la côte turquoise m'a vu naître et la côte d'Azur me fait vivre. J'ai aimé lire ces histoires pleine de vérité ou le bonheur et le malheur, ou la joie et la tristesse se mêlent tour à tour et qui laissent un parfum de nostalgie.
 
 
 

 

De J.L G  
 
Je viens de terminer votre livre : « Athos mon chien, mon cour déchiré » J'y ai découvert un gentil petit mot et une jolie nouvelle qui n'est malheureusement pas une fiction. Elle a réveillé en moi des moments douloureux, mais le devoir de mémoire doit primer sur l'oubli.
 
 
 

 

De J.P.B  
 
Durant l'été j'ai lu votre livre « Chez nous en Algérie, la méditerranée était au nord » et il m'a rappelé des jours heureux passé à Bône. J'y ai retrouvé des similitudes de vie et cela fait du bien. Un régal, je crois que vous avez résumé dans ce livre le vécu de la majorité des jeunes Pieds-Noirs jusqu'en 62. La vie en France, là l'adaptation n'a pas été la même pour tout le monde même si généralement cela a été très dur pour la majorité. La place consacrée aux aïeux est très importante et me comble car j'y attache moi aussi une attention particulière. Bref un très bon livre, le roman d'une partie de vie où chacun peut se reconnaître à un moment ou à un autre. J'espère qu'il connaît le succès qu'il mérite en terme de reconnaissance. Je passerai l'encart avec les couvertures du livre, la lettre de M. Peyrat et, si vous le voulez bien, le passage sur la nostalgie qui me plaît bien. Encore merci pour ce beau livre.
 
 
 

 

De F.R  
 
c'est la mémoire de nos parents, d'un pays où l'on a grandi, d'une ville détruite, de la solitude des anciens aujourd'hui, du souvenir de nos proches. Le respect de la vie passe d'abord par celui des défunts... c'est ancré en moi comme en vous. C'est mon jardin secret, ce jardin qui réveille tous les jolis souvenirs d'enfance, cette richesse qui nous accompagne encore et toujours. Je ne peux plus vivre dans mon second pays mais il est vivant en moi. Mais je pense que vous évoquez des impossibilités et des blessures que moi je n'ai pas connues. Ceci me touche donc énormément.
 
 
 

 

De A-M M  
 
J'ai pris grand plaisir à lire votre livre «  Il était une fois, ma ville Alger la blanche ». Moi aussi, j'étais prise par l'émotion car votre histoire m'a touchée. je suis moi-même née au Maroc et, loin d'avoir vécu comme vous l'arrachement de votre terre natale, néanmoins, je comprends pleinement votre nostalgie. L'histoire de votre chien Athos m'a beaucoup touchée. Savez-vous que j'ai eu au Maroc un berger allemand prénommé Hector que nous avons eu tout petit ( il mordillait et déchirait les manches de mes pulls au grand désespoir de ma mère qui les tricotait! )Nous avons un film et des photos  que Papa a faits, où on le voit jouer dans le jardin avec nous et nous l'avons laissé à des amis en repartant pour la France, mais je n'avais que six ans et notre départ a été moins terrible que le vôtre, bien sûr ! Mais, comme vous, je n'ai jamais oublié mon premier chien!
 
 
 

 

De R.F  
 
La lettre des plus élogieuses et méritées de ton Fan..... J'ai beaucoup de points communs avec ton admirateur.  Mes préférences sont : 
     - "Autant en emporte le sirocco"; paysages divinement décrits, quant à l'histoire de Malika et Kader, j'ai vibré tout au long du récit et ravie de ce "Happy End" où je m'imagine bien dans cette petite "Maison du Bonheur" et de sérénité avec tout ce qui l'entoure, animaux compris.         Ce véritable conte de fées, plairait à plus d'un adolescent, ainsi que les adultes  qui gardent encore et toujours un cour d'enfant.....Ainsi que :
     - "Mamie Rosalie de Barcelonnette" Très beau récit, pétillant, chaleureux, très agréable à lire, qui me fait beaucoup penser à ta Grand-Mère.....
     - "Les pionniers" ..... Avec ce Retour si lointain, comment as-tu pu décrire la naissance de notre si belle Algérie avec autant de détails, si bien décrits en si peu de pages (ce qui est bien dommage!) mais où tout est dit!., 
     - "Brocante à Magagnosc", je l'ai adoré! ce Monsieur Schloss est fantastique, très touchant et la fameuse cliente, c'est bien TOI???.... qui par ta plume magique, en a fait un véritable "chef-d'ouvre"....
     - " D; comme Départ, Drame, Désespoir" ; texte poignant, bouleversant et troublant... et une petite question, c'est une réelle tragédie? J'en ai eu des frissons d'horreur et imaginer l'avenir de ces pauvres gosses!. 
     - "Le cheminot et son chien sur la route de St-André des Alpes".... "Grand-père" qui éveille nos douloureux moments passés, gravés à jamais dans nos cours....
-"Le Talisman" quel magnifique conte!.... est-ce-que cette pierre existe vraiment, elle est superbe!.
       -"Les oubliés du dimanche" Comme tes textes sont bien écrits, vivants au point de nous faire regretter de ne pas avoir été des vôtres!.... et ne pas avoir connu tes merveilleux Grands-Parents!.... 
     - "Un petit centimètre" très, très drôle!,.... Mais jusqu'où peut aller ton imagination? C'est dingue, mais très réussi!..... Vu que tu es mon amie, si je trouve ton fugueur "cm", je le prierai gentiment de rentrer à la maison  FISSA, FISSA..... PROMIS! mais sans conviction, car mes 5/6 cm perdus ne sont jamais revenus.... Quelle ingratitude tout de même!..... 
Voilà en gros, mes ressentis et une fois de plus "sincères félicitations".... continues à nous faire rêver..... Tout comme dit "ton fan", c'est un livre à lire et à relire.... Ce que je vais faire également, en espérant ne pas être dérangée cette fois-ci pour mieux l'apprécier..... Mais as-tu remarqué que beaucoup de tes lecteurs se posent souvent la même question; est-ce-vrai ou pas?....
Tant ton imaginaire est immense. Tu es une sacrée coquine, très talentueuse!.    
Je félicite également Sabine Biazot, pour ses magnifiques illustrations!J'adore les couleurs des paysages, la chaise bleue et les canotiers, la confection de la confiture, le désert.... magnifiques! Ses peintures et fusains, sont empreints de délicatesse, de chaleur et de douceur. Quant aux portraits de tes grands-parents, Ton grand-père et toi et celui où tu es seule; comme vous êtes beaux..... Un grand bravo à l'artiste!.


Comme on dit, "quand ça commence mal, ça finit bien" Inch'Allah! et qu'il en soit de même pour la terre entière!....
Comme tout GRAND artiste qui s'ignore, tu doutes de tes talents et te remets souvent en question, ce qui est HUMAIN mais pas normal!.... Comme Je te l'ai déjà dit;  penches toi un peu plus sur "ton livre d'or" (qui est ton meilleur dopant!) pour te rassurer et reprendre confiance..... Laisses vagabonder ton extraordinaire imagination et sur tes pages blanches, les couvrir de ta plume magique, avec tes mots justes si bien décrits, pour en faire - après un très gros travail, (j'en ai conscience) - un nouveau livre qui ne peut que nous apporter du bonheur en les lisant!
Pour répondre à tes questions :
Brocante à Magagnosc : Mr Scholss n'a jamais existé ! que dans ma tête !
Eh bien là, Chapeau!  Quelle imagination!.... Aller jusqu'à remettre en état les pages jaunies et fragiles, si minutieusement repassées!. Tu sais que je te voyais devant ta table à repasser et me dire, mon Dieu!, quelle patience elle a!....    Voilà un petit exemple qui pourrait te faire admettre, qu'il ne suffit pas d'écrire pour devenir écrivain, avoir le pouvoir et le savoir de faire "inconsciemment" pénétrer le lecteur dans ton histoire au point de la vivre au fil des mots!.  Voilà un exemple qui n'est pas à la portée de tout le monde! Tout comme celui de recevoir tant de médailles et trophées! si bien méritées. D'après toi, est-ce-que tu les as aussi reçus, par indulgence?????  D comme Départ : c'est une histoire vraie, le frère et la sour sont décédés l'année dernière à un mois d'intervalle, toujours dans leur petit pavillon de la région parisienne. Le talisman : la pierre est sur mon bureau (je mets la photo en pièce jointe.)
En tout cas, je m'aperçois qu'on met plus de temps à écrire un livre qu'à le lire !! mes lecteurs me disent tous la même chose qu'ils lisent d'un trait et se retrouvent désolés de voir le mot FIN. C'est ce que j'ai ressenti en lisant certaines de tes nouvelles, trop brèves à mon goût, même si tout est dit! et avoir l'impression de se lever de table le ventre en manque, tant le gâteau était beau et bon, qu'une nouvelle part aurait été le bienvenu! Mais ne t'inquiètes pas ça me fait plaisir. Ce soir, j'ai prêté ton livre à ma sour. Après lui en avoir parlé avec enthousiasme, je savais qu'elle n'attendait qu'une chose ; le lire..... Voilà qui est fait,  j'attends maintenant ses impressions.  Bonsoir R, Tu sais que tu as le don de me faire rire ! Tu m'en vois ravie et je le prends comme ucompliment. Tes expressions sont si naturelles et si bien de chez nous qu'on a tout de suite le sourire aux lèvres et le cour en joie. Quant à mon imagination , c'est vrai elle déborde ! mais quand l'histoire est plausible comme pour Mr Schloss, on s'en aperçoit moins que pour "un petit cm" ! tu penses que Mr Schloss existe mais tu sais très bien qu'il n'y a pas de petit cm assis sur le rebord de ma baignoire !!  mais tu me fais mourir de rire, tant le contenu est inattendu et très drôle d'imaginer toutes ces recherches et course effrénée dans les rues, pour le retrouver! faut le faire tout de même!!.... Tu sais quand j'ai vu le titre "le centimètre et l'illustration", je me suis dit, mais qu'est-ce-qu'elle va nous sortir, avec ça?.... Cette histoire "inédite", ferait le bonheur de plus d'un humoriste pour l'avoir et ferait pleurer de rire son public!. Quand je te dis que tu es la meilleure, tu me crois j'espère!.
Mais aussi quand je plonge dans une histoire, je m'identifie au personnage, et mon personnage devient moi. J'imagine qu'elle serait ma propre réaction dans une situation donnée. Comme pour Mamie Rosalie ou Mr Schloss ou Malika ou encore le cheminot et son chien etc ..
Voilà tu sais comment fonctionne ma petite tête !! et je comprends mieux tous ces petits papiers que tu griffonnes tout le temps!.....
 
 
 

 

De S.P  
 
J'ai écouté avec beaucoup d'émotion l'extrait audio : « Athos mon chien, mon cour déchiré » Nous ferons l'écho de l'enregistrement de vos livres dans notre numéro de février.
 
 
 

 

De S.L  
 
Madame Mas,
Je vous écris pour vous dire ce qu'a pensé ma grand-mère de vos livres, en septembre je vous avez eu au téléphone et en réponse à mon bon de commande vous m'aviez posté deux livres que vous avez écrits : « Chez nous en Algérie la méditerranée était au nord, » et » Alger la blanche. » Je n'ai pas encore lu vos livres, ma grand-mère Odile qui est née à Oran et qui est rentrée en France en 1962 les a lus, je les lui avais offert pour son anniversaire. Je peux déjà vous donner son point de vue et ce qu'elle a pensé de vos livres, ensuite c'est sa sour donc ma grand-tante qui les lira puis ce sera moi, ça me donnera une idée de la vie là bas, au temps où l'Algérie était française.

Voilà ce qu'elle m'a dit : 
"Jocelyne Mas décrit exactement ce qu'on a vécu la bas, la plage, la vie là bas mais aussi la crainte avec les attentats, certes je ne suis pas d'Alger je n'y suis allée que deux ou trois fois, je suis plus d'Oran mais seuls les noms de plages et de villes changent mais ce qu'elle décrit est tout à fait vrai et ça décrit exactement ce qu'on vivait les sentiments et les émotions sont très bien décrits. merci pour vos écrits"
Ensuite elle m'a dit avec émotion, "ça a été moche cette fin de l'Algérie Française, on nous appelait les « rapatriés », « les pieds-noirs » terme que l'on utilise encore aujourd'hui mais qui au départ était un terme très péjoratif." Elle me parle aussi de mon grand-oncle qui n'a jamais fait son deuil de l'Algérie Française et qui regarde chaque jour sur google earth la ferme qu'il habitait avant là-bas. Ma grand-mère a bien fait sa vie en France mon grand-père était avocat elle a pu avoir une bonne vie en France mais ça n'a pas été le cas pour tous. Elle me parle de gens qui essayaient d'emmener leurs meubles dans l'espoir de laisser le moins de choses possibles en Algérie. Je suis née en 1983 bien après 1962 mais je veux vraiment connaître la vie de ceux qui m'ont précéder et je raconterai ensuite à mes enfants l'histoire de ces Français nés en Algérie. J'ai encore des ancêtres enterrés là bas.
En tous cas, un grand merci pour vos livres, que ma grand-mère a beaucoup aimé et je ne manquerai pas de vous réécrire lorsque ma grande-tante les aura lu ainsi que moi. 
 
 
 

 

De A.E  
 
D'abord "FELICITATIONS". Je suis très contente de vous voir récompensée et honorée et même je puis  dire : Fière de vous comme si quelque part vous faisiez partie de ma famille. De la reconnaissance et du bonheur tant mieux! J'espère bien lire le livre en entier bientôt. Vous me donnez la procédure pour cette acquisition. Merci
 
 
 

 

De R.F  
 
Ce matin j'avais une intervention aux Archives de la ville de Cannes sur le Thème " la guerre d'Algérie". Il y avait 4 ou 5 P.N. et le reste de l'assemblée : des frangaouis ! Si tu savais ce que j'ai entendu ! Ma pauvre Jocelyne, tu es tombée  dans un sacré traquenard! C'est une honte de voir qu'à l'heure actuelle nous soyons toujours - pour certains -  des indésirables et ils ont l'outrecuidance de nous jeter en pleine figure leurs soi-disantes vérités et voulent - à tous prix -  nous persuader qu'ils nous ont largement aidés et ils sont très déçus de notre "ingratitudes?????" Nous sommes à leurs yeux, des monstres, des assassins et profiteurs, RIEN de plus! et eux, qui sont-ils? pour proférer de telles inepties outrancières?  N'est-ce-pas une forme de Racisme à notre égard? Malheureusement, nous sommes Impuissants devant tant d'injustices et nous ne pouvons pour autant les attaquer en diffamation, comme il se devrait! ce serait une très bonne chose pour leur clouer le bec!.....  J'imagine ce que tu as pu endurer durant cette fatale matinée et je comprends ta colère. Il y a de quoi HURLER!. Que veux-tu, nous sommes des incompris et le resterons à tout jamais, sans trop savoir le pourquoi de cette haine: si tenace et si injuste!..  ON  nous a donné du travail tout de suite, ON nous  a donné des logements, ON a été largement indemnisés, Ben voyons!.... Peut-on vivre longtemps avec cette misère?. Qui n'a rien à voir avec ce que les étrangers reçoivent maintenant, si généreusement; sans aucun droit! Ces abrutis doivent confondre les deux donnes!!!!!! ON a rapportés beaucoup de choses : des plateaux en cuivre.. Eh oui ! avec ça, on peut peut-être reconstruire toute une vie!.....Quelles bandes de C...., tout de même!!.... J'ai rétabli tant que j'ai pû, mais même les PN ne m'ont pas suivis Dans toutes les races il y a des bons et des mauvais, il a fallu que tu tombes justement sur eux. Dis-toi bien que nous-mêmes nous en avons banni plus d'un, car avec "Leurs grosses gueules" ils sont pour beaucoup responsables de cette haine tenace qui nous a beaucoup coûtée. Un oranais parti en 1957 a été très bien accueilli en France! tu parle en 57 ! Fastoche! d'arriver seul avec sa famille, mais arriver par milliers...... la donne n'est évidemment plus la même..... Pour le vote pour l'Indépendance : avec leur OUI fatal, ils n'ont pas pensé une seconde que les pieds-noirs allaient se réfugier en  France qui est NOTRE MÈRE PATRIE!.....     Une autre n'a parlé que de couscous. Décidément ILS ne pensent qu'à la bouffe!... ON leur a fourni des lits, des matelas, des armoires ......... Mon Dieu quelle générosité!!!!! Tout comme toi, je me demande, si je n'ai pas rêvé ce cauchemar où je revois toujours mes Beaux-Parents et la Grand-mère (de plus de 90 ans), installés dans un des trois longs et  étroits couloirs, qui étaient transformés en 6 à 8 chambres, à l'aide de tentures accrochées au plafond en guise de cloisons pour l'intimité de chacun et  (être "meublés" d'un transat - plus qu'inconfortable pour la Mamie! - avec en "guise d'armoire", une chaise branlante pour poser leurs affaires dans leur maigre valise,...rien de plus!... Pour le sanitaire, le coin cuisine et douches ; Une salle reliait ces trois couloirs, où 4 autres familles vivaient avec leurs enfants, et à leurs dispositions, en tout et pour tout : 5 réchauds pour la popote, quelques ustensiles de cuisine, 4 WC et 4 douches. Le tout - bien entendu - sans chauffage!.... Où malheureusement nous avons vécu "notre premier hiver glacial!"..... On n'a tout de même pas rêvé tout cela!, et ce n'est qu'un petit exemple, parmi tant d'autres, pour décrire, cette grande misère qui a été la nôtre durant des mois et des mois!.   On a eu droit à tous les articles de presse parus à Cannes en 1962 pour venir en aide à ces pauvres rapatriés ! Il serait bon de relire les archives de Nice-Matin pour voir jusqu'où la haine peut mener l'être humain et je me ferai un très grand plaisir de leur foutre leurs imaginaires histoires " dignes de l'Armée du Salut" en pleine poire!..... Comment peut-on inventer de telles âneries!.... Ou est-ce peut-être, pour soulager leurs mauvaises consciences!.       Je me demande quelquefois si je n'ai pas rêvé notre départ et notre arrivée. Oh ! la ! la! j'ai encore la colère ce matin. Je te comprends très bien, mais ne te rend pas malade pour cela. Ce qui est bien dommage et inadmissible, ce sont ces quelques pieds-noirs qui, n'ont pas une seconde ouvert leurs gueules pour te soutenir! quelle lâcheté! j'ai honte pour eux.  A ma connaissance, tu as été attrapée à deux reprises; seule dans une arène pleine de fou furieux!..... Tu as tout de même un sacré cran et il te faut une foi inébranlable pour te jeter ainsi dans la jungle. UN GRAND CHAPEAU!.... MAIS, la prochaine fois, fais-toi entourée de gardes du corps.... Bien costauds! pour la toute frêle personne que tu es! et qui ne le mérite pas!. J'ai une conférence prévue en janvier 2015 et là je vais pouvoir dire la Vérité, notre vérité. Je te le souhaite de tout cour! Mais les C... ne sont pas tous morts, malheureusement!.
 
 
 

 

De A.M  
 
Merci infiniment pour ce joli cadeau que je vais savourer comme le décrit votre poème. Il me va droit au cour...J'aimerais savoir moi aussi faire de la confiture de pétales de roses. Je trouve cela si délicat, parfumé, exotique. J'ai aimé votre texte écrit avec poésie et sensibilité.
 
 
 

 

De M.N  
 
Bonjour Madame ,
Je viens de voir les différents livres que vous avez écris sur l'Algérie Je crois qu'ils ne  paraissent pas en Algérie , quel dommage ! car je me serais fait un plaisir de les acheter afin de pouvoir les lire Peut être qu'un de ces jours, je pourrai me les procurer surtout celui sur Baraki. Bon courage et merci de prendre le temps de me lire. Une Algérienne qui aurait aime devenir une de vos lectrice.
 
 
 

 

De M.B  
 
Bonjour Jocelyne, Je viens de recevoir votre livre et je vous remercie pour la dédicace. je laisse passer le week-end pour le lire, je veux le savourer dans un moment calme et personnel. Mais je dois vous dire que je l'ai déjà ouvert à la dernière page et ce qui me frappe c'est le dernier paragraphe, j'ai comme vous, pensé au devenir de mes cendres de la même façon.
 
 
 

 

De E.P  
 
Bonjour Madame,
Je viens de lire votre livre «  Athos, mon chien, mon cour déchiré » J'ai été très attristée d'apprendre votre séparation avec votre chien.  Tant de malheurs pour les humains et en parallèle aussi tous nos animaux de compagnie.ou d'élevage. C'est poignant. J'ai eu successivement 2 chiennes berger allemand et je sais l'attachement que l'on a pour ces animaux et leur regard est inoubliable. Les miennes étaient adorables avec mes enfants  alors qu'ils étaient petits et se couchaient à proximité quand ils jouaient à la balançoire. C'est là un exemple.  Jamais je n'oublierai ces scènes.
 
 
 

 

De P.P  
 
Chère Jocelyne.
Vous avez construit une ouvre magnifique, envoûtante et variée. Je n'ai pas encore lu toutes les pages que vous m'avez transmises, mais votre hommage à "Maman" est bouleversant et si vrai.      Quant à votre recueil de poèmes "Au gré des flots", c'est l'Amour absolu qui domine en toutes circonstances. Je ne choisirai pas l'un plutôt que l'autre: Tous sont si beaux. Merci à vous.
 
 
 

 

De F.E  
 
Merci Jocelyne pour ce magnifique texte, rempli du subtil parfum de la terre de nos ancêtres.
 
 
 

 

De G.B  
 
Merci beaucoup, vos livres me serviront à faire de beaux cadeaux pour la fin de l'année car ils sont véridiques et très émouvants.
 
 
 

 

De G.M.L  
 
Ah ! Madame! Pour moi, à Constantine, c'était le Boussaadi. Qu'est-ce qu'il a pu me terrifier ! Je me revois encore, entrer dans la cuisine et me précipiter dans les jupes de ma mère, en hurlant "Man-man, man-man, ya le boussaadi...." Je vous adresse un grand merci pour cet article et pour la photo qui l'accompagne.
 
 
 

 

De J.L.V  
 
J'ai bien reçu vos livres aujourd'hui et je vous en remercie beaucoup. Merci encore pour votre feuillet sur la fuite de justesse sur vos grands-parents et votre poème, c'est poignant et cela remonte en surfaces que de souvenirs. Merci aussi pour la documentation jointe. Maintenant il ne me reste qu'à lire ces merveilleux livres.
 
 
 

 

De H.L  
 
Le livre « Attache ta charrue à une étoile » de Jocelyne MAS remémore le travail, le courage, la ténacité des ses aïeux. Ce récit montre tous les sentiments que sa famille, proche ou lointaine, a éprouvés. Il dépeint parfaitement le travail des pionniers sur cette qu'ils ont aimée à force de la sculpter. La fin est prenante et très émouvante. Cela prend aux « tripes ». Merci encore, grâce à votre plume, ces souvenirs me resteront graver à jamais.
 
 
 

 

De G.M.L  
 
Ah ! Madame, En lisant votre texte sur le Bousaâdia je me suis souvenu pour moi, à Constantine, c'était le Boussaadi. Qu'est-ce qu'il a pu me terrifier ! Je me revois encore, entrer dans la cuisine et me précipiter dans les jupes de ma mère, en hurlant "Man-man, man-man, ya le boussaadi...." Je vous adresse un grand merci pour cet article et pour la photo qui l'accompagne.
 
 
 

 

De V.L  
 
Chère Madame, Je me suis endormi très tard cette nuit car j'avais, dans la soirée, commencé votre livre « Il était une fois ma ville, Alger la blanche » et je n'ai pas pû m'arrêter tant cette histoire est prenante. J'ai eu souvent les larmes aux yeux. Votre style est fluide comme une eau claire. J'ai apprécié aussi votre retenue, votre pudeur dans les descriptions des circonstances dramatiques de votre départ. Je comprends maintenant ce que vous et vos compatriotes ont dû souffrir. Je vous remercie de ce merveilleux livre qui m'a permis de connaître enfin ceux que l'on appelle « les Pieds-Noirs ». Continuez Madame à nous charmer et à écrire.
 
 
 

 

De G.L  
 
Ton livre « Nos amis les chats et les chiens » m'a beaucoup plu ! Une fois de plus j'ai du verser quelques larmes car toutes ces histoires ne me laissent pas insensible. Encore merci d'écrire de si belles histoires.
 
 
 

 

De S.C  
 
Nous venons de passer un très agréable moment grâce à vous. Sur votre site Internet vos photos de l'Algérie ont ravivé beaucoup de souvenirs dans l'esprit de mon époux. Son père aussi faisait partie de la Territoriale.
 
 
 

 

De J.J  
 
Je suis très fière de vous, merci de faire revivre nos racines. Je suis née à Alger.
 
 
 

 

De F.M  
 
Bravo pour tous ces beaux articles parus dans le Magazine « Paris-Côte d'Azur ». Le choix des sujets est excellent. C'est par eux et en les transmettant que l'on arrivera à convaincre la véritable histoire de ce que nous sommes et de notre travail qui a fait de l'Algérie ce qu'elle est devenue.
 
 
 

 

De P.L  
 
Je viens de lire votre livre « De la Côte Turquoise à la Côte d'Azur » : un enchantement ! je vais le relire car il mérite mieux que d'être exposé sur un étagère d'une bibliothèque. Bravo ! J'adore votre style : clair, simple, émouvant. Continuez à écrire pour notre plus grand plaisir.
 
 
 

 

De P.P  
 
Chère Jocelyne,
Vous avez construit une ouvre magnifique, envoûtante et variée. Je n'ai pas encore lu toutes les pages que vous m'avez transmises, mais votre hommage à "Maman" est bouleversant et si vrai. Quant à votre recueil de poèmes "Au gré des flots", c'est l'Amour absolu qui domine en toutes circonstances. Je ne choisirai pas l'un plutôt que l'autre: Tous sont si beaux. Merci à vous.
 
 
 

 

De G.A  
 
J'ai lu ton livre et je me suis régalée. Quelle clarté dans ta manière de t'exprimer. Une évidence. On se laisse faire et on te suit dans ton univers naturellement; C'est peut être parce que nous avons le même vécu et donc le même ressenti.
Bravo.
 
 
 

 

De J.P.M  
 
Ce message est adressé à l'Association Nationale des natifs de Guelma.
« J'ai découvert cet été un très bel ouvrage sur notre Algérie. J'ai été séduit, transporté en lisant ces lignes, l' Histoire racontée par cette dame... c'est la nôtre, on peut s'y retrouver dans chacune de ces lignes. Pour nous Guelmois, la mer était loin, mais nous avons tous gardé le souvenir de cette nature qui nous entourait, nous avons tous faits corps avec ce pays qui nous manque tant, nous sommes comme le dit Jocelyne Mas ( c'est l'auteur) non pas des rapatriés mais des déportés. Nous sommes la dernière génération Pieds-Noirs. Nos enfants et surtout nos petits-enfants risquent d'avoir une toute autre vision de notre histoire. Effectivement quand nous aurons disparu, que restera-t-il de notre drame ? Alors il faut écrire, il faut lire, il faut laisser notre empreinte. Il faut absolument que notre descendance soit au courant. Aussi je me permets de te demander d'inscrire ce livre dans la revue des Guelmois ; l'achètera qui voudra mais ceux qui le liront ne resteront pas indifférents.
Titre « Chez nous en Algérie, la méditerranée était au nord »
Adresse : Jocelyne MAS, immeuble l'Empire, 20 Av des Tignes 06400 Cannes.
jocelyne.mas@gmail.com ou www.jocelynemas.com
PS : il va de soit que je n'ai aucun intérêt dans la vente de cet ouvrage. »
 
 
 

 

De G.A  
 
Tu me fais pleurer. Bon ! je te pardonne et te fais de grosses bises pour ce texte magnifique. Comme toujours d'une grande clarté d'écriture qui nous mène à l'évidence de cette souffrance qui est en nous. Au delà de notre apparente tranquillité.
 
 
 

 

De F.E  
 
Merci Jocelyne pour ce magnifique texte, rempli du subtil parfum de la terre de nos ancêtres.
 
 
 

 

De N.R  
 
J'ai pris plaisir à découvrir vos écrits, à la lecture des articles élogieux vous concernant, je tiens à vous remercier d'être une si talentueuse ambassadrice de notre communauté. Ce passé que vous avez si brillamment décrit vivra grâce à vos écrits. Merci Madame de nous faire partager vos émotions.
 
 
 

 

De S.B  
 
Un grand merci Jocelyne pour ce beau texte que je relis avec plaisir. On devrait faire lire tes livres dans les écoles pour que les jeunes d'aujourd'hui comprennent l'Histoire avec des mots d'amour et non pas avec des dates et des théories.
 
 
 

 

De F.M  
 
Un grand merci pour vos écrits. Vous écrivez si bien, d'une façon si touchante que les larmes perlent à nos yeux sans qu'on s'en aperçoive. Vous avez un sens de la description digne d'un Giono ou d'un Pagnol. On respire avec vous les enivrants parfums de notre terre tant aimée. J'ai adoré vos livres, encore merci.
 
 
 

 

De S.L  
 
Bien chère Madame MAS Je viens de lire un livre que vous avez écrit « Chez nous en Algérie la méditerranée était au nord ». Tout d'abord merci beaucoup pour ce beau livre, chargé d'émotion, je vous l'avais acheté en septembre dernier et vous l'aviez dédicacé pour ma grand-mère Odile. Ma grand-mère avait dit que vous décriviez exactement ce que ma famille a vécu certes pas aux mêmes endroits car dans ma famille est d'Oran mais la vie était la même. Le premier chapitre du livre parle d'insouciance et d'après ce que dit ma grand-mère les piques-niques en bord de plage et la vie là-bas était calme et sans soucis. J'ai aimé vous lire car j'ai pu mieux comprendre ce qu'a vécu ma famille du côté paternel. J'ai beaucoup de choses à dire sur ce que vous racontez et décrivez d'abord les odeurs ça devait sentir très bon entre les orangers, les citronniers et les eucalyptus, une odeur marque un souvenir et le fait rejaillir quand on en sent à nouveau.   Ensuite ce qui m'a marquée c'est l'eau saumâtre, ça m'a surpris et étonné de voir que le café ou le thé se faisait avec cette eau salée finalement. Vous en parlez à un certain passage et c'est en en parlant à ma grand-mère qu'elle m'a expliqué. J'ai pu voir aussi la peur que vous avez pu vivre, c'était la guerre et il n'y a pas d'autres mots. Les arméniens n'ont plus d'Arménie et les Pieds-Noirs n'ont plus leur pays. Ma grand-mère m'a aussi raconté les marchands de z'oublies qui criaient : « les z'oublies les z'oublies !! » pour les vendre. Mon père qui est né à Oran, aime boire de l'anisette et comme vous en parlez aussi  dans le livre.  Ma grand tante fait très souvent de la tarte aux épinards et à la soubressade.    Votre livre respire ce qui est vécu et maintenant que ce pays n'est plus il ne reste que la mémoire et les descendants. Beaucoup de pied-noirs sont morts ou âgés.  Je n'ai pas d'enfants mais quand j'en aurai je leur raconterai l'histoire de ce pays qui n'existe plus. Merci pour votre livre, et il y a une chose encore que j'aimerais dire, je vous ai lu et j'ai aussi compris que les français de métropole ne vous ont pas bien accueilli lorsque vous êtes rentrés. J'ai été surprise en regardant « le coup de sirocco » d'Alexandre Arcady en voyant Roger Hanin dans le rôle de M. Narboni demandant s'il y a un tarif réduit pour le train pour les rapatriés et que l'agent SNCF rit et répond que non ! ça a dû être dur ce retour, trouver du travail, s'habituer au climat de la France métropolitaine. Votre « père » M. Fougère a mis du temps avant de retrouver du travail. Vos retrouvailles avec M. Lévêque est touchante et émouvante, moi comme vous, je n'aurais pas pensé à retrouver son vrai père pour toucher un quelconque  héritage comme le sous-entendait sa compagne. D'après votre livre vous êtes retournée en Algérie dans les années 80 quel bouleversement. Dans ma famille, ils n'y sont jamais retournés. Ma grande-tante a une connaissance qui est Algérienne et elle lui a demandé des photos mais ça a beaucoup changé. Je finirai en disant que la blessure de ce pays à jamais perdu n'a jamais cicatrisé. Entre la peur du FLN, les valises dans l'eau avant le départ sur le « Ville d'Alger » les humiliations et le non-soutien du Général De Gaulle ce dernier qui avait libéré la France en 1945, ce n'est pas le même Général dont on me parle dans ma famille. Vous, vous êtes mariée avec Alain vous avez eu des enfants, des petits enfants , votre livre au parfum de souvenirs m'a beaucoup plu. Aussi vous écrivez très bien, encore merci. A très bientôt je vais lire d'autres livres de vous. Je pourrai encore en parler des heures mais je crois avoir noté ce qui me paraissait le plus frappant pour moi : tout quitter, prendre l'essentiel, ça n'a été ni drôle ni facile. J'aurais aimé voir Notre-Dame d'Afrique et y faire des prières. Aujourd'hui beaucoup d'arabes vivent en France, ils ont l'air très différents de ceux que vous avez connu là bas. En France ils vivent dans des cités et l'intégration n'est pas une mince affaire. Le sujet est complexe et c'est un tout autre sujet. Encore merci pour votre livre, il faut continuer à témoigner  car comme vous le dites il n'y que l'écriture et la mémoire qui feront que l'on n'oubliera jamais ce pays et que vous êtes la dernière génération à l'avoir connu. BRAVO et MERCI
 
 
 

 

De Anonyme  
 
Merci infiniment pour ce livre que vous avez eu le courage d'écrire. Je l'ai  «dévoré » en me retrouvant chez moi. J'habitais à Ténès, petite ville où tout le monde se connaissait, mes meilleures amies étaient juives et arabes. Mais j'ai aussi vécu de 1959 à 1961 à Alger, d'abord pour aller au lycée Delacroix puis aux facs. J'ai bien sûr connu les lâches attentats, l'Otomatic, le Milkbar ; ai participé au concert désespéré des casseroles. Le 24 janvier j'étais aux premières loges pour voir les CRS descendre du plateau des Glières, pour courir alors que cela tirait de tous les côtés. Je pense comme vous que notre devoir est de raconter à nos enfants d'où nous venons, ce que nous avons vécu de joies, de peines et de déchirement. Pour cela j'ai réalisé pour eux un DVD à partir de documents trouvés sur le NET. J'ai aussi commencé à écrire pour eux un peu mes mémoires. Comme vous j'ai toujours rêvé de retourner voir ma ville, les coins enchantés de notre enfance mais je n'ai pas eu votre courage et ne sais si je réaliserai ce rêve un jour. Tout a changé comme vous l'écrivez si bien. Une amie arabe habitant à Alger m'a retrouvée grâce à Internet et m'invite ?... J'ai adoré votre livre. Donc merci encore. Vous avez la chance d'habiter au bord de notre grande bleue !...Le paradis pour une pied-noir  «exilée » dans les Alpes !...
Amicalement.
 
 
 

 

De Anonyme  
 
Ma chère Jocelyne, bien sûr que nous étions dans la même classe.   Sur les photos : Février 59, je suis au premier rang debout : jupe plissée claire, pull. Décembre 59, 1er rang assise au milieu 6ième. Novembre 60, 2ème rang - 4ième après le prof d'Anglais.   Quand tu as annoncé ton nom de jeune fille Lévêque, j'ai eu un retour en arrière. La vie nous réserve des surprises......cinquante ans plus tard nous nous retrouvons , quelle agréable rencontre que ce café philo !. Nous sommes restées 3 années à Chazot de 58 à Juin 61, après la 3ième chacune est partie.... moi j'ai fait le CREPS  mais pas longtemps hélas.... La suite nous la connaissons. Quant à Arlette je pense que nous avons été orientées dans une autre 4ème, car je ne la retrouve pas sur les photos. Je te fais parvenir deux photos : classes de 6ième et 5ième avec Arlette.
Bises affectueuses de ta camarade de classe.  
 
 
 

 

De M.C.M  
 
J'ai une grande admiration pour votre Oeuvre , empreinte d'émotion ... Je serai heureuse de vous revoir .
 
 
 

 

De R.J  
 
J'ai bien consulté votre site et vu les photos de Baraki, c'est très émouvant . Votre site est très bien fait et très intéressant.  Avec votre accord, je pourrais publier sur notre site quelques photos de Baraki en particulier celles sur la cité Récazin que j'ai extraites et légèrement retouchées  (Photos en pièces jointes).    J'ai vécu à L'Arba dont toute ma famille maternelle (Pello) et paternelle (Rey) sont originaires. Nous sommes rentrés en France en Juin 1962 en laissant tous nos biens. Mon père Rey Louis était professeur de mathématiques Au lycée de Maison carrée , mon oncle Rey Auguste était professeur agrégé de Sciences naturelles au lycée Bugeaud à Alger (prépa Agro)   Mon arrière grand-père Auguste Rey est arrivé à l'Arba en 1851 venant de la Hte Garonne , il était carrossier Charron et faisait partie du lot de colonisation venu coloniser la Mitidja.   Mon arrière grand-père maternel François Thomas Pello est arrivé vers 1853 venant d'Espagne , région de Valencia. Il était agriculteur. Voilà quelques réalités sur notre histoire  qui ressemble à toutes les histoires des pieds noirs d'Algérie ....
 
 
 

 

De S.C  
 
Je me permets de vous contacter car ma mère ne me parle que de vos ouvrages sur l'Algérie, pays de son enfance. Je souhaite lui offrir pour son anniversaire qui est le jeudi 06 août "Il était une fois ma ville, Alger la Blanche" et "Chez nous en Algérie, la méditerranée était au nord". Je vous envoie le bon de commande. Et merci beaucoup
 
 
 

 

De Charly Cassan  
 
Un grand merci pour le livre de votre chien Athos. C'est vraiment très émouvant.   Bérangère s'est empressée de le lire, ensuite moi et Charly.   Très belle écriture, vous méritez les mentions et les médailles, car c'est un régal de vous lire.   Dès que nous aurons terminé le livre "Chez nous en Algérie, la méditerranée était au nord »." nous vous dirons ce que nous en pensons pour le destiner au cinéma.
 
 
 

 

De C.M  
 
Madame, Je vous remercie d'avoir écrit ce recueil de Nouvelles qui sont fraîches mais au combien profondes. Fraîches car le style est clair, simple et clair comme l'azur, limpide comme l'eau, lumineux .. Profondes car; avec peu de mots, mais au combien choisis, pesés, vous décrivez tout simplement la vie avec les odeurs, les senteurs, les sentiments, les rencontres, les personnalités et ce des deux côtés dela mer;. Vous avez rassemblé contes et histoires différentes avec toujours un amour de ` l'être humain. Chaque personnage apporte sa personnalité et concourt à rendre l"Humanité meilleure. Vous avez un style poétique c'est à dire que votre prose est empreinte de poésie." « Chère Madame, Je viendrai vous voir à Juan-les-Pins afin de faire connaissance avec la "Femme de l'Année "! Vous parlez dans votre éditorial avec beaucoup de délicatesse de votre réinsertion sur la Côte d'Azur, tout en gardant ancrés dans le coeur vos souvenirs rémanents et lancinants du pays natal. Les termes que vous employez me touchent d'autant plus que j'ai vécu le même déchirement conjuré en partie toutefois, par le fait d'avoir pu y revenir pour y travailler un temps, puis y être allé ensuite en visite touristique". Quand vous parlez de Chréa, j'y allais souvent en week-end pour skier, depuis Blida, en passant par les gorges de la Chiffa, pendant mon service militaire au ler RTA. A bientôt le plaisir de vous rencontrer.
 
 
 

 

De G.T  
 
Chère amie,
au sujet de vos interventions dans les lycées et collèges, je vous dis merci d'apporter la bonne parole dans les jeunes esprits trop souvent formatés à la pensée ambiante, sans discernement.Vous connaissez votre sujet et la mémoire de nos parents ne doit pas disparaître.Votre sourire saura gagner les cours. Je suis sûre que ce sera très bien et très utile. Quant à l'enregistrement de vos livres, je vous félicite car ils apportent du soleil dans les cours. Je vous embrasse.
 
 
 

 

De M.O A  
 
Chère Madame,
Toutes mes félicitations à l'occasion de la sortie de votre nouvel ouvrage, je lui souhaite beaucoup de lecteurs qui,  j'en suis certaine seront captivés par l'évocation de cette Algérie que vous portez dans votre cour.  Longue vie à votre livre  sur les présentoirs des libraires!
 
 
 

 

De E.P  
 
Bonjour Madame,
J'ai été très attristée d'apprendre votre séparation avec votre chien.  Tant de malheurs pour les humains et en parallèle aussi tous nos animaux de compagnie.ou d'élevage. C'est poignant.
J'ai eu successivement 2 chiennes berger allemand et je sais l'attachement que l'on a pour ces animaux et leur regard est inoubliable. Les miennes étaient adorables avec mes enfants  alors qu'ils étaient petits et se couchaient à proximité quand ils jouaient à la balançoire. C'est là un exemple. Jamais je n'oublierai ces scènes.
Je vous adresse toute mon amicale sympathie.
 
 
 

 

De M.B  
 
Bonjour Jocelyne,
J'ai lu votre livre «  Il était une fois Alger la blanche ».... et d'un seul coup, je l'ai dévoré !!!!

Dans votre livre, il y a faits troublants qui se rapportent à ma vie. Vous parlez de la rue Sadi-Carnot, moi j'étais près du Bd Baudin et rue Sadi-Carnot les beaux parents de mon oncle avaient un café (Mr et Mme Campora), vous étiez à l'école St Marcienne (ou était ma cousine Marie-Jeanne Baldacci), moi j'étais pas loin rue Clauzel dans l'école Denise Ferrier. J'allais au Parc de Galland, au grand bassin, le lycée Delacroix était presque en face de ma rue, puisque j'habitais rue Berlioz, cette rue qui descendait au Bd Baudin.
Le 26 mars j'étais parmi la foule lors de la fusillade, un instant que je ne peux oublier.

Tous les mercredis avec ma mère nous allions à l'Opéra, et les cimetières étaient lieu de promenade quand nous allions sur la tombe de mes grands-pères.

Votre livre est magnifique ! plein de rebondissement auxquels on ne s'attend pas, quelle belle histoire faite de mots touchants, qui décrivent bien notre vie en Algérie.
Et votre vie, on pourrai en faire un film !
Je pense continuer de vous lire en commandant d'autres livres.
Merci encore. Toute ma sympathie.
Je vous embrasse comme une sour.

 
 
 

 

De D.D  
 
Bonjour, Je viens d'acheter et de lire dans la foulée votre livre "Il était une fois ma ville Alger la blanche » et je me suis régalée. - Je suis née en 1948 à l'hôpital Mustapha puis ma petite enfance (pauvre mais si heureuse) s'est passée à Blida (Moulins Ricci)et ensuite l'errance familiale à la recherche d'un appartement décent et peu cher (Cap Matifou, Fort de l'eau, maison blanche (mon père travaillait à l'aéroport .. et nous venions juste de décrocher un bel appartement HLM tout neuf à Maison Blanche mais il a fallu partir ... la suite est aussi difficile à encaisser, accueil pourri on nous prenait pour des arabes, on nous parlait aussi des lions !! et on nous a même fait dormir dans une grange (c'était en Ariège) j'avais un petit frère de deux mois alors ! après deux années difficiles la mutation de papa est arrivée pour ... Marseille - il était temps ! J'ai fait en 2010 le voyage retour à Blida avec mon mari maison-carréen, bel accueil mais quel désastre ! tout s'écroule. Bon ! c'est fait ! mon coeur est en paix et j'ai ramené pour mon père une poignée de terre déposée au cimetière pour lui qui avait envie de ce voyage retour mais il est mort à 63 ans !!tout cela pour vous dire que je me suis retrouvée dans votre récit. Félicitations et merci. Mon frère et moi avons fait des récits familiaux à l'ordinateur et cela restera pour les enfants et petits enfants qui ne s'y intéressent pas pour l'instant mais un jour peut être seront-ils contents de connaître leurs racines!!! amicalement.
 
 
 

 

De S.PR  
 
Merci de tout cour pour ces mots délicats, à l'image de votre plume ensoleillée. Je vous fais une bise reconnaissante !
 
 
 

 

De S.P  
 
C'est toujours aussi beau ce que tu écris !
 
 
 

 

De A.M  
 
Chère Jocelyne,
Merci infiniment pour ce joli cadeau «  La noce des roses » que je vais savourer comme le décrit votre poème. Il me va droit au cour... J'aimerais savoir moi aussi faire de la confiture de pétales de roses. Je trouve cela si délicat, parfumé, exotique. Votre texte est écrit avec poésie et sensibilité.
 
 
 

 

De J.L T  
 
Bonjour Jocelyne,
Je viens de terminer , en prenant bien mon temps, je le concède, votre livre :
«  Chez nous en Algérie, la méditerranée était au nord » j'ai énormément aimé. Que de souvenirs, que de frissons, de joies et aussi de tristesse à repenser, à revoir notre beau pays à jamais perdu pour nous et ce qu'il est devenu.......... Je vous remercie encore pour ce bel ouvrage. Comment oublier tous nos compatriotes assassinés, torturés. Ils sont à jamais dans nos cours et dans nos mémoires........... merci JOCELYNE.
 
 
 

 

De N.S  
 
Madame Jocelyne MAS notre Amie nous présente ses ouvrages extraordinaires. Je vous invite à découvrir ou redécouvrir sa poésie ensoleillée qui berce le souvenir de nos anciens. Pour les autres elle charmera nos yeux de ses beaux mots doux.
 
 
 

 

De B.B  
 
Un grand merci ! Je vous admire beaucoup.
La lecture du livre « 1962. Le Départ. Sur le quai du port d'Alger, mon chien Athos » est tellement émouvante. C'est inadmissible, cela prouve combien toutes les valeurs de compassion, d'altruisme sont balayées en de telles situations. J'ai ressenti en moi toute votre souffrance.
 
 
 

 

De L.C  
 
Chère Madame,
J'ai lu l'article de la Revue « Cannes Soleil » ce matin. Concernant vos livres audio.
Je vois que vous êtes toujours très active. Félicitations. Votre ouvre est mise en valeur et l'article bien documenté, lui donne encore plus de relief. Bravo !
 
 
 

 

De R.F  
 
Je viens de finir ton livre « De la côte turquoise à la Côte d'Azur »
Je te donne mes impressions :
- "Autant en emporte le sirocco" : les paysages sont divinement décrits. Quant à l'histoire de Malika et de Kader, j'ai vibré tout au long du récit et je suis ravie de ce "Happy-End". Je m'imagine bien dans cette petite "Maison du Bonheur" et de sérénité avec tout ce qui l'entoure, animaux compris. Ce véritable Conte de fées plairait à plus d'un adolescent, ainsi qu'à des adultes qui gardent encore et toujours un cœur d'enfant.....

- "Mamie Rosalie de Barcelonnette" : Très beau récit, pétillant, chaleureux, très agréable à lire qui me fait beaucoup penser à ta Grand-Mère.....

- "Les pionniers" : ..... Avec ce Retour si lointain, comment as-tu pu décrire la naissance de notre si belle Algérie avec autant de détails, si bien décrits en si peu de pages (ce qui est bien dommage!) mais où tout est dit!.

- "Brocante à Magagnosc" : je l'ai adoré! ce Monsieur Schloss est fantastique, très touchant et la fameuse cliente : c'est bien TOI???.... qui par ta plume magique en a fait un véritable "chef - d’œuvre"....

- " D : comme Départ, Drame, Désespoir" : texte poignant, bouleversant et troublant... et une petite question : c'est une réelle tragédie ? J'en ai eu des frissons d'horreur à imaginer l'avenir de ces pauvres gosses!.

- "Le cheminot et son chien sur la route de St-André des Alpes".... "Grand-père" qui éveille nos douloureux moments passés, gravés à jamais dans nos cœurs....

-"Le Talisman" : quel magnifique conte!.... est-ce que cette pierre existe vraiment ? elle est superbe !.

-"Les oubliés du dimanche" :Tes textes sont si bien écrits, si vivants au point de nous faire regretter de ne pas avoir été des vôtres!.... et ne pas avoir connu tes merveilleux Grands-Parents!....

- "Un petit centimètre" : très, très drôle!,.... Mais jusqu'où peut aller ton imagination ? C'est dingue, mais très réussi !..... Vu que tu es mon amie, si je trouve ton fugueur "cm", je le prierai gentiment de rentrer à la maison FISSA, FISSA..... PROMIS! mais sans conviction, car mes 5/6 cm perdus ne sont jamais revenus.... Quelle ingratitude tout de même!..... Tu m'as fait mourir de rire, tant le contenu est inattendu et très drôle. Imaginer toutes ces recherches et cette course effrénée dans les rues, pour le retrouver ! faut le faire tout de même!!.... Tu sais quand j'ai vu le titre « Un petit centimètre » et l'illustration, je me suis dit, mais qu'est-ce-qu'elle va nous sortir, avec ça?.... Cette histoire "inédite" ferait le bonheur de plus d'un humoriste pour l'avoir et pour faire pleurer de rire son public!. Quand je te dis que tu es la meilleure, tu me crois j'espère!.

Voilà en gros, mes ressentis et une fois de plus mes "sincères félicitations".... continue à nous faire rêver..... Comme dit "ton fan", c'est un livre à lire et à relire.... Ce que je vais faire également, en espérant ne pas être dérangée cette fois-ci pour mieux l'apprécier..... Mais as-tu remarqué que beaucoup de tes lecteurs se posent souvent la même question; est-ce vrai ou pas ?..tant ton imaginaire est immense..... Tu es une sacrée coquine, très talentueuse!.
Je félicite également ton illustratrice Sabine pour ses magnifiques illustrations! J'adore les couleurs des paysages, la chaise bleue et les canotiers, la confection de la confiture de rose, le désert.... magnifiques! Ses peintures et fusains, sont empreints de délicatesse, de chaleur et de douceur. Quant aux portraits de tes grands-parents, de ton grand-père et de toi, celui où tu es seule : comme vous êtes beaux..... Un grand bravo à l'artiste!.
 
 
 

 

De R  
 
Comme tout GRAND artiste qui s'ignore, tu doutes de tes talents et tu te remets souvent en question, ce qui est HUMAIN mais pas normal!.... Comme Je te l'ai déjà dit; penches-toi un peu plus sur "ton Livre d'Or" (qui est ton meilleur dopant!) pour te rassurer et reprendre confiance..... Laisse vagabonder ton extraordinaire imagination sur tes pages blanches, couvre-les de ta plume magique, avec tes mots justes si bien décrits, pour en faire - après un très gros travail, (j'en ai conscience)- un nouveau livre qui ne peut que nous apporter du bonheur en les lisant!

Concernant « Brocante à Magagnosc » Eh bien là, Chapeau! Quelle imagination!.... Aller jusqu'à remettre en état les pages jaunies et fragiles, si minutieusement repassées!. Tu sais que je te voyais devant ta table à repasser et je me disais : mon Dieu ! quelle patience elle a !.... Voilà un petit exemple qui pourrait te faire admettre qu'il ne suffit pas d'écrire pour devenir écrivain, il faut avoir le pouvoir et le savoir de faire "inconsciemment" pénétrer le lecteur dans ton histoire au point de la vivre au fil des mots!. Voilà un exemple qui n'est pas à la portée de tout le monde ! Tout comme celui de recevoir tant de médailles et trophées ! si bien mérités. D'après toi, est-ce que tu les as aussi reçus par indulgence?????

C'est ce que j'ai ressenti en lisant certaines de tes nouvelles, trop brèves à mon goût, même si tout est dit! c'est comme l'impression de se lever de table le ventre en manque, tant le gâteau était beau et bon, et qu'une nouvelle part aurait été la bienvenue!.
 
 
 

 

De R.F  
 
Chère Jocelyne, Un grand merci pour ce cadeau inattendu et inespéré..... «  1962, Le Départ. Athos mon chien » Que d'émotions avec Athos et sa maîtresse!. Vous m'avez fait vivre des moments intenses devant mon chevalet et je peux vous affirmer que ce sont de très bons et très beaux souvenirs. Je vous souhaite à tous deux, un grand succès, pour Athos qui vient de sortir définitivement de l'ombre, après son triste destin. Le voilà aujourd'hui devenu une "STAR" grâce à ta belle plume et va être enfin heureux de vos retrouvailles!.... Quelle belle histoire!.... Tu as un coeur très généreux d'offrir ce don aux refuges régionaux, tu es vraiment un être hors du commun et je suis très fière d'être ton amie! Sincères félicitations!

 
 
 

 

De L.D  
 
Bonjour Madame, Je viens de recevoir le dernier livre que je vous avais commandé ; j'ai beaucoup aimé les poèmes sur les mamans que vous avez joints à votre envoi à l'occasion de la Fête des Mères : très touchants et traduisant si bien des émotions que l'on ressent soi-même .... J'ai lu et relu "Au gré des flots" où je fais des découvertes à chaque "re-lecture" . Quant à votre livre "Attache ta charrue à une étoile", que nous avons "dévoré" mon mari et moi, il retrace en mots simples la vie de gens simples, courageux et travailleurs comme chacun d'entre nous peut en compter parmi ses ancêtres pionniers de notre chère Algérie et c'est avec regret que l'on arrive au mot "fin" . J'ai hâte de lire aussi "Chez nous, en Algérie, la méditerranée était au nord " que vous venez de m'adresser ; je ne manquerai pas, puisque vous m'y invitez, de vous faire part de mes impressions . Merci Madame de nous permettre de nous replonger dans ce passé si cher à nos coeurs et bien cordialement .

 
 
 

 

De F.G  
 
J'ai aimé votre livre, Attache ta charrue à une étoile, votre histoire m'a émue. Je comprends la détresse de votre famille d'avoir dû tout laisser après avoir construit son lieu de vie. Amitiés.

 
 
 

 

De R.F  
 
J'ai commencé ton livre et me suis endormie très tard.... Les descriptions de tes points d'attaches sont divinement écrites, on s'y croirait au point de sentir tous ces mélanges d'odeurs, de voir ces arbres, chargés de citrons, mandarines, oranges, châtaignes  et aller même jusqu'à cette fleurette jaune, que nous appelions vinaigrette et que nous mangions à profusion!.... C'est magnifique! Je t'adresse mes plus sincères félicitations.... Tu as réveillé en moi beaucoup de souvenirs avec nos coutumes lors de nos diverses fêtes: les rameaux , Pâques et sa fameuse mouna, Noël etc.... nos pêches miraculeuses en pastéra! A chaque sortie, nous nous dirigions toujours vers les "vieux pêcheurs" qui nous demandaient avec quoi nous allions pêcher. Comme deux misquines, on leur montrait notre maigre butin, une fois notre but atteint (avec des moules, crevettes, seiche....) après les avoir remerciés gentiment, nous nous dirigions à notre point de pêche de prédilection, pour rentrer avec une magnifique pêche. Mon père était toujours étonné de nos prises si variées: pour une succulente bouillabaisse et d'excellents poissons blancs en friture, ou cuits au four.... Tous ces rappels me rendent nostalgiques, mais me dire que notre vie "là-bas" était magique, heureuse, jusqu'à..... cette fin inimaginable!. Je viens de terminer ton livre et j'ai appris beaucoup de choses sur toi et sur ton parcours pas toujours heureux, mais le bonheur transparait tout au long de la lecture, sans parler de tout l'amour qui se dégage sur tous les membres de ta merveilleuse famille. Principalement tes grands-parents, adorables, ce qui me fait doublement regretter de ne pas avoir eu ce bonheur!.... Mon père était orphelin à 16 ans, quant aux parents de ma mère, ils nous ont quitté quand nous avions 4/5 ans, plus de pépé ni de mémé! à notre grand regret.... La lecture de ton livre m'a fait mieux comprendre la richesse que l'on a quand on est petit et même plus tard.... Heureusement que nos extraordinaires parents, avaient de l'amour à revendre et nous avons pu vivre de très grands bonheurs! J'ai adoré ton histoire avec ta robe rouge (tu m'as fait rire!). La taille des mimosas avec ton grand-père!... En fait j'ai adoré ce chapitre! si vivant, si bien décrit, qu'on en ferait bien un film! Cela nous changerait de ces séries USA!!!! Par contre, tout ce que vous avez vécu à Alger, m'a une nouvelle fois donné des frissons d'horreur, de colère, de haine, devant tant de trahisons et ces insultes que nous ne méritions pas. Vous, "les gens de la ville", avez beaucoup plus souffert que nous les aquafortains qui n'ont pas connu le 10ème de ce que vous avez subi..... Tous ces clichés décrits par la petite fille que tu étais, resteront à jamais gravés dans ta mémoire..... Un très grand MERCI pour ton superbe ouvrage. Quant à la lettre du Maire de Nice, je l'ai trouvée très touchante et si sincère! au point d'en avoir les larmes aux yeux!.

 
 
 

 

De F.T  
 
Bonjour Jocelyne, Avant tout je vous remercie pour vos beaux livres « Chez Nous en Algérie la méditerranée était au nord » et « De la Côte turquoise à la Côte d'Azur » que j'ai pu lire cet été avec beaucoup d'émotion et de plaisir. Surtout un grand merci pour votre témoignage, car je suis tout comme vous une enfant du pays, malheureusement quand j'en suis partie avec mes parents le 21 juin 1962. Mon père me parlait beaucoup de mon pays quand j'étais petite, de notre vie là-bas, (sans doute pour que je n'oublie jamais d'où je viens)mais quand on est jeune, on n'est pas toujours très attentif ! Il y a 30 ans il nous a quitté j'avais 22 ans et depuis ses récits, ses histoires de notre vie me manquent. J'essaie de poser des questions à ma mère, mais c'est comme si elle avait oublié. En fait, je pense que inconsciemment cela la fait tellement souffrir qu'elle occulte tous ses souvenirs. A travers votre histoire, j'ai retrouvé beaucoup de similitudes avec celle de ma famille. Mes grands-parents maternels avaient une boulangerie à Alger ! La boulangerie "Saint-Antoine" au 19, rue de l'Orangerie (quartier du Hamma). Et le frère de mon grand-père avait la grande boulangerie/pâtisserie en face du stade municipal, rue de Lyon. En fait du côté de ma mère toute la famille venait d'Espagne (près d'Alicante)et sont arrivés à Alger vers 1925. Quant à la famille du côté de mon père, ils sont implantés depuis la conquête de l'Algérie, puisque mon arrière-arrière grand-père était né à Bône en 1841. ça je l'ai appris depuis peu, par mon cher oncle (disparu l'année dernière) car tout comme vous il a écrit en quelque sorte l'histoire de sa famille pour livrer tous ses souvenirs à ses enfants, neveux/nièces, petits enfants etc...et plusieurs d'entre nous (dont moi) en avons un exemplaire. Ce récit il l'a intitulé : "Non! je n'ai rien oublié...Souvenirs d'une famille profondément attachée à cette terre d'Algérie, et qu'elle considérait comme sienne!" Voilà, je pourrais encore vous parler longtemps de tout cela, des attentats qui ont frappé ma famille (comme pour votre petit cousin) des souvenirs que j'ai gardé des gendarmes, des chars qui passaient dans la rue et qui faisaient trembler les murs, de ma traversée en bateau sur le "Ville d'Oran". J'aimerais tellement y retourner, revoir ma maison à Kouba où j'ai dû abandonner mes jouets, mon chien Rex, ma tortue. Excusez-moi, d'avoir été si bavarde mais j'avais envie de vous dire tout cela. Encore un grand merci ! Bien amicalement. (Nota : j'ai fait lire à ma mère votre second livre, elle a été très émue et a bien voulu me raconter un peu de ses souvenirs !).

 
 
 

 

De N.S  
 
Madame MAS vient de faire paraître son dernier ouvrage. Cette grande dame que nous avons rencontrée à plusieurs reprises tient dans sa main une plume qui fait s'envoler les mots et nous emmène vers les étoiles. Je vous invite fortement à découvrir ou à redécouvrir ses livres que vous trouverez sur son site Internet.  Nasser SAHOUR Président de 3 H Harkis Honneur Histoire Conseiller Communal Consultatif de Nice.

 
 
 

 

De R.F  
 
J'ai pu faire "enfin" votre connaissance! et l'apprécier de jour en jour, aux plus hauts points!... Sans savoir ni soupçonner l'exceptionnel personnage que je venais de connaître et commencer à vous découvrir, à la lecture de votre adorable et émouvant  "Mon maître et moi, une histoire d'amour" pour ensuite, vous connaître à travers tous les merveilleux éloges contenus dans votre "Livre d'Or", au point d'en rester bouche bée et pleine d'admiration devant cet impressionnant cumul de vos très élogieux prix et médailles, mérités à sa juste valeur!... en même temps, être très fière de vous compter parmi mes rares amis et faire partie intégrante de vos admirateurs..... A moi, maintenant de vous découvrir un peu plus dans vos diverses ouvres (difficiles à choisir pour commencer) et vibrer à mon tour, comme vos autres fans!..... Je ne pensais pas que Jimmy vous avait quitté seulement l'été dernier!. Comment avez-vous pu écrire son histoire, si tôt!? Vous êtes vraiment une très grande artiste, quoiqu'il arrive, vous continuez à écrire et en sortir une pure merveille.... à notre plus grand Bonheur! sans pour autant imaginer que l'auteur de ce petit chef d'ouvre, a du pleurer plus d'une fois!.... Votre chien était lui aussi une victime de ces effroyables événements il a connu lui aussi, un profond désarroi de vous voir monter sur le bateau sans lui et ne pas comprendre le pourquoi d'un tel acte? J'imagine votre propre chagrin de la perte de votre chien avec qui vous avez vécu durant 8 ans de merveilleux instants, le soigner lorsqu'il était malade et lui, vous couver du regard lorsqu'il voyait du chagrin dans vos yeux et ne pas le supporter, au point de poser sa tête sur vos genoux et attendre que cela se passe? Comment peut-on tirer un trait sur ces moments intensifs, pleins d'amour et de complicités!.... Fallait-il dans ces moments de folies, ne prendre que la misère du monde sur les bras et faire abstraction de nos propres sentiments? à plus forte raison, lorsqu'il s'agit d'un vulgaire chien (comme ils disent)? Avec qui on peut tout se permettre.... sans la moindre compassion, ni le moindre remord?....

 
 
 

 

DE L.D  
 
Chère Madame, Je viens de terminer votre livre "Chez nous, en Algérie, la méditerranée était au nord " . Comme les premiers livres de vous que nous avons lus, celui-ci fourmille d'anecdotes qui auraient pu être "les nôtres" et qui nous transportent soixante ans en arrière ... Un vrai régal !!! Pour ma part, j'ai toutefois préféré "Attache ta charrue ...", car il nous retrace le travail de nos aïeux pionniers, mais je reconnais que les deux m'ont passionnée, chacun dans leur genre . Je ne suis jamais retournée là-bas, car je veux garder intactes les images qui me restent en mémoire . Je n'ai plus d'ascendants, mon mari non plus ... et nos enfants ne s'intéressent que de très loin à ce que nous avons vécu "avant" : les petits-enfants posent beaucoup plus de questions . En espérant que vous nous régalerez encore avec des souvenirs que vous savez mettre magistralement sur papier, nous vous adressons nos très cordiales salutations . A bientôt peut-être.

 
 
 

 

De R.  
 
C'était  déjà magistralement bien décrit sur ton livre "Chez-nous en Algérie, la méditerranée était au nord  " Confirmé par tes 2 pièces jointes et ces deux merveilleuses photos de tes Grands-Parents. Tu m'as tellement imprégnée avec ton histoire que je te voyais toute petite fille avec eux, dans ce magnifique jardin luxuriant et odorant et découvrir tout au fond du jardin,  une pimpante et chaleureuse maison... Où l'on ne pouvait que vivre "heureux" dans un tel décor.... C'est beau!, mais triste à la fois.....
Vous avez eu beaucoup de courage de faire avec ta Maman, ce pèlerinage X années plus tard!..... Voilà une chose que je ne ferai jamais, ma cousine avait organisé une croisière en 2007, et malgré ses maintes et maintes demandes de faire partie de ce voyage, j'ai refusé! je ne me sentais pas de revoir tout ce que nous avions laissé, et surtout voir des étrangers occuper - les sueurs de mon Père - qui investissait dans la pierre pour plus tard, arrondir leur retraite d'artisan... Tout comme ton Père, en 1961, il a fait construire deux nouveaux appartements, (un 2 pièces et un 3 pièces) pris dans la moitié de la surface du garage....Lorsque j'ai vu les photos, je n'en croyais pas mes yeux!. J'avais du mal à croire que cette grande villa au-dessus du garage de mon Père était la nôtre, avec : des murs surélevés, des fils électriques qui pendouillent de tous côtés et tous les volets roulants rafistolés tant bien que mal, avec divers matériaux et couleurs en pleine façade, sur tout le muret de la grande terrasse, de gros rouleaux de fils de barbelés étaient bien fixés sur tout le pourtour, pour se protéger de toute irruption en pleine nuit.
Je ne savais pas que le grenadier possédait tant de qualités. J'en ai un dans mon petit jardin, qui devient de plus en plus envahissant et donne beaucoup de fruits (malheureusement immangeables), tant elles sont acides. C'est bien dommage, j'adore ce fruit.... Par contre les oiseaux s'en délectent, au point de leur laisser ces fruits sur l'arbre..... A Noêl, on pourrait croire qu'il est décoré de boules multicolores, toujours au grand bonheur de mes amis ailés.

 
 
 

 

De M.B.  
 
Classer par ordre de préférence les nouvelles « De la Côte Turquoise à la Côte d'Azur ». Ce n'est pas une chose facile !
Ce qui est sûr, c'est que celle de Monsieur Schloss fait partie de mes favorites.
Tu décris avec délicatesse un lieu paisible, la vie est belle, puis c'est la très belle rencontre avec un personnage qui n'a plus d'âge. Il veut léguer son patrimoine le plus cher, ses livres plusieurs fois centenaires, avant qu'ils ne soient engloutis, tout comme sa maison, son cerisier ou son olivier. Ses livres, ce sont ses racines, ses enfants. Il dévoile sa vie par bribes. Elle a été dramatique, elle aussi détruite par d'autres et peut finir également de la même façon. S'il n'a pu défendre les siens pendant la guerre, il aimerait au seuil de sa vie sauver ce qui a emplit sa vie de joie et de bonheur, ses chers livres, pour la plupart hérités de son père. Mais la vie est cruelle et une spirale infernale peut la broyer sans délai.
Peut-on ignorer les drames qui peuvent se jouer à notre porte, quel pouvoir peut-on avoir lorsque l'Administration décide, pour le confort de certains, de voler la vie et le bien d'un être sans défense.
Cette nouvelle pose de multiples réflexions sur les êtres discrets qui vivent sans faire de bruit et qui, seuls, ne peuvent se défendre. Sans doute d'autres « Monsieur Schloss » vivent tout près de nous.
Mais qui sont-ils ?
Si Monsieur Shloss a existé ? Toi seule connait la réponse. Mais pensant te connaître un peu, je pense qu'il a réellement existé et le personnage de Marie te colle parfaitement à la peau. Si tout est exact ? Je ne sais pas, un romancier, romance, un fait historique n'est qu'une reconstitution personnelle, un souvenir n'est qu'une trace ou qu'une part de la vérité. Dans une histoire , on peut en mêler plusieurs.

 
 
 

 

De L.D.  
 
Bonjour Madame,
Je viens de recevoir le dernier livre que je vous avais commandé ; j'ai beaucoup aimé les poèmes sur les mamans que vous avez joints à votre envoi à l'occasion de la Fête des Mères : très touchants et traduisant si bien des émotions que l'on ressent soi-même ....
J'ai lu et relu "Au gré des flots" où je fais des découvertes à chaque "re-lecture" .
Quant à votre livre "Attache ta charrue à une étoile", que nous avons "dévoré" mon mari et moi, il retrace en mots simples la vie de gens simples, courageux et travailleurs comme chacun d'entre nous peut en compter parmi ses ancêtres pionniers de notre chère Algérie et c'est avec regret que l'on arrive au mot "fin" .
J'ai hâte de lire aussi "Chez nous, en Algérie, la méditerranée était au nord" que vous venez de m'adresser ; je ne manquerai pas, puisque vous m'y invitez, de vous faire part de mes impressions .
Merci Madame de nous permettre de nous replonger dans ce passé si cher à nos coeurs et bien cordialement.

 
 
 

 

De R.F.  
 
J'ai commencé le livre « Chez nous en Algérie, la méditerranée était au nord » et me suis endormie très tard.... Les descriptions de tes points d'attaches sont divinement écrites, on s'y croirait au point de sentir tous ces mélanges d'odeurs, de voir ces arbres, chargés de citrons, mandarines, oranges, châtaignes  et aller même jusqu'à cette fleurette jaune, que nous appelions vinaigrette et que nous mangions à profusion!.... C'est magnifique! Je t'adresse mes plus sincères félicitations.... Tu as réveillé en moi beaucoup de souvenirs avec nos coutumes lors de nos diverses fêtes: les rameaux , Pâques et sa fameuse mouna, Noël etc.... nos pêches miraculeuses en pastéra! A chaque sortie, nous nous dirigions toujours vers les "vieux pêcheurs" qui nous demandaient avec quoi nous allions pêcher. Comme deux misquines, on leur montrait notre maigre butin, une fois notre but atteint (avec des moules, crevettes, seiche....) après les avoir remerciés gentiment, nous nous dirigions à notre point de pêche de prédilection, pour rentrer avec une magnifique pêche. Mon père était toujours étonné de nos prises si variées: pour une succulente bouillabaisse et d'excellents poissons blancs en friture, ou cuits au four.... Tous ces rappels me rendent nostalgiques, et je me dis que notre vie "là-bas" était magique, heureuse, jusqu'à..... cette fin inimaginable!.

Je viens de terminer ton livre et j'ai appris beaucoup de choses sur toi et sur ton parcours pas toujours heureux, mais le bonheur transparait tout au long de la lecture, sans parler de tout l'amour qui se dégage sur tous les membres de ta merveilleuse famille. Principalement tes grands-parents, adorables, ce qui me fait doublement regretter de ne pas avoir eu ce bonheur!.... Mon père était orphelin à 16 ans, quant aux parents de ma mère, ils nous ont quitté quand nous avions 4/5 ans, plus de pépé ni de mémé! à notre grand regret.... La lecture de ton livre m'a fait mieux comprendre la richesse que l'on a quand on est petit et même plus tard.... Heureusement que nos extraordinaires parents, avaient de l'amour à revendre et nous avons pu vivre de très grands bonheurs!

J'ai adoré ton histoire avec ta robe rouge (tu m'as fait rire!). La taille des mimosas avec ton grand-père!... En fait j'ai adoré ce chapitre! si vivant, si bien décrit, qu'on en ferait bien un film! Cela nous changerait de ces séries USA!!!!
Par contre, tout ce que vous avez vécu à Alger, m'a une nouvelle fois donné des frissons d'horreur, de colère, de haine, devant tant de trahisons et ces insultes que nous ne méritions pas. Vous, "les gens de la ville", avez beaucoup plus souffert que nous les aquafortains qui n'ont pas connu le 10ème de ce que vous avez subi..... Tous ces clichés décrits par la petite fille que tu étais, resteront à jamais gravés dans ta mémoire.....

Un très grand MERCI pour ton superbe ouvrage. Quant à la lettre du Maire de Nice, je l'ai trouvée très touchante et si sincère! au point d'en avoir les larmes aux yeux!.

 
 
 

 

De F.T.  
 
Bonjour Jocelyne,
Avant tout je vous remercie pour vos beaux livres « Chez Nous en Algérie la méditerranée était au nord » et « De la Côte turquoise à la Côte d'Azur » que j'ai pu lire cet été avec beaucoup d'émotion et de plaisir.
Surtout un grand merci pour votre témoignage, car je suis tout comme vous une enfant du pays, malheureusement quand j'en suis partie avec mes parents le 21 juin 1962.
Mon père me parlait beaucoup de mon pays quand j'étais petite, de notre vie là-bas, (sans doute pour que je n'oublie jamais d'où je viens)mais quand on est jeune, on n'est pas toujours très attentif ! Il y a 30 ans il nous a quitté j'avais 22 ans et depuis ses récits, ses histoires de notre vie me manquent. J'essaie de poser des questions à ma mère, mais c'est comme si elle avait oublié. En fait, je pense que inconsciemment cela la fait tellement souffrir qu'elle occulte tous ses souvenirs.
A travers votre histoire, j'ai retrouvé beaucoup de similitudes avec celle de ma famille. Mes grands-parents maternels avaient une boulangerie à Alger ! La boulangerie "Saint-Antoine" au 19, rue de l'Orangerie (quartier du Hamma). Et le frère de mon grand-père avait la grande boulangerie/pâtisserie en face du stade municipal, rue de Lyon. En fait du côté de ma mère toute la famille venait d'Espagne (près d'Alicante)et sont arrivés à Alger vers 1925.
Quant à la famille du côté de mon père, ils sont implantés depuis la conquête de l'Algérie, puisque mon arrière-arrière grand-père était né à Bône en 1841. ça je l'ai appris depuis peu, par mon cher oncle (disparu l'année dernière) car tout comme vous il a écrit en quelque sorte l'histoire de sa famille pour livrer tous ses souvenirs à ses enfants, neveux/nièces, petits enfants etc...et plusieurs d'entre nous (dont moi) en avons un exemplaire. Ce récit il l'a intitulé : "Non! je n'ai rien oublié...Souvenirs d'une famille profondément attachée à cette terre d'Algérie, et qu'elle considérait comme sienne!"
Voilà, je pourrais encore vous parler longtemps de tout cela, des attentats qui ont frappé ma famille (comme pour votre petit cousin) des souvenirs que j'ai gardé des gendarmes, des chars qui passaient dans la rue et qui faisaient trembler les murs, de ma traversée en bateau sur le "Ville d'Oran".
J'aimerais tellement y retourner, revoir ma maison à Kouba où j'ai dû abandonner mes jouets, mon chien Rex, ma tortue.
Excusez-moi, d'avoir été si bavarde mais j'avais envie de vous dire tout cela.
Encore un grand merci !
Bien amicalement.
(Nota : j'ai fait lire à ma mère votre second livre, elle a été très émue et a bien voulu me raconter un peu de ses souvenirs !)

 
 
 

 

De N.S.  
 
Madame MAS vient de faire paraître son dernier ouvrage.
Cette grande dame que nous avons rencontrée à plusieurs reprises tient dans sa main une plume qui fait s'envoler les mots et nous emmène vers les étoiles.
Je vous invite fortement à découvrir ou à redécouvrir ses livres que vous trouverez sur son site Internet.
 Nasser SAHOUR
Président de 3 H
Harkis Honneur Histoire
Conseiller Communal Consultatif de Nice.

 
 
 

 

De R.F.  
 
J'ai pu faire "enfin" votre connaissance! et l'apprécier de jour en jour, aux plus hauts points!... Sans savoir ni soupçonner l'exceptionnel personnage que je venais de connaître et commencer à vous découvrir, à la lecture de votre adorable et émouvant  "Mon maître et moi, une histoire d'amour" pour ensuite, vous connaître à travers tous les merveilleux éloges contenus dans votre "Livre d'Or", au point d'en rester bouche bée et pleine d'admiration devant cet impressionnant cumul de vos très élogieux prix et médailles, mérités à sa juste valeur!... en même temps, être très fière de vous compter parmi mes rares amis et faire partie intégrante de vos admirateurs..... A moi, maintenant de vous découvrir un peu plus dans vos diverses oeuvres (difficiles à choisir pour commencer) et vibrer à mon tour, comme vos autres fans!.....

Je ne pensais pas que Jimmy vous avait quitté seulement l'été dernier!. Comment avez-vous pu écrire son histoire, si tôt!? Vous êtes vraiment une très grande artiste, quoiqu'il arrive, vous continuez à écrire et en sortir une pure merveille.... à notre plus grand Bonheur! sans pour autant imaginer que l'auteur de ce petit chef d'oeuvre, a du pleurer plus d'une fois!....
Votre chien était lui aussi une victime de ces effroyables événements il a connu lui aussi, un profond désarroi de vous voir monter sur le bateau sans lui et ne pas comprendre le pourquoi d'un tel acte? J'imagine votre propre chagrin de la perte de votre chien avec qui vous avez vécu durant 8 ans de merveilleux instants, le soigner lorsqu'il était malade et lui, vous couver du regard lorsqu'il voyait du chagrin dans vos yeux et ne pas le supporter, au point de poser sa tête sur vos genoux et attendre que cela se passe? Comment peut-on tirer un trait sur ces moments intensifs, pleins d'amour et de complicités!.... Fallait-il dans ces moments de folies, ne prendre que la misère du monde sur les bras et faire abstraction de nos propres sentiments? à plus forte raison, lorsqu'il s'agit d'un vulgaire chien (comme ils disent)? Avec qui on peut tout se permettre.... sans la moindre compassion, ni le moindre remord?....

 
 
 

 

De L.D.  
 
Chère Madame,
Je viens de terminer votre livre "Chez nous, en Algérie, la méditerranée était au nord" .
Comme les premiers livres de vous que nous avons lus, celui-ci fourmille d'anecdotes qui auraient pu être "les nôtres" et qui nous transportent soixante ans en arrière ... Un vrai régal !!!
Pour ma part, j'ai toutefois préféré "Attache ta charrue ...", car il nous retrace le travail de nos aïeux pionniers, mais je reconnais que les deux m'ont passionnée, chacun dans leur genre .
Je ne suis jamais retournée là-bas, car je veux garder intactes les images qui me restent en mémoire .
Je n'ai plus d'ascendants, mon mari non plus ... et nos enfants ne s'intéressent que de très loin à ce que nous avons vécu "avant" : les petits-enfants posent beaucoup plus de questions .
En espérant que vous nous régalerez encore avec des souvenirs que vous savez mettre magistralement sur papier, nous vous adressons nos très cordiales salutations .
A bientôt peut-être.

 
 
 

 

De S.A.  
 
Merci Madame pour le beau Poème, je suis vraiment très gâté, j'avoue que j'ai beaucoup de chance de recevoir des poèmes de l'auteur lui-même que je garderai soigneusement comme les plus beaux cadeaux de ma vie, merci encore Madame, j'ai beaucoup de considération pour vous et vous êtes gravée dans mon cour pour le restant de mon existence.

 
 
 

 

De R.  
 
Bonjour chère Jocelyne,
C'est un pur bonheur de vous lire. Si j'ai le talent de peindre comme vous le dites si gentiment, il y a encore beaucoup à faire!. Quant à votre talent d'écriture, vous n'avez vraiment rien à m'envier. Vous possédez l'art que j'aurais tant désiré avoir....
Votre récit de notre fatal exode a réveillé en moi, beaucoup d'émotions et de douleurs. A la seule différence, mes parents restés encore pour terminer un contrat que mon père avait avec le Sahara, ont finalement embarqué dans l'avion avec notre chien et celui de mon oncle....
Vous concernant c'est terrible ! c'est un être vivant que vous avez du abandonner et je peux très bien comprendre votre détresse et chagrin de l'avoir laissé seul sur le quai, ce que votre chien a du aussi ressentir et avoir le même désarroi de ne pas comprendre le pourquoi de cet acte! Quelle tristesse de plus vous avez eue!. Mais vous n'aviez malheureusement pas d'autre choix c'était "la valise ou le cercueil".... Une chose est sûre, le fait que 50 ans plus tard, vous en parlez avec votre cour et vos tripes; votre chien, là ou il se trouve aujourd'hui, veille toujours sur vous et garde intact son amour pour vous, tout comme au bon vieux temps!...
Il est vraiment magnifique! Comment s'appelle-t-il?Je serai très heureuse de le peindre et vous l'offrir en toute amitié, et en remerciement pour vos judicieux conseils et adresses donnés durant l'expo. Cela me ferai vraiment plaisir de vous apporter ce petit bonheur et de le savoir tout près de vous. Si je le réussi évidemment!.
Je vous embrasse

 
 
 

 

De R.L.  
 
Bonjour Jocelyne !
Je te remercie et te félicite pour ton poème ! Tu as vraiment le sens du mot juste. C'est une petite merveille de senteur et de vision printanière, bravo encore !

 
 
 

 

De R.F.  
 
Chère Jocelyne,
Votre livre « Mon Maître et moi, une histoire d'amour », je l'ai dévoré et vécu de très "agréables et intenses" moments tout au long de sa lecture, pour le terminer le soir même de mon acquisition.
Comme vous êtes touchante, attachante, pleine de délicatesse, de tact, avec un cour GROS comme ça!... Quant à la magnifique fin de votre récit; si "surprenante et inhabituelle", est absolument magnifique! car elle peut nous laisser rêver, que demain "il se réveillera comme par miracle" pour retrouver son très cher Maître comme il le lui avait promis la veille.... Un grand Merci pour ces "trop courts" instants de grands bonheurs et frissons que vous m'avez apportés, même si par moment j'avais la larme à l'oeil....

Je suis très heureuse de découvrir, à travers vos écrits, une personne très attachante et humaine, qu'on aimerait bien avoir pour amie!.

Sincères amitiés.

Roselyne

 
 
 

 

De C.C.  
 
Chère Madame,
J'ai pris grand plaisir à lire votre livre «  Attache ta charrue à une étoile ». Une bien jolie histoire avec son lot de joies, de tristesse et d'espoir. J'avais l'impression de vous entendre me raconter la vie de cette famille. Une fois le livre commencé..., je n'ai pas pû m'arrêter. Et à la fin, il m'a fallu faire attention, car les larmes brouillaient ma lecture !
Je crois que nous sommes nombreux à être « retournés » lorsque sont évoquées toutes les périodes de l'Algérie.
Merci à vous, et merci pour cette touchante dédicace. Je me permets de vous embrasser.


 
 
 

 

De S.P.  
 
Bonjour Jocelyne,
Je suis particulièrement ravi de découvrir, sur le site de l'Amicale, la présentation de vos merveilleux livres. Je suis persuadé qu'ils susciteront, un vif intérêt auprès des Aquafortains(es).
Vous savez déjà, tous les heureux moments de Nostalgie que votre lecture m'a apportée. J'ai en tête quelques lignes : Ces petites fleurs sont mes messagères où Un ange est venu ce matin, prendre notre amie par la main. Des mots et lieux magiques ont refait surface : L'arc-en-ciel et La Sirène, auxquels il faut bien sûr ajouter, tous les prénoms de mes quinze ans. En cette période, encore délicate pour moi, j'ai fait sans même m'en rendre compte, de grands allez-retours entre la Côte Turquoise de notre enfance et la Côte d'Azur d'aujourd'hui.
Les années passent, les souvenirs restent.
Merci à vous pour tous ces bons moments.


 
 
 

 

De A.B.  
 
Bonjour Madame.

Le texte « C'était l'année 62 » que vous venez de publier sur « notre site » m'a beaucoup touché.

J'ai quitté Bab-El-Oued en 1963, j'avais 15 ans et je me rappelle

Tous les souvenirs qui reviennent sont de plus en plus forts, de plus en plus tenaces, ils me rongent, maintenant avec le temps qui passe

Continuez, Madame, pour la postérité et pour que les générations futures sachent de quoi elles parleront

MERCI.

 
 
 

 

De C.D.  
 
Chère Madame,

J'ai eu beaucoup de plaisir à lire votre livre : « Chez nous en Algérie, la méditerranée était au nord ». Que de merveilleux souvenirs ! Par la pensée, je me suis promenée rue de Lyon, rue Sadi-Carnot, rue d'Isly, le Hamma, le Jardin d'Essai ..

Je vous remercie bien sincèrement pour ces délicieux moments. Je commanderai vos autres livres bientôt. Car vous savez si bien raconter notre pays perdu à jamais.

 
 
 

 

De G.T.  
 
Dans votre livre « De la Côte turquoise à la Côte d'Azur » que j'ai adoré, merci de valoriser ainsi la grenade. C'est un des fruits que nous mettons sur la table de notre nouvelle année qui s'appelle ROCH ACHANA et se passe en septembre et je vous mets au dessous la prière que nous récitons avant de consommer les grains pour la première fois dans l'année.
« En raison de l'abondance de ses grains, la grenade est un symbole de fécondité. De plus, étant amalgamés les uns aux autres, on demande à Dieu de former un peuple aussi uni et solidaire que les grains de la grenade le sont entre eux. » Merci encore d'écrire de si beaux romans.
Amitiés

 
 
 

 

De C.L.  
 
Jocelyne,

Merci de poser des mots sur une si belle partie de l'Histoire qui reste dans tous les cours et dont beaucoup se souviennent mais qui apparemment a été pendant un moment oubliée.

Une page qui s'est tournée et que j'ai appris à connaitre à travers de si beaux livres, 50 ans! c'est pas rien!

Ma grand-mère me racontait quand j'étais petite, la vie qu'elle avait vécu en Algérie, son frère André qu'elle idolâtrait, la boulangerie et toutes les anecdotes qui ont été et sont de beaux souvenirs pour elle!
(J'en ai retrouvé quelques-unes à travers ces si beaux livres, ces si belles phrases)
Les moments difficiles aussi...la fuite, le retour (avec Antoinette), tout laisser derrière soi...

Ma grand-mère m'expliquait ses souvenirs qui lui tenaient à cour le mardi soir quand elle me gardait....cela fait plus d'une trentaine d'année.

Maintenant à travers, cette fabuleuse écriture, limpide, claire, dans l'émotion et en toute simplicité! je peux enfin poser des images sur le vécu de ma grand-mère.

Merci Jocelyne!

 
 
 

 

De M.B.  
 
Félicitations pour tout ce que tu fais. Normal que les gens soient émus ! On le serait à moins. Tu as fait un travail remarquable et tu ne ménages pas ta peine et ce qui est remarquable également c'est qu'Alain est toujours à tes côtés. Il est un soutien de poids.

 
 
 

 

De G.L.  
 
ChèreMadame,
Vous faites partie de nos auteurs-phares, les articles vous concernant et les distinctions qui vous honorent sont parfaitement méritées.

 
 
 

 

De A.D.  
 
Bravo chère Jocelyne, pour votre activité littéraire. Le souvenir de notre pays a besoin de vous et de votre témoignage si bien écrit.

 
 
 

 

De G. de T.  
 
Cet article est un bel hommage et je vous en félicite.

 
 
 

 

De Y.S.  
 
Je viens de finir à l'instant la lecture de vos livres ( il est 22h30) que je me suis empressé de lire. J'ai été envahi par toutes sortes de souvenirs à la lecture des lieux des communes, souvenirs olfactifs même et aussi souvenirs de tristesse à l'évocation de certains faits disons historiques qui ont frappés notre beau pays. Nous ne pouvons pas refaire l'Histoire mais nous devons en parler à nos descendants qui n'ont pas eu la joie de connaître le sol de notre terre natale. J'ai passé un très agréable moment à vous lire, Croyez chère Madame Mas à l'expression de mes salutations empressées et très sincères.

 
 
 

 

De F.V.D.S.  
 
Je viens de terminer la lecture de « Au gré des flots » et je suis enchantée.
Quel beau parcours que le vôtre, en si peu de temps ! recevez mes chaleureuses félicitations pour vos récompenses obtenues. L'appartenance à deux terres est belle et enrichissante, mais bien souvent douloureuse et déchirante. A vous qui savait si bien ouvrir votre cour ! Un grand merci pour vos si beaux textes et poèmes.

 
 
 

 

De E.D.B.  
 
A peine reçu : « Chez nous en Algérie, la méditerranée était au nord », je m'y suis plongée. Que de souvenirs ravivés, que d'émotions ! Je l'ai lu dans l'après-midi.
Moretti avec la famille Torrès, coiffeur à Bab-el-Oued, Fort de l'Eau, ses brochettes et son pain mahonais, la Route moutonnière si belle, la mer d'un bleu intense, le Djurdura et ses levers de soleil splendides !
Merci pour cette émotion et ce petit picotement dans les yeux. On comprend ce qu'est une exilée et votre âme est quelque part là-bas.


"Parmi votre livre de Nouvelles " De la Côte Turquoise à la Côte d'Azur" celle de Monsieur Schloss fait partie de mes favorites.
Si Monsieur Shloss a existé ? Vous seule (Marie) connaissez la réponse. Mais pensant vous connaître un peu, je pense qu'il a réellement existé et le personnage de Marie vous colle parfaitement à la peau. Si tout est exact ? Je ne sais pas, un romancier, romance, un fait historique n'est qu'une reconstitution personnelle, un souvenir n'est qu'une trace ou qu'une part de la vérité. Dans une histoire , on peut en mêler plusieurs.
Vous décrivez avec délicatesse un lieu paisible, la vie est belle, puis c'est la très belle rencontre avec un personnage qui n'a plus d'âge. Il veut léguer son patrimoine le plus cher, ses livres plusieurs fois centenaires, avant qu'ils ne soient engloutis, tout comme sa maison, son cerisier ou son olivier. Ses livres, ce sont ses racines, ses enfants. Il dévoile sa vie par bribes. Elle a été dramatique, elle aussi détruite par d'autres et peut finir également de la même façon. S'il n'a pu défendre les siens pendant la guerre, il aimerait au seuil de sa vie sauver ce qui a emplit sa vie de joie et de bonheur, ses chers livres, pour la plupart hérités de son père. Mais la vie est cruelle et une spirale infernale peut la broyer sans délai. Peut-on ignorer les drames qui peuvent se jouer à notre porte, quel pouvoir peut on avoir lorsque l'Administration décide, pour le confort de certains, de voler la vie et le bien d'un être sans défense.
Cette nouvelle pose de multiples réflexions sur les êtres discrets qui vivent sans faire de bruit et qui, seuls, ne peuvent se défendre. Sans doute d'autres « Monsieur Schloss » vivent tout près de nous. Mais qui sont 'ils ?"

 
 
 

 

De D.P.  
 
Je viens de lire ou relire tous vos textes et j'en suis encore toute émue : vous avez une belle écriture de femme et d'écrivain, dotée d'une réelle fraîcheur dans l'authenticité de vos narrations et à vous lire on a vraiment l'impression de partager profondément vos souvenirs et vos émotions - merci pour ces beaux cadeaux du cour
Amicalement

 
 
 

 

De B.Z.  
 
Que d'émotions en lisant vos livres !
Merci encore et félicitations pour ces très beaux livres.

 
 
 

 

De M.B.  
 
Magnifique, tu as le don pour faire revivre des instants qui ont marqué notre jeunesse.

 
 
 

 

De F.V.  
 
De F.V Je vous espère toujours prolifique en écriture. Vous avez su retranscrire le bonheur de vivre dans cette région si semblable à celle que nous avons quittée là-bas de l'autre côté. Vos textes respirent le bonheur et l'épanouissement. Continuez, je vous en prie, pour notre plus grande joie.

 
 
 

 

De A.J.  
 
En ouvrant Cannes Soleil, ce matin, j'ai eu le plaisir de lire l'article vous concernant.
Je suis très heureuse de votre succès car vous le méritez.
En lisant cet article, j'ai pensé à cette vérité qu'a dite, je crois, Confusius VI siècles avant J.C : '' On a tous un jour ce qu'on mérite '' comme il avait raison !
Je connais les efforts que vous avez dû faire et faites encore pour aller chercher dans le fond de votre mémoire tout ce que vous voulez bien nous faire partager.

 
 
 

 

De J.V.  
 
Je tiens tout d'abord à vous féliciter pour votre oeuvre et votre nomination qui vient concrétiser un travail de mémoire qui nous fait chaud au cour. Je ne manquerai pas d'acquérir vos ouvrages afin que mes enfants et petits enfants puissent découvrir notre vie dans ce pays baigné de soleil et d'énormes souvenirs.
Bien respectueusement

 
 
 

 

De D.P.  
 
Bonjour Jocelyne,
J'ai acheté "il était une fois..ma vie. Alger la Blanche" à Nice sur votre stand au Salon du Livre.
Je l'ai lu d'une traite car je crois qu'il fallait le lire comme cela pour s'imprégner de votre parcours et j'ai pleuré en même temps que vous dans votre récit quand vous découvrez les lettres de votre "père biologique" car je crois que pour moi j'étais imprégnée de vos bonheurs et de vos souffrances jusqu'à cette page 90 et que à ce moment-là je subissais en même temps que vous une ultime trahison qui s'ajoutait à toutes les autres que vous aviez vécues et dont vous vous seriez bien passée.
Je ne connais, bien sûr, aucun des endroits que vous citez en Algérie mais cette petite musique du bonheur de votre enfance et début d'adolescence je la comprends très bien car dans d'autres endroits pour moi elle m'est très présente et très chère, ma grand-mère ne s'appelait pas Virginie mais Rose et elle représente aussi pour moi une grosse partie de bonheur perdu et qui ne reviendra jamais, ses jardins n'étaient pas composés de fleurs exotiques mais de dahlias, de glaïeuls, de capucines.. je n'ai bien sur pas eu à subir comme vous la séparation avec ce cadre de bonheur entretenu tellement chaleureusement pas les miens . Cependant mes grands-parents ont cédé leur exploitation agricole à la retraite et lorsque j'ai voulu emmener mon second mari sur les lieux de mon enfance qui me sont si chers, la maison était occupée en son centre.... par un arbre....et ne n'y retournerai jamais moi non plus....
J'ai été très émue par votre livre ; je suis en effet passionnée d'histoire mais je n'aime la grande "Histoire" qu'à travers "la petite histoire", j'ai beaucoup lu dans ma vie (4 livres par semaine depuis l'âge de 12 ans et j'en ai 64) et j'ai toujours été attirée à lire des documents témoignages sur les conflits, les guerres, enfin les grands bouleversements historiques dans le monde (le communisme en Russie, le génocide cambodgien, toutes les étapes de la vie sous Mao Tsé Tung, en France l'époque révolutionnaire, les guerres du 20ème siècle,etc..., la shoah, la guerre civile tutsi/hutus, Fidèle Castro et Cuba, etc...) avec toujours la même curiosité : découvrir comment dans la vie de tous les jours les Hommes vivaient, survivaient au cours de ces évènements qu'ils avaient à subir et m'imprégner de la capacité humaine à supporter mais aussi à réagir pour vivre, se reconstruire, je suis toujours pleine d'admiration pour toutes ces personnes car je n'ai pas eu pour l'instant dans ma vie à vivre de grandes souffrances dans des époques terribles...
Dans les lieux que vous évoquez dans votre livre je n'en connais qu'un seul : l'avenue Jeanne Marlin à Nice car j'habite Bd Franck Pilate et je passe souvent par cet endroit qui a pour moi un parfum suranné et qui au printemps abrite tout près des glycines absolument magnifiques... En lisant votre livre destiné à votre descendants je suis entrée dans votre intimité et j'en ai été bouleversée, vous faites donc partie maintenant de mes amies..intérieures.. soyez heureuse.

 
 
 

 

De P.M. Journaliste Radio-Azur  
 
Bonsoir Jocelyne
Merci à vous d'écrire aussi bien et de si bien transcrire la mémoire de ce pays de France où j'aurai aimé vivre.

 
 
 

 

De B.M.  
 
De B.M Pour ma part je vous admire beaucoup, et je trouve que vous avez raison de vous battre pour que la vérité soit enfin reconnue. Il n'existe pas pire souffrance que de se sentir incompris et rejeté.

 
 
 

 

De S.B.  
 
Magnifique, tu as le don pour faire revivre des instants qui ont marqué notre jeunesse.

 
 
 

 

De B.Z.  
 
Je viens de lire votre livre « Il était une fois ma ville Alger la Blanche », magnifique !
Vous m'avez rappelé des choses que j' avais oubliées, comme : les arabes qui passaient dans les rues habillés avec des peaux de léopard, comment faire pour enlever le coup de soleil, ma tante le faisait avec une petite marmite en terre, qu'elle retournait sur une assiette, et on entendait l'eau bouillir. Livre magnifique avec des passages un peu tristes, mais la vie est ainsi faite.
Félicitations, continuez..

 
 
 

 

De David Lisnard  
 
Chère Jocelyne Mas,
Je partage votre satisfaction et votre fierté pour vous-même et tous nos compatriotes français d’Algérie. Ils se reconnaîtront avec bonheur dans votre beau témoignage et votre combat de la mémoire et du souvenir. Cet article du « Point » fait aussi honneur à Cannes.
Avec mes compliments.

 
 
 

 

De L.B.  
 
Chère Madame,
J'ai fini votre livre «  De la Côte turquoise à la Côte d'Azur » Je suis encore sous le charme. J'adore votre style, clair, précis, camusien je dirais. Comme Albert CAMUS, votre amour pour cette terre rouge et fertile se ressent à chaque ligne. Continuez à nous enchanter. Merci encore d'écrire de si beaux textes.
Cordialement

 
 
 

 

De M.E.  
 
Je vous renouvelle toute notre gratitude pour vos deux magnifiques ouvrages achetés tout récemment.
C'est curieux comme dans la vie nous retrouvons des similitudes de l'existence de chacun d'entre nous....!! Que de souvenirs..!!
Je viens de découvrir mes racines minorquines qui me rattachent étroitement à tous ces cultivateurs, maraîchers de la première heure de l'Algérie qu'on appelait à tort les "mahonnais", et qui font aujourd'hui encore partie de ces français que l'on appelle en France : les "pieds noirs".
Comme le souligne Jean-Jacques JORDI dans son ouvrage, ils ont contribué étroitement à la construction de cette Algérie Française, qui reste profondément ancrée en nous.
Merci encore pour ces magnifiques ouvrages, évoquant ce passé que nous gardons précieusement dans notre cœur.
Cordialement,

 
 
 

 

De R.L.  
 
Nous avons été très sensible à votre lettre qui nous a beaucoup touchés et profondément et émus ? Vous avez su en quelques lignes traduire tous les sentiments que nous « Pieds-Noirs » avons connus et ressentons encore. Respect et admiration des « anciens », si valeureux, si courageux, qui nous ont transmis, inculqué ces « valeurs » que nous portons à jamais en nous et que nous avons le devoir de transmettre à notre tour à ceux qui nous suivent.
C'est vrai que nous étions tout simplement heureux, nous avions cette joie de vivre si réelle que nous manifestions si haut, si fort ; comme nous avons su cacher avec pudeur, en silence, cette peine, ce sentiment d'injustice, ces désillusions qui nous ont brisés mais que nous avons surmontés avec force et courage. En quelques années nous avons remonté le courant, nous snous sommes reconstruits avec cette volonté qui nous a toujours soutenus. Nos enfants peuvent être fiers de nous, comme nous l'avons été de ceux qui nous ont précédé.
Merci à vous, chère Madame, de pouvoir, de savoir traduire, écrire, tous ces sentiments que nous portons en nous, mais que ne savons pas exprimer.

 
 
 

 

De R.L.  
 
Merci Jocelyne de m'avoir fait partager ce moment ! Tu peux être très fière de toi. Merci encore, pour tout, ce que tu es, ce que tu écris et ce que tu représentes comme exemple pour nous tous !
Toute mon amitié.

 
 
 

 

De S.H.  
 
Je viens d'écouter votre interview, très bien, très net aussi. Je suis heureuse d'apprendre la réédition d'un de vos livres; c'est bien aussi que les médias parlent de vos œuvres, vous vous donnez assez de mal, pour qu'enfin cette "histoire d'Algérie"soit connue du plus grand nombre.
Félicitations.

 
 
 

 

De Y.T.  
 
Votre livre a été pour moi que du bonheur et beaucoup d'émotions. J'ai vu défilé mon enfance et mon adolescence. Il me semblait me voir tout au long de cette lecture sauf que je n'ai pas eu de grands-parents. Mes parents étaient formidables. Je connaissais chaque villes, villages, rues et Alger... Que de souvenirs ! J'ai adoré votre livre mais je n'ai pu retenir mes larmes.
Je vous remercie également pour votre dédicace. Ce fut une belle surprise car c'est ma fille qui m'a fait ce cadeau.

 
 
 

 

De N.L.  
 
Enfin j'ai lu votre livre « Chez nous en Algérie, la méditerranée était au nord » et dont j'aime tant le titre. Il est vrai que j'ai mis beaucoup de temps à m'habituer à ce que la mer... notre mer, soit au sud.
Malgré tous les drames que vous racontez, votre livre a du charme, le charme d'une ambiance insouciante, légère, parfumée, colorée, éblouie de mer bleue et de soleil. Et je crois que c'est cette image que nous avons tous dans notre mémoire. Et votre lyrisme m'a donné encore plus l'envie de vous connaître.

votre livre a beaucoup de charme et ce qui est "drôle" c'est que bien que relatant des événements dramatiques et parlant de votre souffrance et de celle de vos proches, ce qui en reste le plus quelques jours après l'avoir refermé c'est l'impression de vie, de joie de vivre.

 
 
 

 

De S.C.  
 
Nous ne nous connaissons pas, mais j'ai aussi habité à Bains Romains, et à lire votre texte, j'ai eu l'impression de me trouver avec vous sur la plage. Que de souvenirs avons-nous de ce village et de ses plages. Merci de m'avoir, pour un instant, ramené dans notre jeunesse.
Amicalement...

 
 
 

 

De J.V.  
 
Tout d'abord je tiens à vous féliciter pour votre œuvre et votre nomination qui vient concrétiser un travail de mémoire qui nous fait chaud au cœur.

 
 
 

 

Du Docteur Agnès RAMPAL  
 
Chère Jocelyne,
J'ai lu avec beaucoup d'émotion le parcours de votre famille dans "Attache ta charrue à une étoile" : oui nos ancêtres n'ont pas eu la vie facile et ceux qui sont allés fonder l'Algérie étaient bien courageux !
C'est vraiment touchant de voir toutes leurs photos et vos archives familiales.
Docteur Agnès RAMPAL
Maire-Adjoint

 
 
 

 

De N.L.  
 
Chère Madame,
Mes impressions sur vos ouvrages ? Que dire ? Que ce soit « De la Côte Turquoise à la Côte d'Azur », « Au gré des flots » ( que j'ai adoré), « Chez nous en Algérie, la méditerranée était au nord », « Il était une fois ma ville Alger la blanche » ou « Attache ta charrue à une étoile », pour ma part j'admire déjà votre style, léger, sans ambiguïté. Ces écrits sont tellement chargés de souvenirs partagés, qu'en les lisant, subitement, les larmes coulent, des sourires apparaissent et beaucoup d'émotion. Ce que vous éprouvez encore aujourd'hui concernant cette Algérie, Notre Algérie, moi-même je le ressens très fort et ces souvenirs-là resteront toujours inoubliables dans mon cœur. On l'aimait tellement cette Algérie, quel déchirement ! Merci encore pour votre œuvre que j'aimerais faire partager à mes enfants et petits-enfants. Continuez d'écrire ? BRAVO.
Amicalement

 
 
 

 

De Simone  
 
Qu'il est merveilleux ce mimosa de votre enfance !!!
Et que de souvenirs il vous offre.... C'est toujours très émouvant de vous lire, et relire, et surtout ressentir cette profonde nostalgie qui vous habite mais sans amertume pour ce terrible drame, seulement de la peine, de la peine indélébile hélas.....
Je vous embrasse.

 
 
 

 

De Danielle  
 
Quel plaisir j'ai eu de lire ce livre : « Chez nous en Algérie, la méditerranée était au nord ».
J'ai fait un bond de 50 ans, j'ai souvent eu les larmes aux yeux et d'autres fois je me suis éclatée de rire. Pour moi qui n'aime pas trop lire, à la fin de la dernière page, je me suis dis : "oh ! déjà c'est fini"
Amicalement

 
 
 

 

De Nicole  
 
J'adore vous lire, vous faîtes passer un courant extraordinaire. Vos livres sont magnifiques, très beaux, émouvants et drôles parfois.

 
 
 

 

De C.E.  
 
Chère Madame,
Vos ouvrages illustrent avec talent cette mémoire d'une communauté riche d'une humanité et d'un sens de la fraternité dont elle peut être fière. Vous contribuez à la mémoire de l’œuvre de la communauté Pied-Noir.

 
 
 

 

De L.  
 
Chère Madame, j'ai beaucoup apprécié votre discours de remerciements. Je vous renouvelle mes félicitations.Vous faîtes un remarquable travail de mémoire. Il ne faut rien oublier. Que cette année voit la naissance de nouvelles œuvres sous votre si belle votre plume.

 
 
 

 

De S.H.  
 
Qu'il est merveilleux ce mimosa de votre enfance !!!
Et que de souvenirs il vous offre.... C'est toujours très émouvant de vous lire, et relire, et surtout ressentir cette profonde nostalgie qui vous habite mais sans amertume pour ce terrible drame, seulement de la peine, de la peine indélébile hélas.....
Je vous embrasse.

 
 
 

 

De G.L.  
 
Arc-en-Ciel
Très belle description de ces derniers moments couronnés par un arc-en-ciel, qui va terminer magnifiquement ce dernier été avant l'exil . Oui, c'est exact, à la fin du jour les vagues devenaient violettes, se mettaient en deuil et la tristesse de l'avenir inconnu nous étranglait dans ce paysage qui lui existait depuis toujours et lentement se détachait de nous . Merci à Jocelyne Mas pour avoir saisi ces heures de bonheur fugitif de notre jeunesse. Très émouvant !

 
 
 

 

De M.B.  
 
Merci chère Jocelyne ,
Pour cet article si émouvant qui fait revivre nos magnifiques souvenirs de jeunesse " Chez nous " Je ne pourrais jamais oublier ce ciel merveilleux avec son coucher de soleil le soir sur cette belle côte Turquoise que je connais bien ayant habité à La Pointe Pescade entre autre !
Amitié d'une compatriote .
Mireille . B .

 
 
 

 

De S.  
 
Merci pour ce document très parlant. D'abord la VIE, la joie, le bonheur.... puis comme un éclair : le ravage, le désastre.... et que reste t-il ? quelle horreur !! Quel profond chagrin en pensant à toutes les conséquences d'un tel cahot !
Il est nécessaire d'en parler et d'en reparler pour témoigner que le temps qui passe a toujours donné tort même aux plus valeureux des conquérants. Rien n'est à prendre, tout est à donner....

 
 
 

 

De H.  
 
Chère amie,
J'adopte votre point de vue car en parler ou écrire comme vous le faites vous apporte une certaine sérénité vis à vis de vos êtres chers disparus et, surtout, tous ceux qui vous entendent ou vous lisent prennent conscience - enfin - de la gravité de cet évènement et réfléchissent sur eux-mêmes par rapport à l'ampleur du désastre qui ne les avait pas trop touchés car minimisé à l'époque.
L'histoire fera son chemin et s'arrangera avec le temps qui passe......... mais les témoignages du vécu ne peuvent pas être ignorés; c'est justement cela qui vous donne raison. Continuez, vous êtes entendue car ce que vous relatez ce sont des faits, sans jugement, sans vengeance, sans haine, seulement des faits et c'est cela qui amène à réfléchir.

 
 
 

 

De L.C.  
 
Chère Madame,
J'ai lu votre livre « Attache ta charrue à une étoile ». J'ai aimé ce travail, je le relirai car les personnages qui donnent vie à votre œuvre sont si attachants, si vrais : Corentin, Khaled, des hommes de chez nous, des hommes qui travaillaient dur pour donner à ce pays, l'Algérie, une âme. Comment les ignorer ? Comment les oublier ? Ils n'étaient que des hommes avec leurs qualités, leurs défauts, leurs ambitions, leurs amours. Vous racontez là une bien belle histoire. J'imagine un film télé à partir de ce récit. Mais qui aura le courage de montrer une complicité entre un chrétien et un musulman ? C'est nié l'idée répandue et entretenue : l'européen faisait suer le burnous ! Il en faudrait de l'audace ! Mais qui osera ? Permettez-moi de vous féliciter pour ce livre. Je vous souhaite beaucoup de succès das votre travail d'écrivain et de témoin.

 
 
 

 

De C.E.  
 
Chère Madame,
Vos ouvrages illustrent avec talent cette mémoire d'une communauté riche d'une humanité et d'un sens de la fraternité dont elle peut être fière. Vous contribuez à la mémoire de l’œuvre de la communauté Pied-Noir.

 
 
 

 

De L.  
 
Chère Madame, j'ai beaucoup apprécié votre discours de remerciements. Je vous renouvelle mes félicitations.Vous faîtes un remarquable travail de mémoire. Il ne faut rien oublier. Que cette année voit la naissance de nouvelles œuvres sous si belle votre plume.

 
 
 

 

De A.  
 
Chère Jocelyne
Vous ne pouvez savoir à quel point j'ai été heureuse de l'hommage que l'on vous a rendu le 9 Septembre.
Hommage à vous, l'écrivain mais aussi à la femme...
Je savais, qu'il y a encore des années, les femmes n'étaient pas faites pour créer, mais procréer.
J'ai entendu cela encore il y a quelques semaines, j'étais honteuse.Je vous souhaite très bonne continuation et vous adresse mes pensées bien amicales
A.

 
 
 

 

De C. A.  
 
Chère Madame,

Je viens d'achever la lecture de vos ouvrages dont la dédicace m'a beaucoup touchée, et je vous en remercie infiniment. J'ai d'autant plus apprécié "Attache ta charrue à une étoile" que je suis moi-même descendante de paysans mahonnais dont je suis très fière..... et je continue toujours à dérouler ma pelote de ficelle......

Cordialement à vous,
C. A.

 
 
 

 

De Andrée G.  
 
Que cette année vous apporte l'inspiration pour écrire encore de jolis livres. Car merci d'écrire et de décrire si bien ce que l'on peut penser, se souvenir sans pour autant avoir la capacité de le coucher sur le papier.
Votre dernier livre m'a tellement emballée sue je l'ai lu presque d'un trait. Certaines Nouvelles m'ont amusée, d'autres m'ont ramenée vers cette côte, encore si chère à notre coeur, à tel point qu'elle en fait partie ( Grand-Père, les Pionniers) ou ont fait ressurgir de tristes souvenirs ( l'Otomatic, notre Exil). Mamie Rosalie m'a émue et nous fait comprendre qu'il faut toujours garder espoir.
Je pourrai continuer encore et encore.
Bravo! Continuez à nous enchanter et nous serons ravis. Encore merci pour ces belles choses.
Andrée G.

 
 
 

 

De Gabrielle B.  
 
Je lis en ce moment votre dernier livre, je vous félicite, il est facile à lire, agréable et frais comme une l'eau de source. Merci encore.
Quel joli poème !!! C'est un clin d'oeil aux Strelitzias (sourire) !!!! et si magnifiquement écrit par ta belle plume, merci merci, tu as toujours les mots pour dire de bien jolies choses !!!!
Gabrielle B.

 
 
 

 

De B. BA  
 
Chère Jocelyne,
Je viens de lire votre livre « Mon Maître et moi, une histoire d'amour » c'est un bijou !
Je vous remercie d'écrire de si jolies histoires. Votre style est clair comme de l'eau de source.
Continuez à nous enchanter.
Votre fidèle lectrice
B.BA

 
 
 

 

De C. R.  
 
Jocelyne :« Strelitzias ou Oiseaux du Paradis
quand j'étais petite à Baraki chez ma grand-mère, il y en avait un énorme massif. Et comme elle m'avait dit que c'étaient des Oiseaux du Paradis, tous les matins, je me précipitais dehors pour voir si ces belles fleurs ne s'étaient pas envolées vers le Paradis !! »

C'était très joli ce que ta Grand-Mère disait de ses plantes merveilleuses.... et Toi qui attendais le matin qu'elles s'envolent, quelle poésie.... déjà toute petite tu avais une jolie imagination.
C. R.

 
 
 

 

Des Agités de la Plume  
 



 
 
 

 

De André DECHAVANNE  
 
Ma chère amie,

J'ai lu ""Attache ta charrue à une étoile" Je l'ai lu entièrement d'un seul trait tant il m'a captivé. C'est un véritable poème, un si beau rêve qui se termine en cauchemar !
Votre style léger est agréable à lire; vous rappelez à vos lecteurs ce que fut la véritable Algérie de notre temps, sa glorieuse épopée, notre amicale et souvent affectueuse relation avec les musulmans, A vous lire, j'ai vécu une autre fois ce que fut notre vie "là bas", respiré la fournaise du sirocco et admiré ce ciel incomparablement bleu, les plages de notre insouciante enfance, tout ce qui fut notre bonheur..... et aussi notre désespoir quand il nous a fallu l'abandonner. Oui, en le lisant, j'ai vécu un beau rêve.
Merci de l'avoir écrit.

André DECHAVANNE
De la Société des Poètes français

 
 
 

 

De David Lisnard  
 
Chère Madame Mas,

J’ai bien reçu la copie du courrier que vous avez fait parvenir à mon attention concernant votre toute récente nomination au grade de chevalier de l’ordre national du Mérite.
Je vous remercie de ton cœur de ce geste et tiens à vous adresser toutes mes félicitations pour cette prestigieuse distinction attribuée, qui plus est, au titre de la réserve présidentielle.
Je m’associe bien évidemment à votre joie et à votre fierté de voir ainsi vos talents et mérites, récompensés par les plus hautes instances de l’Etat.
Avec mes compliments les plus vifs,

Bien cordialement à vous et meilleur souvenir à votre époux.

David Lisnard.

 
 
 

 

De Claude  
 
Bravo, mes compliments biens mérités.

Nous sommes heureux et fiers, nous Pieds-Noirs,
d'être si bien représentés par vous vis-à-vis des Métropolitains.

Amicalement, je vous embrasse.

Claude

 
 
 

 

De Françoise Bellissime  
 
Bonsoir Jocelyne,

Je me permets de vous transmettre mes sincères félicitations.
Je suis heureuse pour vous que notre Président de la République vous mette ainsi à l’honneur. Quelle belle distinction ! je suis sûre que vos parents auxquels vous avez si bien rendu hommage dans vos livres doivent être très fiers de vous.
Au plaisir de se voir lors d’une prochaine manifestation pour vous féliciter de vive voix.
Bien cordialement,

Françoise Bellissime

 
 
 

 

De Marc LIAUTAUD  
 
C'est une très belle distinction dont je vous félicite! Cordialement.

Marc LIAUTAUD.
Directeur Cannes Université.

 
 
 

 

De Chantal et Jean Derouet  
 
Chère amie,
Il n'y a qu'un mot à dire BRAVO !
Quel succès mérité !
Toutes nos sincères félicitations et toute notre affection.
Encore bravo pour votre décoration bien méritée.

Chantal et Jean Derouet

 
 
 

 

De Charly et Marie  
 
Nous sommes extrêmement flattés et heureux de savoir que tu as obtenu cette haute distinction et très fiers de t'avoir comme amie.
Amitiés sincères d'une patos et d'un pied noir

Charly et Marie

 
 
 

 

De Claude Angevin  
 
Jocelyne,
Bravo, mes compliments biens mérités.
Nous sommes heureux et fiers, nous Pieds-Noirs,
d'être si bien représentés par vous vis-à-vis des Métropolitains.
Amicalement, je vous embrasse.

Claude Angevin

 
 
 

 

De Jean-Louis GARCIA  
 
Jocelyne,
Félicitations, je suis très heureux de ta distinction au niveau national, je t'en félicite chaleureusement. Continue à nous représenter dans ce que tu sais très bien faire et que tu maitrise à merveille :l'écriture.
Amitiés bainrominoises,

Jean-Louis GARCIA

 
 
 

 

De Arlette  
 
TOUTES MES FELICITATIONS POUR CETTE NOMINATION. C'EST UN HONNEUR POUR TOUS LES COMPATRIOTES QUE VOUS REPRESENTEZ.
Arlette

 
 
 

 

De Babette et François Kester  
 
Chère Jocelyne, merci et surtout Bravo pour cette magnifique et grandiose nouvelle!
J'ai ressenti une grande joie pour vous en découvrant la nouvelle de cette décoration.
Comme j'avais eu beaucoup de plaisir à vous lire, pour nos émotions parallèles, merci aussi pour la lettre du Président merci de me l'avoir jointe, si on pouvait en généraliser la portée, ce que seul le Président pourrait faire, je trouve que, au delà de sa destination personnelle pour vous, cette lettre apporte bien du réconfort et je la trouve porteuse de quelques signes de compréhension et de consolation que nous attendions de lui, mais cela non plus ne relève pas de moi, mais de l'autorité éventuelle des Associations Ad'hoc Et c'est un plus que vous en soyez le relais. Je suis ravi que le Président de la République lui-même vous ait choisie pour ce message. Vous pouvez en être fière, et j'associe Alain, vos enfants et tous les vôtres à mes compliments et à ma joie, auxquels se joint totalement Babette!
Je sais qu'ils vous ont soutenue, encouragée et admirée, mais c'est vous seule qui avez pensé et écrit Je vous embrasse de tout cœur avec un gros bouquet de roses sans épine et parfumées de ce beau printemps!

Babette et François Kester

 
 
 

 

De Léon et Simone BESSIS  
 
Bonjour chère Madame MAS,
Je vous remercie infiniment de nous faire partager cette très bonne nouvelle. Vous le méritez bien, par votre savoir, votre gentillesse.
Léon et moi-même, vous adressons nos sincères félicitations. Ainsi qu'à toute votre famille qui doit être très fière de vous.
Nous vous souhaitons que des bonnes choses dans votre vie, et bonne continuation, avec santé et longue vie.
Avec toute notre amitié.

Léon et Simone BESSIS

 
 
 

 

De Christian Ferrer  
 
Toutes mes plus sincères félicitations pour votre nomination. Quand un Pied-Noir est reconnu par la plus haute autorité de l'Etat français cela fait un peu oublier le reste. Votre plaisir est partagé. J'en éprouve autant de joie croyez-le bien. C'est un peu comme si je l'avais reçu moi-même.
Avec toute ma sympathie et mon amitié.

Christian Ferrer

 
 
 

 

De Lionnel LUCA  
 
Madame,
J'ai bien pris connaissance de votre courriel et de votre nomination au grade de chevalier dans l'ordre national du mérite, je vous en remercie.

Je vous félicite pour cette distinction qui vous honore.
Je vous prie de croire, Madame, en l'assurance de mes sentiments les meilleurs.

Lionnel LUCA
Député de la Nation
Vice Président du Conseil Général

 
 
 

 

De P.M. journaliste  
 
Je vous remercie pour la qualité de votre témoignage qui contribue à faire de ce hors-série un grand succès de diffusion.
Hors Série Nice-Matin :« De l'insouciance à la déchirure »

P.M. journaliste

 
 
 

 

De G.d.T.  
 
Mon amie, non je ne crois pas que vous soyez les oubliés du dimanche, ni d'aucun autre jour. Votre cœur est trop généreux pour qu'on vous oublie et qu'importe que ce soit de loin... Avec la poésie pour compagne, on n'est jamais seul.
Je vous embrasse.

G.d.T.

 
 
 

 

De S.H  
 
Pour vous Pieds-Noirs cette chaîne d'amitié qui vous relie, peut-être même sans vous connaître, fait chaud au cœur.

S.H.

 
 
 

 

De N.L.  
 
Je suis fière de ma compatriote algéroise et je vous adresse toutes mes félicitations. Vous devez être heureuse de cette reconnaissance, vous qui avez écrit avec votre cœur.

N.L.

 
 
 

 

De S.H.  
 
Bonjour Madame Mas,
je viens de lire votre magnifique discours, très émouvant aussi, où je vous retrouve sur tous les points et surtout en un solide "constructeur d'un meilleur avenir pour TOUS". Il faudrait beaucoup d'écrivains comme vous qui, tout en pratiquant leur passion, fassent passer un message d'amour, de respect, de bonté, enfin tout ce qu'on ressent en vous lisant; le monde serait tellement plus gentiment "vivable", mais.....
Encore bravo et toutes mes chaleureuses félicitations, continuez....

S.H.

 
 
 

 

De M.B.  
 
Bonjour Jocelyne,
Encore bravo pour ce matin. Votre discours était remarquable.

M.B.

 
 
 

 

De A .Mayet  
 
Toutes mes félicitations pour votre décoration amplement méritée . Je regrette de ne pas avoir pu assisté a cette cérémonie

Bien sincèrement et amicalement
A .Mayet

 
 
 

 

De Marc LIAUTAUD  
 
Merci pour votre invitation. Je vous renouvelle mes félicitations. Bravo aussi pour ce beau discours humaniste et lumineux !

Bien cordialement.

Marc LIAUTAUD
Directeur de Cannes-Université

 
 
 

 

De Jacques Garence  
 
Chère Jocelyne,

J’ai bien reçu votre invitation pour la manifestation de ce jour que j’avais noté dans mon agenda, mais nous avons lundi une Assemblée Générale importante à la CCI et je suis en plein préparatif des dossiers.Je vous prie donc d’excuser mon absence à ce grand moment qui voit reconnaître votre talent.Toutes mes félicitations, en toute amitié.

Jacques Garence

 
 
 

 

De B  
 
Chère Jocelyne,
Le communiqué de presse du Cabinet du Maire de Cannes est un bel éloge pour votre parcours qui est remarquable.

B

 
 
 

 

De Sylvette et Gérard  
 
Une Haute Décoration pour une petite Jocelyne pleine de talent.
Pensons à Yolande et André qui seraient si fiers.
Nous te félicitons vivement et pensons bien à vous ce jour.
Bravo et gros bisous.

Sylvette et Gérard

 
 
 

 

De T  
 
Bonjour Madame MAS,
Sachez que j’ai été très flatté et heureux de partager cet instant de consécration, récompense d’un travail de longue haleine, avec vous hier.
Surtout que ma contribution y est plus que minime, vous ne m’avez pas attendue ni pour écrire, ni pour connaître le succès que vous méritez.

T

 
 
 

 

De A.D  
 
Félicitations !
N'hésitait pas à me contacter pour un écho pour la remise de cette distinction.
Sincèrement impressionné

A.D

 
 
 

 

De Marie-Christine Debris  
 
Ma chère Jocelyne, Ton savoir, ton intelligence, ta gentillesse , ton écoute de l'autre sont aujourd'hui reconnus.

« Ecrivain-Poète » que c'est beau ! Je suis très fière et très heureuse pour toi de te savoir récompensée ce jour de « l'insigne de Chevalier de l'Ordre National du Mérite ». Un beau parcours ma cousine, je serais près de toi par la pensée toute la journée ( et j'en réfère à l'au-delà), je t'embrasse très, très fort, Alain te félicite.

Marie-Christine Debris

 
 
 

 

De T et M  
 
Bonjour Jocelyne, Bravo ! Nous venons de t'écouter ce matin sur Radio Azur à 7h.30 et à 8h.30. Tu as été excellente.

T et M

 
 
 

 

De David Lisnard  
 
Chère Madame Mas, Ce fut réellement un plaisir et un honneur que de vous saluer en une telle occasion. Je suis heureux d’avoir pu vous féliciter personnellement. Je serai évidemment ravi de vous revoir et vous remercie chaleureusement de m’avoir adressé votre discours dont la chaleur et la sincérité m’ont touché. Bien à vous,

David Lisnard

 
 
 

 

De C et J  
 
Bonjour Jocelyne,bravo pour l'article dans le Nice Matin. Nous avons écouté sur Radio Azur votre interview, c'était super.Un grand merci Chers Amis pour cette merveilleuse journée passée à vos côtés.Nous avons été très heureux de partager ses moments privilégiés et remplis d'amitié.

C et J

 
 
 

 

De T et M  
 
Chère Jocelyne, Nous avons beaucoup apprécié ton discours et malgré ton intense émotion, tu as su le terminer. Toutes nos amitiés en ce jour si important pour toute ta famille.

T et M

 
 
 

 

De A.D  
 
Bravo encore ! Vous méritez bien cette reconnaissance et les pieds noirs aussi !

A.D

 
 
 

 

De C et J  
 
Nous avons entendu l'interview à plusieurs reprises de Jocelyne sur Radio Azur. Formidable ! Il n'y a qu'un mot à dire bravo !

C et J

 
 
 

 

De B  
 
J'ai bien reçu vos photos, permettez moi de vous dire que vous êtes sublime et resplendissante, à l'image de votre discours. Je vous remercie encore pour votre dévouement.

B

 
 
 

 

De BTB  
 
Vos ouvrages me laissent sans voix. Me plonger dans vos livres c'est m'abreuver à la source claire, de ce qui fut notre monde, un jour. Un pays si haut en couleurs, en parfums. Quel plaisir de vous lire. Un grand Merci.

BTB

 
 
 

 

De Thérèse  
 

 
 
 

 

De Patricia  
 
Je vous félicite chaleureusement pour votre nomination à l'Ordre National du Mérite. Je suppose que chaque pied-noir, comme moi, ressent un sentiment de fierté lorsqu'une sœur, un frère, est mis à l'honneur !
Mes sœurs et moi étions heureuses de constater que, finalement, tous ces pieds-noirs, en repartant à zéro, sans logement, sans meuble, souvent sans souvenirs autres que dans la tête, eh bien, chacun a réussi à mener sa barque correctement et s'en est bien sorti.
Il est étrange de penser que l'Ordre National du Mérite a été institué par De Gaulle et que, sans lui, peut-être ne seriez-vous pas devenue écrivain. Malgré les évènements, nous étions heureux là-bas et les gens heureux n'ont pas d'histoire.
Amitiés

Patricia

 
 
 

 

De Rémi BLARDONE  
 
Madame,
J'ai bien reçu votre ouvrage et je vous en remercie. J’en profite pour vous féliciter de la qualité de cet écrit particulièrement documenté.

Rémi BLARDONE
Collaborateur de cabinet du Député-maire du Cannet Madame Michèle TABAROT

 
 
 

 

De Monique  
 
Chère Jocelyne,
Vous avez la chance d'avoir pu composer une jolie famille aimante et qui partage vos émotions, même s'il a fallu votre talent d'écrivain pour mieux vous faire comprendre. Je comprends votre attachement à Courmes. Je ne connais pas cet endroit, mais l'aquarelle de votre maison est superbe. Vous avez la chance d'être restée dans la région de Cannes et d'avoir votre mari, vos enfants et petits-enfants près de vous. Vous nous faites vivre votre vie d'avant grâce à vos merveilleux livres. Ils n'auraient jamais vu le jour si vous n'aviez pas traversé toutes ces épreuves. Comme disent si bien les arabes "Mektoub, c'était écrit". Littéralement « ce qui est écrit : notre destin ».

Monique

 
 
 

 

De Jean R.  
 
Je me permets de vous féliciter pour cette nomination dans l'Ordre National du Mérite et de vous dire que toute notre amicale est fière avec vous pour cette reconnaissance littéraire méritée. Je ferai mention de cela dans notre prochain bulletin en octobre-Novembre pour informer tous les adhérents de notre amicale.
Encore bravo et bonne continuation.
Bien amicalement

Jean R.

 
 
 

 

De A.J.  
 
J’ai lu la Nouvelle « Autour d'un tableau de RENOIR » Le déjeuner des canotiers.
J’admire votre facilité pour écrire …et pour expliquer la couleur, et vous en félicite.

A.J

 
 
 

 

De H.G.  
 
J'ai été très heureuse de vous rencontrer. Je suis très impressionnée par votre parcours et encore bravo. Ecrire, c'est avant tout partager et faire plaisir à l'autre.

H.G

 
 
 

 

De M.B.  
 
Sur cet article de Nice-Matin On vous cite en 3ème position, bel hommage et belle reconnaissance de votre talent.

M B

 
 
 

 

De Nicole Bouquet  
 
Madame Mas
Félicitations pour cette distinction qui, d'après ce que je viens de lire, en rejoint bien d'autres.
J'espère aussi pouvoir vous rencontrer un jour, les mots servent souvent de passerelle pour tous ceux qui les aiment.

Nicole Bouquet

 
 
 

 

De M.  
 
Je viens de lire un très beau poème sur la maison de vos grands parents à Baraki
Très émouvant, comme toujours.

M

 
 
 

 

De A.  
 
Votre prose est irréprochable et fait honneur à la langue française, sa valeur et sa poésie rappellent Giono, Pagnol, Mistral.
c'est un exercice qui n'est pas sans intérêt, celui de ne garder que vraiment l'essentiel, ce qui va retenir l'attention du lecteur, garder le rapport avec votre enfance à Baraki.
le tableau illustre joliment le texte.

A.

 
 
 

 

De Monique  
 
Je viens de lire ce bel article sur Paris Côte d’Azur.
Nous sommes très près de la poésie de Pagnol et de Giono, comme le dit si bien Alain.

Monique

 
 
 

 

De Eric  
 
Bonjour
Je me permets de vous féliciter pour tout ce travail que vous faites, et pour ce talent largement reconnu. C'est une très belle histoire et un très beau projet de vie.
Bien amicalement

Eric

 
 
 

 

De Monique  
 
Quel bonheur pour vous tous de savoir la petite Louise dans les bras de sa maman, auprès de son papa et de Lilian.
Félicitations à vous tous et bienvenue à ce beau bébé sur notre terre ensoleillée mais tempérée.
Je pense à votre petite Louise qui devait être dans un état d’attente, depuis sa naissance, car ses seuls moments d’échange avec les autres devaient être ceux de première nécessité, amour et tendresse n’ayant pas leur place dans son premier lieu de vie. Mais votre fils et votre belle-fille, Lilian et vous tous êtes arrivés et elle a droit à une deuxième naissance. Elle va vite rattraper le temps perdu. Et comme vous dites, elle a l’air d’être une bonne nature et sa curiosité va vite lui ouvrir toutes les portes du bonheur, de la connaissance, de la culture, de la joie, du rire, des fous-rires etc... Nous sommes heureux pour elle.

Monique

 
 
 

 

De Bérangère  
 
Votre petite fille est Magnifique et il n'y a pas plus beau cadeau dans une vie que nos enfants, de cœur ou de sang. Elle a beaucoup de chance de faire partie de votre famille, l'adoption n'est autre que la plus grande preuve d'amour et de générosité. D'ailleurs je me suis toujours dit que mon deuxième enfant sera adopté.
Il n'y a pas de plus grande richesse que celle du coeur et de l'âme, qui n'a aucune frontière. Je ressens à travers nos échanges que vous faites partie de ces personnes tellement respectables et admirables.

Bérangère

 
 
 

 

De Agnès J.  
 

 
 
 

 

De Guillaume LAMBERT  
 
Le Chef de Cabinet
du Président de la République



Chère Madame,

Le Président de la République m'a confié le soin de vous féliciter pour vos récits et poèmes écrits dans une langue élégante et colorée, empreinte de nostalgie et se réjouit que votre œuvre reçoive la reconnaissance qu'elle mérite.

Je vous prie d'agréer, Chère Madame, l'expression de mes hommages.



Guillaume LAMBERT

 
 
 

 

De Armand Patrick Mbianda Nya  
 
Chère amie,
c'est avec un énorme plaisir que je viens tout juste d'apprendre votre prestigieuse nomination au fabuleux titre de Chevalier National dans l'Ordre National du Mérite, de la part de notre Président de la République, Monsieur Nicolas Sarkozy.
Chère amie artiste, ayant appris cette merveilleuse nouvelle j'ai tenu à vous témoigner ici ma grande et sincère joie à votre égard, car je sais à quel point l'on est heureux lorsqu'on reçoit une récompense surtout lorsqu'on se distingue des autres personnes dans le même domaine que soi (ma dernière distinction date de 2009 où j'ai été lauréat du Prix du Conte au grand concours littéraire du monde francophone de l'Académie poétique et littéraire de Provence.)
Car une fois de plus, votre mérite artistique,
culturel et littéraire à été récompensée et je me dis que de toutes vos multiples distinctions, ce titre fabuleux est à sa juste valeur le plus important du fait de sa valeur (la reconnaissance de la patrie)
Une fois de plus, je partage votre immense joie et vous félicite très sincèrement.
Recevez ici, chère amie, mes meilleures pensées

Bien cordialement,

Armand Patrick Mbianda Nya
Artiste Comédien-Conteur et Auteur,
Académicien de Provence (La Bouilladisse)

 
 
 

 

De Marie-Anne et Paul L.  
 
Chère Jocelyne,
Comme tes parents auraient été fiers de toi ! S'ils étaient encore avec nous. Ton père aurait été aux anges de te voir décorer de l'Ordre National du Mérite ( décoration qui vient tout de suite après la Légion d'Honneur), et à l'initiative du Président de la République ! Quel Honneur !
Nous te félicitons du grand honneur auquel tu accèdes. Nous t'embrassons très fort .
Marie-Anne et Paul L.

 
 
 

 

De J.L.G.  
 
Bravo chère amie,
Vous venez rejoindre ceux d'entre nous qui ont été distingués par les plus hautes autorités de l'Etat.
Soyez en félicitée, et soyez surtout remerciée de partager avec nous tous la joie qui doit être la vôtre ces jours-ci.
Quant aux décorations de ce type, certains, qui n'en auront jamais, souvent parce qu'ils n'en sont pas capables, les méprisent.
Eh bien tant pis s'ils n'ont pas connu la grandeur de la France, et ne savent même pas ce que cela veut dire.
chaleureuses félicitations.
J.L.G.

 
 
 

 

De Josette  
 
bonjour Madame
je vous félicite, encore une pied-noire qui s'est distinguée, c'est tout à notre honneur
cordialement
Josette

 
 
 

 

De J.P.C.  
 
Bonjour,
Je vous félicite très chaleureusement pour cette nomination dans l'Ordre National du Mérite amplement méritée.
Vos ouvrages expriment des sentiments d'amour envers votre terre et les personnes qui l'ont façonnée et permettent à chacun de retrouver une part de soi-même dans vos écrits. A l'époque actuelle où les valeurs de solidarité et d'amour sont mises à mal, la lecture de vos livres est précieuse.
Bien à vous en toute amitié.
J.P.C.

 
 
 

 

De Chantal  
 
Votre poème pour cette belle petite fille est magnifique, on sent tout l'amour que vous lui portez, encore une fois bravo pour votre jolie écriture. Nous sommes sûr qu'elle gardera ce poème précieusement telle un trésor sans prix.
Chantal

 
 
 

 

De Jacques Garence  
 
Chère Jocelyne,

Je vous adresse toutes mes félicitations pour cette distinction méritée pour avoir su traduire à travers vos différents ouvrages tout votre attachement à vos racines et à votre pays.

Encore un grand bravo,
Amitiés à Alain


Jacques Garence
Directeur Général Adjoint
Chambre de Commerce et d'Industrie

 
 
 

 

De J.M.  
 
Chère JOCELYNE,
Je vous félicite pour cette haute distinction. Vous avez écrit ces ouvrages pour marquer les mémoires, les esprits, pour expurger vos souffrances d'avoir perdu notre si beau Pays.
Tous vos propos et vos écrits sont sincères.
Que cette distinction puisse développer la vente de vos livres ; afin que vos lecteurs comprennent..... politiquement aussi ce qui s'est déroulé dans nos départements d'Afrique du Nord.
Bien cordialement chère Compatriote
J.M.

 
 
 

 

De C.F.  
 
Chère Jocelyne,
Je viens de terminer « Chez nous la Méditerranée était au nord »
J’ai fais mieux que lire ce livre, je l’ai vécu avec beaucoup d’émotion.
Merci pour ce livre que je vais offrir à un ami de Saint Eugène. Je vous demanderai de bien vouloir le dédicacer.
Pour tous ceux qui n’ont pas oublié et qui souffrent encore de cette absence, votre livre est un véritable rayon de soleil. La vérité passe mieux avec des images, et ce livre est tellement rayonnant dans tous ses détails, qu’on arrive à y voir les fleurs, les fruits, les végétaux, et à y sentir leurs odeurs. Rien n’a été oublié, pas même le renard des sables. Et tant pis s’il ne reste aujourd’hui dans ces lieux qui s’abiment par manque de soins et d’amour que l’odeur de la poudre, du sang et de la trahison.
J’ai fais avec vous un beau voyage dans ces fabuleux moments passés sur ces rivages enchanteurs, ainsi que dans nos illusions perdues aux barricades. C'est-à-dire avec tout ce bonheur et cet espoir qui faisaient partie de notre vie et qui restent attachés à nos pas pour nous rappeler que de l’autre côté de la mer il y avait un petit paradis qui s’est éteint pour « tout le monde » quand nous l’avons quitté.
C.F.

 
 
 

 

De M.B.  
 
Chère Jocelyne,
J’ai lu le poème pour Louise ce matin. Il est magnifique et très émouvant. J’en ai les larmes aux yeux et la gorge nouée. Il est admirable. N’y changez rien. Tout est dit. Il est aussi émouvant, voire plus que celui que vous aviez écrit pour Lilian. Vous êtes talentueuse. Vous savez écrire des mots aussi beaux .
Gardez votre plume, elle est si belle.
M.B.

 
 
 

 

De T.H.  
 
Vous êtes une magicienne des mots
T.H.

 
 
 

 

De Monique B.G.  
 
Bonjour,

Comme Philippe nous l’avait annoncé, Jocelyne Mas a accepté de nous rencontrer dans notre atelier écriture le mardi 22 mars de 17h300 à 19h00.

Cette rencontre avec cette femme écrivain, née à Alger, récompensée pour ses ouvrages est un moment privilégié. Vous pourrez lui demander ce qui l’a poussé à écrire, comment elle a reçu son premier prix littéraire avant même d’être publiée…


Extrait de sa lettre de présentation :

« Le proverbe arabe dit : « Si ce que tu as à dire n’est pas plus beau que le silence, alors tais-toi ! », moi, je ne fais pas de bruit, j’écris. Un écrivain, un poète peut transcrire les sentiments, les émotions d’un homme aussi bien que ceux d’une femme. Mes mots sont des larmes, ils coulent et roulent dans le cœur du lecteur, le réjouissent, le bouleversent ou l’enchantent, c’est selon. Le temps est suspendu, le lecteur est devenu mon ami. La parole d’un ami, le regard d’un ami, sa main dans la mienne, c’est déjà un baume pour mon âme d’exilée. Car partager une page, c’est partager l’amitié.

Nous lui avons demandé d’apporter quelques exemplaires de ses livres, sinon, vous pouvez vous les procurer sur son site. http://www.jocelynemas.com/

Son premier livre : «Il était une fois ma vie, Alger la Blanche», a été primé au 33° concours international littéraire des « Arts et Lettres de France ».

Un deuxième livre : « Chez nous, en Algérie, la Méditérranée était au nord» aux éditions "Bénévent"
Ce livre est un hommage au dur labeur de tous nos parents.

Ce livre a obtenu le PRIX MEDITERRANEE décerné par le Centre Européen pour la Promotion des Arts et Lettres au 10ème Concours Littéraire International et le diplôme d'Honneur du Salon des Rapatriés.

Un troisième livre : " De la Côte Turquoise à la Côte d'Azur" , "Pêle-mêle d'ici et de là-bas".
Ce livre est illustré: Il s'agit de plusieurs romans (264 pages).
Certains se situent en Provence, dans ces petits villages fleurant bon le thym et la lavande et d’autres, dans ces oasis luxuriantes où lauriers roses et jasmins embaument. Cet ouvrage vient d’obtenir la Médaille de Bronze avec Mention d’Excellence au Concours International Littéraire organisé par le Centre Européen pour la Promotion des Arts et Lettres ainsi que le Prix du Trentenaire décerné en Mai 2008 à Antibes - Juan les Pins lors du XXXème Salon national des écrivains et artistes rapatriés.


Voici un quatrième livre, celui-ci est un recueil de poèmes illustrés : "Au gré des flots, Vague à l'âme et clapotis mélancolique" Quelques pensées cueillies au vent chaud soufflant du Sud : Le sirocco. Ces poèmes forment un arc-en-ciel, d'une rive à l'autre par delà la Méditerranée, peines et joies mêlées. Ce livre a obtenu La Médaille d'Argent du Mérite Culturel avec Mention d'Excellence. Ces poèmes ont été sélectionnés pour paraître dans l'Anthologie Poétique de l'UNICEF


Voici une Nouvelle : "Mon Maître et moi, une histoire d'amour"
Ce petit livre vient d'obtenir dans la "catégorie Nouvelles" : le "2° Prix des Arts et Lettres de France".
Il est vendu au profit de nos refuges régionaux, surchargés du fait des abandons massifs de cet été.


Je serai malheureusement absente de Cannes pour cette rencontre, mais vous m’en parlerez ultérieurement.

Amicalement

Monique B.G.

 
 
 

 

De G. LEGER  
 

 
 
 

 

De Christian F.  
 
Le 7 juin 2011


Chère Jocelyne Mas,

Je viens de terminer « Chez nous la Méditerranée était au nord »
J’ai fais mieux que lire ce livre, je l’ai vécu avec beaucoup d’émotion.

Je peux dire que j’ai eu là bas un destin clément. Je n’ai assisté à aucun massacre, en dehors d’une jeune fille que je venais de déposer d’un taxi aux abords de chez elle et qui s’est aussitôt après faite poignarder dans une entrée d’immeuble. Elle ne succomba pas à ses blessures.
Je n’ai pas connu l’exode. Entrant dans l’armée le 4 janvier 1962 je quittais mon pays quelques jours plus tard pour la métropole. Je n’ai jamais revu Alger.
Cela a dû être si dur sur les quais de Marseille. Sans aucun soutien psychologique, à la mode aujourd’hui pour le moindre incident, sans savoir où aller pour certains, et avec en prime le mépris des métropolitains et leur rejet.
Nous, les victimes de cette immense catastrophe, n’étions pour eux que des coupables. Car il ne faut pas se faire d’illusion, aujourd’hui encore à la moindre incartade nos origines nous rattrapent aussitôt. Et rien ne peut être dénoncé par nous sans que cela prenne une tournure raciale.
Avec la perte de notre Algérie, nous n’avons pas seulement perdu nos racines, mais aussi notre identité. Nous ne sommes que des français d’importation au même titre que ceux qui débarquent de partout, mais qui bénéficient eux de la solidarité française. Cette croix est devenue aussi lourde que celle de Lorraine.

Merci pour ce livre que je vais offrir à un ami de Saint Eugène qui loge à Nice depuis. Je vous demanderai de bien vouloir le dédicacer.
Pour tous ceux qui n’ont pas oublié et qui souffrent encore de cette absence, votre livre est un véritable rayon de soleil. La vérité passe mieux avec des images, et ce livre est tellement rayonnant dans tous ses détails, qu’on arrive à y voir les fleurs, les fruits, les végétaux, et à y sentir leurs odeurs. Rien n’a été oublié, pas même le renard des sables. Et tant pis s’il ne reste aujourd’hui dans ces lieux qui s’abiment par manque de soins et d’amour que l’odeur de la poudre, du sang et de la trahison.
J’ai fais avec vous un beau voyage dans ces fabuleux moments passés sur ces rivages enchanteurs, ainsi que dans nos illusions perdues aux barricades. C'est-à-dire avec tout ce bonheur et cet espoir qui faisaient partie de notre vie et qui restent attachés à nos pas pour nous rappeler que de l’autre côté de la mer il y avait un petit paradis qui s’est éteint pour « tout le monde » quand nous l’avons quitté.

Bien amicalement

Christian F.

 
 
 

 

De Patricia R.  
 


UNE MEDITERRANEENNE CONVAINCUE


Un témoignage authentique, émouvant, poignant

C’était un véritable privilège d’assister à l’interview de Jocelyne MAS, mardi 22 mars 2011 ; l’auteur est venu nous rencontrer dans le cadre intime de notre atelier d’écriture ; elle nous a confié des pans très personnels de sa vie : témoignage de son père naturel retrouvé à l’âge de 50 ans alors qu’il avait quitté l’Algérie à ses 2 ans.

Elle nous a livré avec pudeur un vécu douloureux en évoquant l’attentat de la rue d’Isly perpétré le 26 mars 1962, le déchirement d’un départ précipité sans espoir de retour. Mais sa vie d’alors, « sa première vie », comme elle aime à la définir en tant qu’adolescente, était également empreinte d’un grand bonheur ; elle évoque dans ses récits la joie de vivre, les interminables dîners de famille, la nature, les odeurs, la chaleur de l’accueil.

Nombreux sont les lecteurs, connus ou non, qui ont versé des larmes en découvrant ses ouvrages. L’émotion est palpable à chaque page ; étant fort intéressée par les autobiographies d’auteurs, j’ai été particulièrement sensible aux descriptions précises qui émaillent ses livres ; une force se dégage de ses nouvelles qui repose peut-être sur des moments de bonheur immense partagé sans compter au cours de son enfance et adolescence.


Un éclairage objectif


L’émotion partagée par les nombreux lecteurs et en particulier ceux de souche pieds noirs m’a confortée dans l’idée que la vie avant les graves évènements de 1962 était un pur bonheur. Tout le monde vivait en bon entendement. C’était une période idyllique aux dires de nombreux natifs que j’ai moi-même côtoyé au cours de ma carrière.

Hélas, le drame arrive et Jocelyne est contrainte à l’exil avec sa famille. Elle évoque la douleur d’être devenue une rapatriée, d’avoir du tout laisser derrière elle : maison, chien, famille, amis; elle dépeint avec force de détails la grande cruauté et violence qui règnent en maître durant ce mois de mars 1962 (attentats commis dans les rues d’Alger).

Cependant, en dépit de ces rudes périodes, il est une consolation, celle de vivre sur la Côte d’Azur, sur les rives de cette Méditerranée éternelle si chère à son cœur ; comme elle, Jean-Claude Brialy a connu deux amours, de part et d’autre de la Grande Bleue.


Les récits de Jocelyne sont à la fois nostalgiques, gais, émouvants, alternant joies et peines. Le proverbe arabe y trouve toute sa dimension : « Si ce que tu as à dire n’est pas plus beau que le silence, alors tais-toi ! »

Patricia R.

 
 
 

 

De M.G.  
 
J’ai commencé votre livre au titre mythique : « Chez nous, en Algérie, la méditerranée était au nord… votre vision et vos souvenirs semblent tout droits pêchés de la mer, tellement ils sont frais.
Je suis émerveillée par la précision de vos écrits, la profusion de détails, de noms, de lieux.
On s’y croit. Lire votre livre, c’est se plonger 50 ans en arrière, à l'époque des tresses et des queues de cheval.
M.G.

 
 
 

 

De J.B.  
 
Chère Madame,
J'ai lu votre excellent ouvrage « De la Côte Turquoise à la Côte d'Azur ». C'est un magnifique recueil de Nouvelles, écrit avec beaucoup de maitrise et de sensibilité également.
La Nouvelle est un genre littéraire difficile et peu prisé du public français notamment.
Bravo donc !
J.B.

 
 
 

 

De Jacques Garence  
 
Chère Jocelyne,
Je vous adresse toutes mes félicitations pour cette distinction méritée pour avoir su traduire à travers vos différents ouvrages tout votre attachement à vos racines et à votre pays.
Encore un grand bravo.
Jacques Garence Directeur Général Adjoint
Chambre de Commerce et d'Industrie

 
 
 

 

De Michel SEYRAT  
 
Permettez-moi, chère Madame, de vous féliciter à mon tour pour la brillante distinction que vous avez reçue. L'ordre du mérite est bleu, comme cette Méditerranée dont vous chantez si bien les deux rives.
Bravo donc, bien sincèrement.
Michel SEYRAT Journaliste TéléAzur

http://indabanetworkfr.wordpress.com/
http://www.niceazurtv.fr/

 
 
 

 

De Philippe Porteron  
 
Madame,
Je viens par la présente vous féliciter en mon nom et au nom du Comité de Sauvegarde du Vieux village de Saint-Laurent du Var pour cet hommage qui vous est rendu justement, je ne trouve pas les les mots pour vous féliciter de ce haut fait, mais cette récompense, prenez là et savourez là au nom de tout un peuple que vous avez toujours défendu dans vos écrits.
Recevez toutes nos amitiés et nos considérations pour cette récompense largement méritée.
A très bientôt

Philippe Porteron et le CSVV

 
 
 

 

De François Paz  
 
Chère amie,
Pour votre dernière distinction, je vous félicite pour cet Ordre National du Mérite, mais peut-être au train où ça va en avez vous reçu encore une autre?
Non, sans plaisanter, la communauté est fière de vous compter parmi les écrivains les plus talentueux et les plus reconnus.
Amitiés
François Paz Le Clan Comité de liaison.

 
 
 

 

De Jacques Mirallès  
 
Chère JOCELYNE,
Je vous félicite pour cette haute distinction. Vous avez écrit ces ouvrages pour marquer les mémoires, les esprits, pour expurger vos souffrances d'avoir perdu notre si beau Pays.
Tous vos propos et vos écrits sont sincères.
Que cette distinction puisse développer la vente de vos livres ; afin que vos lecteurs comprennent..... politiquement aussi ce qui s'est déroulé dans nos départements d'Afrique du Nord. Bien cordialement chère Compatriote
Jacques Mirallès

 
 
 

 

De S.H.  
 
Madame,
J'ai écouté votre interview : toujours aussi nette, précise dans une modestie qui suscite la sympathie et surtout la curiosité d'en savoir plus. Comment faîtes-vous devant un planning aussi chargé ?
La vie est merveilleuse quand on court après le temps....

 
 
 

 

De S.B.  
 
Madame,
J'ai été très touchée de votre poème qui m'a vraiment fait plaisir.
Vous êtes d'une sensibilité extraordinaire qui ne peut nous laisser indifférent. Je vous dis un grand merci du fond du cœur.

 
 
 

 

De M.G.  
 
J’ai laissé votre livre « Il était une fois ma vie… » à mon père qui veut le lire et qui bien sûr a reconnu la couverture : Le Jardin d'Essai ou Parc du Hamma.

Après la période heureuse de l’enfance, qui peut être commune à bien des personnes, on entre dans votre vie à bras ouverts.

Plusieurs passages sont très durs, notamment votre entrée à l’école. J’ai revu vos diplômes des petites classes sur lesquels vous portez successivement vos deux noms…

Votre retour en France, dans lequel bon nombre de pieds noirs ont pu s’identifier, votre famille proche, éloignée géographiquement, qui ne se souciait pas de votre devenir, ni même de votre lendemain. Et ensuite, comme si toutes ces épreuves ne suffisaient pas, le courage bien tardif de votre tante qui vous a donné dans une boite une partie de votre histoire, celle qu’on vous avait cachée. Avait-elle un accord avec votre grand-mère pour taire la vérité ou prise de remords, n’a-t-elle pas voulu partir avec ce lourd secret ? Ensuite, vous expliquez combien il a été difficile de tisser des liens avec un père évincé de votre vie.

Votre démarche est exemplaire. C’est une belle preuve d’amour et de courage que vous donnez à vos proches, à vos enfants et petits enfants. Il y a tellement de non-dits dans les familles qui portent de lourds secrets et qui pensent que pour le bien des uns et des autres, il vaut mieux taire la vérité, la masquer ou l’ignorer. Sans doute votre livre a dû faire sortir des vérités enfouies dans d’autres familles.

J’ai profité des vacances pour lire (et relire) vos poèmes. J’ai bien sûr beaucoup aimé ceux inspirés par votre petit fils Lilian. « Petit bonhomme » est un pur chef-d’œuvre. Félicitations.

Sincèrement.

 
 
 

 

De G.d.T.  
 
Merci chère amie pour ces mots que vous avez su faire rebondir, de cœur en cœurs pour les ouvrir à la fraternité.

 
 
 

 

De A.L.  
 
J'éprouve toujours beaucoup de plaisir et d'émotion à vous lire.

 
 
 

 

De S.B.  
 
Chère Madame MAS,
Je suis très sensibilisée par vos écrits. Je ne vous cache pas qu'en regardant votre photo où on vous sent très émue, je l'ai été moi-même jusqu'au larmes, vous me touchez beaucoup, chère Madame MAS.
Votre sensibilité, votre humanité ne me laissent pas indifférente.

 
 
 

 

De C.A.  
 
Chère Madame,

Quelle agréable surprise quand je suis arrivé au milieu du magazine que vous avez eu la gentillesse de m'envoyer. Votre portrait souriant, expressif, rassurant m'a tout de suite à nouveau charmé,comme l'ont été vos prestations d'ailleurs tout au long de cette mémorable soirée.

La mise en page est belle et les textes font chavirer les cœurs sensibles, ces cœurs mis à l'épreuve depuis un demi siècle. Mais vous avez le don de nous insuffler du courage et de l'espoir. Merci pour tout.

Je retiens sur mes tablettes la date du vendredi 22 Avril, je serai ravi de vous écouter, vous qui savez nous donner du baume au cœur!

 
 
 

 

De Taouès TITRAOUI & Bernard COLL  
 
Chère Compatriote et Amie,
Nous tenons à vous féliciter pour ce nouveau prix et pour l’ensemble de votre œuvre. Nous en informerons nos compatriotes dans un prochain Bulletin d’information JPN.
Encore bravo et merci pour votre efficace action en faveur de notre communauté. Gagnons ensemble pour que tous nos compatriotes Harkis/PN/Soldats français et Amis aient le droit à la Vérité et à la Justice. Mme Taouès TITRAOUI, fille de Harki
Elue locale – Membre du Haut Conseil des Rapatriés depuis sa création en 2002
Bernard COLL – Secrétaire général de JPN

 
 
 

 

De Norbert ABAD  
 
Chère Madame,
La Présidente Madame RUVIRA, me charge à nouveau de vous exprimer tous ses regrets pour n' avoir pu être des nôtres lors de votre conférence sur le thème de «L'Algérie heureuse».
Votre conférence a été très apprécié, celle-ci a ému plus d' une personne de l'assistance.
J'ai également eu beaucoup de plaisir de faire votre connaissance.
Norbert ABAD Trésorier du Cercle Algérianiste de Toulon.

 
 
 

 

De S.P.  
 
Monique et moi, avons été très heureux d’être avec vous ce 18 janvier et surtout d’apprécier le succès de la conférence.

 
 
 

 

De J.V.  
 
Ma chère Jocelyne, j'ai été ravie de cette rencontre.
Je suis allée sur votre site et je suis fière de vous avoir rencontrée, vous faites honneur à la communauté Pied- Noir.
Amitiés

 
 
 

 

De I.T.  
 
Madame, Je viens de lire vos poèmes avec un grand plaisir. Les images qu'ils véhiculent sont douces et parfois fortes, l'odeur est présente, la couleur aussi.
Leur originalité me plaît.
Continuez.

 
 
 

 

De C.A.  
 
"Le bonheur vaut que s'il est partagé!"
Je ne sais qui a dit cette phrase pleine de sagesse, mais j'en fais mienne aujourd'hui, car elle illustre bien la chaude ambiance de cette fameuse soirée. La lecture de vos poèmes a charmé l'auditoire attentif parce que pleins de chaleur et de messages de paix.
En ce qui me concerne, j'en ai découvert et savouré la nostalgie nourricière. Une soirée très réussie et mémorable. Je suis ravi de vous avoir rencontrée. En ce moment je me délecte à lire et relire les douces ou puissantes créations en italique de votre précieux recueil de poésies qui, elles, ne mourront jamais.
Ensuite je passerai au volume « Chez nous en Algérie la méditerranée était au nord »et je vous ferai part de mes réactions.
Bien cordialement, et encore bravo...

 
 
 

 

De A.S.  
 
Madame, je tiens à vous féliciter, pour le prix de l’UNICEF concernant les poèmes du livre intitulé « Au gré des flots », que j’ai hâte de lire. Sa sélection pour le 3° prix, est un honneur et démontre que vous êtes une personne, qui écrit avec son coeur.
Je vous souhaite beaucoup d’autres succès.

 
 
 

 

De S.G.  
 
Toutes nos félicitations pour ce beau diplôme, bien mérité

 
 
 

 

De G.L.  
 
Bonjour Jocelyne !!
Merci pour ce merveilleux texte ! ! mais qu'il est beau ! il me plait beaucoup ! !
je suis en train d'écrire moi aussi, mais ce ne sera jamais aussi beau que ton texte!

 
 
 

 

De S.H.  
 
Bravo !!! encore une fois vous êtes à l'honneur et votre talent récompensé. Toutes mes félicitations

 
 
 

 

De B.C.  
 
J’ai assisté, avec beaucoup d’émotion, à la conférence de Jocelyne sur l’Algérie au club Carnot.
Merci Jocelyne pour toutes les émotions que vous avez fait remonter en moi qui ai vécu 20 ans à Hydra .

 
 
 

 

De Monsieur Jacques PEYRAT  
 
Chère Madame,
Connaissant votre parcours littéraire, nous ne pouvons que vous féliciter pour votre Prix de Poésie, totalement mérité.

 
 
 

 

De D.L.  
 
Chère Madame,
Je vous félicite pour ce bel hommage rendu à l'écriture. Je renouvelle tous mes compliments pour votre sélection dans le cadre de l'Anthologie Poétique de l'UNICEF que j'ai déjà eu grand plaisir à saluer.

 
 
 

 

De Sabine  
 
C'est vraiment super, mais ça ne m'étonne pas, tu as beaucoup de talent et de sensibilité et ce n'est que justice qu'on le reconnaisse en te donnant un prix.. le 3°Prix au concours européen de l'UNICEF, c'est fabuleux. Continue.

 
 
 

 

De Patricia  
 
Ainsi que de nombreux compatriotes, je suis très fière de vous car dans chaque pied-noir, nous découvrons un frère, une sœur, un fils, une fille et cette très grande famille déchirée, disloquée, écartelée, a su tisser un lien invisible mais très fort d’amour. C’est le fil de l’araignée : si ténu et si solide à la fois !
Encore toutes mes félicitations.

 
 
 

 

De F.V.D.S  
 
Chère Madame,
Je viens de terminer la lecture de votre livre « Chez nous en Algérie, la méditerranée était au nord ». L'émotion a été prédominante chez moi lorsque vous parlez de la nature, de tout ce qui vous entoure, de l'Algérie que j'ai découverte dans votre littérature. Vous connaissez votre pays par cœur, en dehors du récit je vous trouve très inspirée dans votre écriture, la description des paysages, de vos sentiments profonds. C'est un ouvrage qui est très complet.
Vous avancez à grands pas, c'est la réponse naturelle à votre enthousiasme et à votre talent. Votre vraie motivation est bien le souvenir, le fervent désir de perpétuer, l'amour pour ceux qui nous ont quitté et toute la reconnaissance que nous éprouvons pour eux. Mes vœux vous accompagnent dans votre aventure littéraire.

 
 
 

 

De David LISNARD, Premier adjoint au Maire de Cannes, Conseiller Général  
 
Chère Madame,
Permettez-moi de saluer une nouvelle fois la qualité de votre parcours et votre très grande fidélité à vos racines, évoquées avec beaucoup de délicatesse.
Cela vous a valu d'ailleurs de nombreux Prix Littéraires et récompenses qui sont autant de témoignages de reconnaisance de cette belle poésie composée au fil des ans.

 
 
 

 

De S.G.  
 
Un grand merci pour votre talent d'écrivain et vos contributions au bonheur des lecteurs ! Nous apprécions beaucoup vos textes si vivants et attrayants !
S.G.
Centre Européen pour la Promotion des Arts et des Lettres

 
 
 

 

De B.B.  
 
Chère Madame,
Je viens de terminer votre livre « Au gré des flots »
J'ai beaucoup aimé vos poésies, elles parlent à l'âme. Merci encore, continuez pour notre plus grand plaisir.

 
 
 

 

De S.H.  
 
Madame,
Je viens de terminer la lecture de votre dernier livre « Au gré des flots » j'ai trouvé votre poème "Petit Bonhomme" absolument délicieux, très émouvant dans la finesse de l'expression; j'ai retrouvé le cheminement des parents et de vous aussi dans l'accomplissement de ce rêve merveilleux.
Rien de surprenant que vous ayez encore une fois été "primée". Quelle distinction ! Paraître dans l'Anthologie Poésie de l'UNICEF ! C'est une belle récompense et vous la méritez.
Continuez, vous faites des milliers d'heureux.

 
 
 

 

D'Arlette  
 
Toutes mes félicitations pour ce recueil de poèmes qui méritait une préface de Mme Geneviève de TERNANT.
Je suis d’autant plus heureuse que ce soit un livre écrit par une française d’Algérie qui ait été sélectionné pour figurer dans l’Anthologie poétique de l’UNICEF 2010, c’est une belle récompense, bravo Jocelyne pour cet honneur.

 
 
 

 

De Christian  
 
Toutes mes félicitations. Vous représentez avec panache le peuple pied-noir.

 
 
 

 

De Joseph  
 
Je me permets de vous adresser mes bien modestes et sincères félicitations pour la sélection de votre poème, "Petit Bonhomme", qui figurera dans l'Anthologie poétique 2010 de L'UNICEF.

 
 
 

 

De Thierry  
 
Je sais que votre écriture est de grande qualité, vos nombreux prix l'attestent.
Félicitations.

 
 
 

 

Du Docteur Agnès RAMPAL  
 
Bonjour Jocelyne
Toutes mes plus amicales félicitations pour votre sélection dans l'anthologie poétique de l'Unicef : c'est une superbe reconnaissance de votre travail
Très amicalement

Docteur Agnès RAMPAL
Maire-Adjoint chargé de l'Enseignement Supérieur, de la Culture Scientifique, de la Vie Etudiante,des NTIC et des Rapatriés
 
 
 

 

De Janine  
 
Merci infiniment pour ce livre que vous avez eu le courage d'écrire. Je l'ai "dévoré" en me retrouvant chez moi. J'habitais à Ténès, petite ville où tout le monde se connaissait, mes meilleures amies étaient juives et arabes. Mais j' ai aussi vécu de 1959 à 1961 à Alger, d'abord pour aller au lycée Delacroix puis aux facs. J'ai bien sûr connu les lâches attentats : l'Otamatic, le Milkbar, ai participé au concert désespéré des casseroles. Le 24 janvier j'étais aux premières loges pour voir les CRS descendre du plateau des Glières, pour courir alors que cela tirait de tous les côtés.
Je pense comme vous que notre devoir est de raconter à nos enfants d'où nous venons, ce que nous avons vécu de joies, de peines et de déchirement.
Comme vous j'ai toujours rêvé de retourner voir ma ville, les coins enchantés de notre enfance mais je n'ai pas eu votre courage et ne sais si je réaliserai ce rêve un jour. Tout a changé comme vous l'écrivez si bien.
J'ai donc adoré votre livre.
Donc merci encore.

 
 
 

 

De Geneviève  
 
Chère Madame, je viens de terminer votre livre " Chez nous en Algérie, la méditerranée était au nord", je tiens à vous remercier de ces quelques lignes qui m'ont replongées dans mon enfance où les noms, les lieux typiques et les souvenirs attachés à notre pays ont suscité mon émotion et fait perler plusieurs larmes, merci pour tout ce que seule notre mémoire fait vivre encore et que nous ne reverrons plus. Déracinés nous sommes et quant à moi, je n'ai pas cessé depuis cinquante ans d'être une nomade, à la recherche de ce que je ne puis retrouver : mes racines.

 
 
 

 

D'Eliane  
 
J'ai découvert avec un grand bonheur ton parcours d'écrivain...et appris un peu aussi sur ta vie personnelle. Mille fois bravos pour ton site, c'est tout à fait étonnant de se retrouver ainsi, j'ai consulté donc tes albums. Superbes ! Je te retrouve bien dans mon souvenir lorsque je revois toutes ces photos je vais car j'aime lire et curieuse aussi, je vais donc rapidement découvrir la lecture de tes livres avec beaucoup de plaisir et d' émotion.

 
 
 

 

De Nabyl  
 
J'aimerai entrer en contact avec vous pour parler un peu du pays et surtout soulager votre douleur, j'ai lu votre écrit et croyez-moi que larmes venaient toutes seules.Au plaisir de vous lire très bientôt

 
 
 

 

De Mahiout  
 
Juste pour vous dire que j'ai grandi juste en face de chez vous au Belvédère, que j'y demeure toujours voila 60 ans et qu'il ne reste plus rien des merveilles c'est aussi et surtout pour vous présenter mes félicitations, vous dire que je me tiens à votre disposition au cas ou vous auriez besoin ....
mes salutations distinguées Madame puisse Dieu vous apporter beaucoup de joie de vivre et bonne santé

 
 
 

 

De Mourad  
 
C'est un concitoyen algérien mais né Français; natif du centre d'Alger en plein cœur de BAB-EL-OUED (avenue de la BOUZAREAH au n° 206...) j'aimerai bien entrer en contact avec vous, je suis un passionné de littérature sans soutien sur place... L'essentiel dans cette approche, c'est que j'ai trouvé une similitude dans pas mal de choses à savoir : l'amour que je porte à mes concitoyens, les anciens d'Algérie, est profonde, ayant vécu au sein de cette communauté, dont je garde un excellent souvenir d'enfance... Je vous demande si cela sera possible de nouer une attache amicale dont je prévois construire avec votre expérience littéraire quelque chose de positif dans l'écriture... Merci d'avance pour tout. Je vous embrasse avec une pensée vive de l'autre rive de la méditerranée.

 
 
 

 

De Mourad  
 
Chère Jocelyne, je ne manquerai point de prendre sous peu de temps des photos de votre ancienne demeure à la rue Sadi Carnot, j'en serai parfaitement heureux si cela peut vous faire plaisir... Je suis né au milieu d'une communauté qui se dit pieds noirs, dont je m'efforce de retrouver toute ma ressemblance et je voudrais justement m'exprimer dans ce portrait où je retrouve toute mon identité. .... C'est ainsi, que votre ressemblance dans mon imagination ( rien n'est hasard en cela , je dois notre rencontre à la destinée providentielle...) Je reste en droit d'espérer en vous ce concours de concitoyenne. Ce que en terme de plume j'appellerai le coup de cœur concitoyen...
Je vous embrasse ainsi que toute votre famille , tout en vous envoyant un souffle de Bab-el-oued qui vous salue encore très fort de l'autre rive de la méditerranée. Bien à vous sincèrement et amicalement

 
 
 

 

De Djilali  
 
J'ai 21 ans, algérien d'origine et j'habite au Gué de Constantine à 3km de Baraki, en plus j'ai des proches qui résident et depuis longtemps à Baraki et quand vous connaissez des personnes comme vous qui parle de leur ville natale ça nous fait tellement plaisir. je vous souhaite madame Jocelyne une bonne santé et un retour de nouveau à Alger "soyez les bienvenus".

 
 
 

 

De Jean et Chantal  
 
Un grand merci pour ces jolis poèmes qui nous ont beaucoup touchés, vous avez tant de délicatesse, cela nous va droit au coeur.

 
 
 

 

De Claudia  
 
Je n'ai jamais eu l'occasion de vous dire combien j'avais été émue par la lecture du livre « Il était une fois ma ville Alger la Blanche ». Vous savez rendre à merveille les affres que nous avons subies et avec beaucoup de délicatesse . J'aime beaucoup votre écriture, simple et directe !

 
 
 

 

De Marie-Claude  
 
J'ai une grande admiration pour votre oeuvre , empreinte d'émotion ...

 
 
 

 

De Berthe B.  
 
J'ai lu tous vos livres avec beaucoup d'émotion, et je vous remercie de fixer par l'écriture, la vie et l'Histoire de ce peuple « Pied-Noir » dont nous faisons partie. Vos écrits sont un enchantement pour nos âmes d'éxilés.

 
 
 

 

De Dr De Galléani  
 
Un grand merci pour le plaisir de vous lire

 
 
 

 

De Lucien C  
 
Que 2010 vous inspire, encore et encore car vous savez si bien nous raconter ce pays d'autrefois, cher à nos coeurs.

 
 
 

 

De Liliane H  
 
J'ai lu votre livre avec une attention qui m'a tenu jusqu'au bout. C'est un livre qui touche, un livre authentique qui retrace la vie des gens et à travers leurs histoires retrace l'Histoire du pays. Il fait revisiter le pays, reprendre vie aux souvenirs, refait vivre les évènements douloureux que certains s'obstinent à étouffer, et donne tout son poids aux souffrances ignorées de notre communauté. Merci pour votre témoignage.<

 
 
 

 

De C.D  
 
J'ai commencé à lire votre livre cette nuit "de la Côte turquoise à la Côte d'azur", vos récits sont très imagés, j'aime beaucoup, il ne nous manque que les senteurs, vos livres sont très agréable à lire, c'est un vrai plaisir.
Je viens encore de relire ce magnifique poème "des mots", je le garderai dans mon coeur.
Nous allons l'encadrer, c'est trop beau
Merci beaucoup.

 
 
 

 

De Y.G de Baba Hassen  
 
Une amie de l'autre côté de la "grande bleue" laquelle il est vrai pour nous est au nord, m'a parlé de votre site que je découvre non sans un certain plaisir pour deux raisons, l'une pour cette belle photo des ruines romaines de "Tipasa", l'autre pour votre style littéraire et notamment votre façon de décrire cet univers brulant marqué par l'odeur mythique du jasmin, des grillons et le chant des cigales.

 
 
 

 

De Jean DEROUET de Boufarik  
 
Chère Jocelyne,
"Il était une fois ma ville, Alger la Blanche"
Ce livre est toute ma jeunesse. Vous décrivez avec tant d'émotion la vie de là bas. Que dire de plus : les descriptions et les sentiments sont tellement vrais qu'ils remontent à la surface.
En vous lisant, je ne peux que penser à mon cher village de Boufarik, tout entouré de vignes et d'orangeraies qui embaumaient dès la tombée de la nuit et où je m'y retrouve par la pensée avec beaucoup de nostalgie et de tristesse.
Avec toute mon admiration pour votre si beau travail. Continuez, nous en avons tellement besoin.
Avec toute notre amitié.

 
 
 

 

De J.P  
 
Jocelyne MAS est un auteur Français pour qui le roman est un art qui mêle images et sons, Histoire et histoires, sentiments, beauté et parfums. Cette France que l'auteur aimait d'un amour quasi mystique se retrouve dans son livre "Chez nous en Algérie, la méditerranée était au nord " Par son talent généreux et enfiévré, on est emporté par une rivière de feu, elle brûle de passion qui à notre tour nous enflamme. Félicitations, Bravo et Merci.

 
 
 

 

De H.M  
 
Bravo pour vos ouvrages, chère amie, et pour la mémoire que vous transmettez ainsi.
Bravo aussi pour avoir été élue parmi les 100 Femmes de l'Année.
Grand merci à vous

 
 
 

 

De Sandrine  
 
En repartant mercredi, ce fut magique pour bien des raisons. Le bonheur que vous avez apporté à ma mère et pour moi, la chance d'avoir assisté à vos souvenirs communs. Ma mère m'a souvent parlé de sa vie là-bas et de voir la joie qu'apporte de parler de son pays avec des personnes qui ont partagé ces lieux est fascinant pour moi . Alors bien sûr je vais lire vos livres et je commencerai par "De la Côte Turquoise...

 
 
 

 

De A.P.M.  
 
Amie artiste,
Je viens tout juste, par un bon fruit d'été du hasard, de tomber sur votre biographie sur le net.
Je suis subjugué par tant d'ardeur, d'effort, et de fureur dans votre travail d'écrivain.
J'ai lu avec grand intérêt, votre excellent parcours élogieux.
Je partage vos émotions ainsi que votre bonheur à propos de vos reconnaissances.
Chère amie artiste, je vous dis mille et mille fois bravo !!!
A partir seulement du titre de vos écrits, on aimerait tout de suite lire vos pensées, votre imaginaire que vous savez si bien coucher sur le papier.
Bravo l'artiste,bravo l'auteur.

 
 
 

 

De L.D.  
 
Bonjour Jocelyne,
J'ai lu votre livre "Chez nous en Algérie, la Méditerranée était au nord"
Que d'émotion et que de souvenirs ravivés!

Les odeurs sont revenues plus intenses, les lieux, les fleurs, les fruits, bref la vie, notre vie...
J'ai peu de souvenirs d'Alger : la rue d'Isly et le Milk Bar, la rue Michelet (je crois que c'est là que se trouvait la première supérette de l'époque "Tout à Cent Francs" (vous en souvenez-vous ?), le Forum, le Monument aux Morts, le Jardin d'Essai.
Nous n'y venions que pour des courses et rencontrer des cousins, rue Soleillet près du cimetière d'El Ketar.
J'étais pensionnaire au lycée Fromentin et c'est là que j'ai suivi les concerts de casseroles qui scandaient notre désir de sauver notre pays natal.
Je me souviens de mon premier "Crush" avant l'orangina, sur une terrasse à Fort de l'Eau. C'est d'ailleurs là qu'un militaire que nous recevions chez nous le dimanche, m'a appris à nager. Ce militaire est un ami fidèle depuis cette date.

Le bateau Ville d'Alger : j'ai voyagé à son bord en 1957. Le 30 mai 1962, nous avons pris l'avion et nous avons eu de la chance de récupérer notre voiture, miraculée de la tourmente.

L'instinct de survie de nos ancêtres les pionniers a été ancré dans nos gènes et ce fût un recommencement. Avec plus ou moins de réussite pour chacun. Notre mère patrie a oublié qu'elle avait engendré des enfants au Sud de la Méditerranée. Car outre les Minorquins, Maltais, Suisses, etc .... Bon nombre de nos ancêtres, dont les miens côté des deux branches paternelles, avait fui la mère patrie ingrate ou impuissante qui ne les nourrissait plus.

Notre appellation "Pieds Noirs" est notre signe d'appartenance, de communauté, de peuple migrant, pionniers et enfants, de racines.

L'eau de lune, la grande lessive, la glacière, les piques niques à Baïnem, la mer à Zéralda, route du palmier, Castiglione et ses brochettes, Bains Romains, Cap Matifou, Jean Bart, et tant d'autres noms aussi évocateurs, et aussi le jasmin, la treille de mon père, le figuier, les haricots kilomètres, les nefles, les plaquemines, les caroubiers, les jujubes ...... tout un environnement de couleurs, de senteurs, de bien être, de douceur de vie sous notre soleil, près de notre mer .....

Et puis, mon fennec Youki, mon chien Nanas, mes lézards des sables, mon petit jardin de cactus, ma bicyclette, etc .... tout est là bien vivant et se ........déroule comme une pelote de ficelle ......

Et puis il y a Marie Noëlle. La poupée du Noël de mes 5 ans (je suis née un 14 juillet !!!) que j'avais laissé parce que nous ne devions emporter que le nécessaire. Et je revois ma grand-mère, en septembre 1962, émerger en haut de la passerelle de l'avion qui la ramenait près de nous, avec ma poupée sous son bras. En écrivant ces mots, j'ai les larmes aux yeux d'émotion, de bonheur et d'amour pour ma grand mère.

Cette poupée ne m'a jamais quitté. Elle trône dans ma chambre. Mon mari lui a confectionné un auriculaire en plâtre car elle avait perdu le sien pendant son voyage. Mes petites filles connaissent son histoire. L'aînée a appris à sa petite sœur "c'est la poupée de Milie (c'est ainsi qu'elles m'appellent), elle est très âgée et très fragile", il ne faut pas y toucher.

Je souhaite que cette poupée m'accompagne dans ma dernière demeure. Je tiens à l'avoir près de moi, lorsque j'irais retrouver ma grand mère et tous ceux qui me sont chers à mon cœur. C'est ma croyance.

Voilà, je pourrais encore écrire plusieurs pages. Nous avons tous en nous un point commun : nos souvenirs. Qui que ce soit, où que ce soit, deux Pieds Noirs qui se rencontrent ont au moins un souvenir en commun, alors lorsque nous en avons plusieurs ...... c'est merveilleux, ces rencontres, ces échanges.

Merci pour vos écrits, merci pour nos ancêtres les pionniers, merci pour la mémoire vivante que vous avez transposée, merci de m'avoir fait chaud au cœur.
Merci pour cet hymne d'amour à notre terre natale.

J'espère à bientôt. Avec votre permission, je vous embrasse.
Avec mes sincères amitiés.

 
 
 

 

De Heda FROST "Championne nationale algéroise de natation"  
 
Bonjour

En visitant votre site, je comprends pourquoi vous faites partie des 100 Femmes de l’Année, c’est une belle distinction pour le nombre d'ouvrages que vous avez sortis et leur qualité. Si j’ai voulu quelques précisions sur le contenu de ce qui me concerne, la raison en est qu’un certain nombre d'écrivains se permettent de dire un peu n’importe quoi sous couvert de notre vécu en Algerie.

L'Algerie est ma patrie d'adoption et j ai été fière de faire partie de ce peuple Pied-Noir dont j’ai porté les couleurs en Métropole,et à l'étranger. Je suis ravie de figurer dans votre livre. Et de vous avoir eue comme élève aux Groupes Laïques.

Je vous souhaite tous les succès du monde.

Bien à vous.
 
 
 

 

De Geneviève De Ternant  
 
En commençant ce livre j'ai eu l'impression d'un ouvrage de souvenirs et d'anecdotes léger ; une bulle de savon charmante et irisée. Mais j'ai poursuivi ma lecture. Et non, ce livre n'est pas léger, la bulle a éclaté en larmes. Il est porteur de toutes nos peines, de toutes nos désillusions, de nos espoirs déçus, mais aussi d'autres espoirs dans la solidité des liens familiaux et des fidélités. D'un style simple et touchant, notre compatriote algéroise, à travers les yeux innocents d'une fillette, évoque son enfance protégée puis déchirée et son retour, vingt après sur les lieux de cette enfance pour les trouver quasi déserts, dévastés, en proie à la misère dans cette Algérie meurtrie.

 
 
 

 

De A.L.  
 
Je suis très touché par vos commentaires sur l'Algérie et surtout sur la ville de Baraki car j'habite juste à coté de cette petite ville, moi aussi j'ai des souvenirs d'avant car c'était le bon vieux temps. J'ai fais l'école française et j'ai des bons souvenirs avec mes anciens camarades français. Croyez-moi Madame, au moment où je vous écris ce petit texte, j'ai les larmes aux yeux car je suis né à Maison-Carrée. Merci et je vous dis bonne chance dans votre vie et merci encore.
Amicalement.

 
 
 

 

De J.G.  
 
J'ai commencé à lire ou plutôt, à dévorer ton livre, "De la côte turquoise à la côte d'Azur" je le trouve merveilleusement plaisant, charmant, délicieux, touchant, sincère...il me tarde de m'y replonger! Merci pour ce beau partage de tes souvenirs, si bien retranscrits.

 
 
 

 

De Andrée G.  
 
Que cette année vous apporte l'inspiration pour écrire encore de jolis livres. Car merci d'écrire et de décrire si bien ce que l'on peut penser, se souvenir sans pour autant avoir la capacité de le coucher sur le papier.
Votre dernier livre m'a tellement emballée que je l'ai lu presque d'un trait. Certaines Nouvelles m'ont amusée, d'autres m'ont ramenée vers cette côte, encore si chère à notre coeur, à tel point qu'elle en fait partie ( Grand-Père, les Pionniers) ou ont fait ressurgir de tristes souvenirs ( l'Otomatic, notre Exil). Mamie Rosalie m'a émue et nous fait comprendre qu'il faut toujours garder espoir.
Je pourrai continuer encore et encore.
Bravo! Continuez à nous enchanter et nous serons ravis. Encore merci pour ces belles choses.

 
 
 

 

De Gabrielle B.  
 
Je lis en ce moment votre dernier livre, je vous félicite, il est facile à lire, agréable et frais comme une l'eau de source. Merci encore.

 
 
 

 

De R. Garcia  
 
Chère Jocelyne,
Que notre terre natale alimente encore et encore votre inspiration dont vous nous faites tellement bien profiter à travers vos ouvrages.

R. Garcia.

 
 
 

 

De Claude V.  
 
Chère compatriote,
Vos livres m'ont apporté la connaissance d'une compatriote dont la lecture a été, pour moi, très émouvante et nostalgique à la fois.
En vous lisant, tous mes souvenirs sont remontés à la surface comme si je les avais vécus la veille.
Tous les honneurs et distinctions que vous avez obtenus sont parfaitement mérités car vous avez beaucoup de talent, talent d'autant plus apprécié par vos lecteurs qui partagent les mêmes sentiments que vous.
Vous lire est un plaisir tel que lorsqu'on débute une page, comme des gamins, il nous tarde d'en être à la fin. Et même à la fin du livre.
Merci encore d'avoir écrit ces beaux ouvrages que nous allons relire après les avoir goulument dévorés.

Claude V.

 
 
 

 

De Roger  
 
Chère Jocelyne

J’ai bien reçu tes livres à notre retour de voyage.
Suite à leur lecture, je ne peux qu’employer le tutoiement donner mes impressions. N’y vois aucune familiarité de mauvais aloi, mais seulement l’appartenance à un même groupe ( comme tu le dis en voie de disparition), une forme d’amitié et de complicité auxquelles seul le tutoiement convient. J’espère ne pas te choquer.
C’est d’ailleurs le genre mêmes de tes récits qui m’a conduit à cette démarche. En effet au travers de ton histoire que tu racontes avec beaucoup de sincérité, de courage, de pudeur c’est un peu notre génération que tu racontes.
Tu réveilles en nous des souvenirs d’enfance que j’avais oubliés comme ce contact avec les draps humides lors de la lessive familiale sur la terrasse.. Ailleurs tu parles d’amis communs, tu nous entraînes dans des rues familières à la sortie du lycée ou de la fac, regagnant le domicile familial en flânant avec copains et copines relativement inconscients de l’avenir que l’on imaginait moins sombre..
C’est le mélange des fleurs de Baraki, de la douceur des plages, mais aussi de la violence directe et indirecte que nous avons connue, de l’exode avec son cortège de souffrances et de vexations, du retour douloureux au pays quelques vingt ans après.
De la gaîté, de la peine, de la poésie, mais aussi de l’amertume voire de la révolte, ces sentiments font partie de notre mémoire collective et nous rapprochent dans une forme de communauté familiale.
Mon épouse (qui n’est pas « pied noir ») en lisant tes livres a pu comprendre un peu mieux une période de ma vie dont je lui parle souvent. Elle s’est également retrouvée dans la relation de ton voyage en Algérie en 85. Nous y étions allés deux ans plus tôt, pour elle c’était une découverte bien décevante par rapport à mes descriptions… N’avais je pas rêvé ?? Tes livres viennent confirmer mes dires.

Merci encore de nous raconter car la nostalgie de nos paradis perdus, des souffrances et des joies de notre enfance, pèse d’autant plus sur nos vies qu’elle est méconnue.
Avec Odile nous te souhaitons beaucoup de bonheur et de succès dans la poursuite de ton œuvre littéraire.

Bien amicalement.
Roger.

 
 
 

 

De C.M  
 
Chère Madame,

Félicitations pour votre nouvelle nomination !

C'est une nouvelle consécration de votre talent, que j'ai pour ma part pu apprécier en lisant votre livre sur Alger la blanche, qui m'a permis de me replonger dans cette atmosphère typique et que vous décrivez si bien de l'Algérie et des "Pieds Noirs"qui ont vécus, comme nous même le drame d'une "délocalisation forcée..." Sans flagornerie j'ajouterai que j'apprécie la légèreté et la concision de votre style.

J'ai peu connu "votre pays" mais l'ai beaucoup apprécié, par ses paysages, son ambiance encore sereine à l'époque. J'ai eu l'occasion de faire une partie de mon service militaire, à ma demande à Blida, après avoir fait l'Ecole d'officier de Réserve de Saint Maixent.

J'attends avec impatience de lire vos autres ouvrages.

Bien cordialement

C.M

 
 
 

 

De S.B  
 
Chère Jocelyne,

Je suis toujours éblouie par ta belle façon d'écrire...Un simple évènement devient une date inoubliable ! Je te remercie du fond du cœur pour tant de gentillesse...S.B

 
 
 

 

De L. C  
 
Madame,
J'ai lu votre livre « Chez nous en Algérie, la Méditerranée était au nord ». Je lisais et vos mots m'emportaient vers un ailleurs, de l'autre côté de la méditerranée, dans un coin de terre cher à mon âme, les odeurs, les parfums, la lumière si particulière sont toujours en moi. Et souvent je rêve d'un petit village perdu au milieu des vignes là-bas... Je m'aperçus qu'une plaie vieille de quarante ans saignait encore.
J'approuve votre travail et je l'admire, il témoigne d'un temps que beaucoup de beaux esprits contestent et nient. Merci pour votre courage. Il me réconforte.
Continuez Madame, pour nos enfants et pour que perdure notre mémoire.

 
 
 

 

De Paule Lapeyre  
 
A propos d'un écrivain de Cimiez.

Madame Jocelyne MAS : « Un pays qui n'existe plus ».

« Notre mémoire est une immense bibliothèque dont chaque livre est une page de notre vie » écrit Jocelyne MAS dans « Chez nous en Algérie, la méditerranée était au nord ».
C'est un des trois ouvrages qu'elle a consacrés à ce pays qui fût le nôtre, celui de tous les Français ( chrétiens et musulmans, d'Outremer et de l'Hexagone), et qui est devenu « un pays qui n'existe plus »... C'est pour qu'il existe encore envers et contre tout dans la mémoire et l'imagination des descendants des « Pieds-Noirs », cette « espèce en voie de disparition », que cette « Pied-Noire » a écrit ces livres. Il ne s'agit pas d'un élan de nostalgie stérile et morbide, bien que l'un des chapitres les plus émouvants du livre porte ce titre, c'est une démarche d'Historien qu'adopte Jocelyne MAS.
Car l'Histoire n'est pas faite que d'évènements, de dates et de personnages célèbres dont les rues porteront les noms; les livres d'histoire sont écrits au jour le jour par des gens sans histoires, des livres tissés par leur vie quotidienne, leur travail, leurs joies et leurs larmes. L'Histoire de l'Algérie, certes,c'est la chronique des luttes tribales pour des terres infertiles, des dominations des Barbaresques et des Turcs, c'est la conquête française, la colonie de peuplement ouverte aux émigrés, les apports civilisateurs, sanitaires et culturels du Second Empire et de la République fidèles à la philosophie des Lumières, comme Jocelyne MAS l'a relaté magistralement dans la quatrième partie de son livre intitulée « Réminiscences ». C'est, plus tard, la guerre innommable, le terrorisme F.L.N, ses bombes, ses enlèvements... Tout ceci est fort exactement raconté dans ce livre qui ne veut pas attendre que les soixante ans légaux soient écoulés depuis la fin de la guerre pour que les archives militaires soient ouvertes au public ( pour les autres guerres, trente ans suffisent) – soixante ans d'histoire donnés à l'oubli ! Jocelyne MAS écrit en ce sens un livre d'Histoire qui informe et dénonce la désinformation, une Histoire politiquement incorrecte, peut-être, mais l'Histoire c'est aussi le courant nommé « Histoire des mentalités » et, à ce titre, elle est faite de ces petits riens qui sont tout pour quelques-uns, donc pour pour tous; l'Histoire de l'Algérie, c'est tout un puzzle de petites choses qui recompose la vie exubérante et meurtrie de petites gens comme vous et moi. C'est la mouna de Pâques dans la forêt de Baïnem, la cabassette, la calebotte pour les enfants trop turbulents, le parfum rémanent de la glycine bruissante d'abeilles, de la fleur d'oranger qui sature les routes au bord des orangeraies , c'est le goût acide du jujubier, c'est le bleu du ciel et de la mer qui murmure à chaque page, c'est tout cela que Jocelyne MAS a sauvé de l'oubli et donné à ses descendants qui ne pourront jamais mettre leurs pieds dans cette terre rouge de ce pays. Un pays qui existe encore et pour toujours grâce à elle. Elle a eu le courage de soulever ce « second linceul de la mort » qu'est l'oubli, pour reprendre les termes de LAMARTINE.

Lisez ces trois livres et vous verrez se relever les morts d'hier et de demain, vous verrez l'Algérie française sortir de son linceul d'oubli.

Paule Lapeyre

Livres édités :
Il était une fois ma ville, Alger la blanche.
Chez nous en Algérie, la Méditerranée était au nord
De la Côte Turquoise à la Côte d'Azur »

 
 
 

 

De Lary L.  
 
Chère Madame, je viens de terminer la lecture émouvante de " Chez nous en Algérie"; ce livre, nostalgique d'un paradis perdu, est rempli de couleurs, d'odeurs, de saveurs. Sur le plan de l'écriture, il m'évoque la richesse de substantifs de Jules Verne, l'émotion en plus! Emotion de retrouver l'ambiance de là-bas, mais nostalgie et émotion se transforment en révolte à l'époque des innombrables "devoirs de mémoire" que l'on nous inflige.
Bravo et merci à l'auteur pour ces images si belles et si poignantes.
 
 
 

 

De L. C Marseille  
 
Chère Madame, Dans votre livre « De la Côte Turquoise à la Côte d'Azur » vous tissez des liens entre les deux rives de cette mer que nous regardions jadis au nord ( là je fais référence à votre ouvrage « Chez nous en Algérie, la méditerranée était au nord »). Des histoires d'ici... des histoires de là-bas...elles suggèrent un drame commun, vous passez du Sud au Nord avec dextérité: quel humanisme dans toutes ces pages! Quelle sensibilité! Un amour certain des gens. Qu'ils soient d'ici ou bien d'ailleurs, les hommes, vous nous le rappelez si bien, aiment, pleurent, vibrent, rêvent.
Parmi toutes les aventures humaines relatées dans votre œuvre, celles-ci, sous un ciel plus bleu revivent avec vos mots et me donne le tournis. J'en énumère quelques unes( excusez cette liste trop incomplète):
« L'Arc en Ciel »: l'éphémère, le trompeur qui n'annonce pas la fin de la tempête.
« Autant en emporte le sirocco »: Décoiffant, insupportable vent au souffle ravageur, ensorceleur. Il y a du Scarlett dans Malika.
« Les Pionniers »: Plus forts que la haine avec pour devise: recommencer, toujours. Quel courage ! Ils se savaient vaincus mais n'abdiquèrent pas.
« L'Otomatic » : l'ignoble fait homme. La folie impardonnable.
« D comme départ » : Inhumain. Pouvions-nous faire autrement ?
« Le Talisman » : Sublime.

Je les relirais et m'en imprégnerai encore, y compris celles que je ne cite pas. Il y a les récits: les mêmes passions, les mêmes déchirements, les mêmes petits bonheurs... Peut-on ignorer le fascinant Monsieur Scholss ? Le vent de l'Histoire l'emporte lui aussi. Quelle joie de feuilleter avec lui ses vieux livres, témoins de tant de grandeurs, de tant de faiblesses. Et cette Mamie Rosalie: comment ne pas l'admirer, pathétique Mamie ! Une simple lettre va changer son destin.

Nous, exilés, nous continuons à vivre, nous constatons que malgré nos déboires, nous sommes capables d'aimer, de nous émouvoir, d'apaiser. Il y a un peu de cela dans votre ouvrage. Soyez-en sûre, il ne dormira pas sur une étagère, ces Nouvelles sont si riches qu'elles méritent une re lecture. Persistez Madame, On n'oubliera pas vos écrits.

Cordialement
 
 
 

 

De: Eric A  
 
Votre écriture dans votre ouvrage précédent "Chez nous...en Algérie" montrait parfaitement la douleur des rapatriés. L'articulation du livre entre les souvenirs d'enfance et le déchaînement de l'Histoire amplifiant, si besoin était, le sentiment de déracinement.
Je souhaite un plein succès à votre nouveau livre et vous félicite pour cette nouvelle distinction. Meilleures salutations,
Eric A
 
 
 

 

De: SB  
 
J'ai fini de lire ton livre. Il est vraiment bien. J'ai adoré l'histoire de Malika (Autant en emporte le sirocco), et celle des pionniers (très triste)...Aussi celle de Monsieur Schloss et ses beaux livres.
La confiture de pétales de roses m'a mise l'eau à la bouche...ça existe vraiment ça ??
Bref, un beau moment de lecture. J'ai la tête pleine de soleil, de couleurs, de saveurs...Merci...
Mon mari m'a surtout parlé des pionniers, c'est l'histoire qui l'a le plus touché.
SB
 
 
 

 

De: Paule  
 
Merci

Je viens de terminer la lecture de vos livres. Beaucoup d’émotion et de souvenirs sont revenus à la surface.

J’ai beaucoup apprécié la quatrième partie avec la révolte et la nostalgie ; La documentation sur les faits, les noms des personnages, est impressionnante. Je l’ai lue le ventre noué. J’ai pleuré à certains passages, certains souvenirs revenant avec force.

Dans quelques mois, je les reprendrai, pour les déguster cette fois, avec plus de lenteur. Comme on mange trop vite ce qui est bon, on aime y revenir à nouveau, plus délicatement, pour mieux les apprécier.

Vous avez de merveilleux souvenirs, de plusieurs endroits où je ne suis jamais allée, bien que connaissant leurs noms, pour les avoir entendus chez mes parents.

Vous savez si bien retrouver l’odeur des fleurs par la pensée.

Sincère amitié

Paule
 
 
 

 

De: André Dechavanne  
 
Chère Madame,

Je viens de lire votre dernière oeuvre "De la Côte Turquoise à la Côte d'Azur".
C'est une ample et précieuse poésie, un brin de nostalgie et un romantique amour pour ce pays qui reste dans nos coeurs. On y retrouve ses couleurs, la fraîcheur des bords de mer et la chaleur du sirocco.
Un éblouissement.
C'est aussi l'image d'un petit flocon blanc qui, dans le ciel joue avec les anges.
Une belle illustration donne la main au texte.
Vous avez noyé notre mer de toutes nos larmes.
Quelle belle réussite, c 'est un bouquet de printemps.

Bravo
André Dechavanne
De la Sté des Poètes Français
 
 
 

 

De: Gil HERING  
 
Madame,
Je vous remercie d'avoir écrit ce recueil de Nouvelles qui sont fraîches mais au combien profondes. Fraîches car le style est clair, simple et clair comme l'azur, limpide comme l'eau, lumineux .. Profondes car, avec peu de mots, mais au combien choisis, pesés, vous décrivez tout simplement la vie avec les odeurs, les senteurs, les sentiments, les rencontres, les personnalités ... et ce des deux côtés de la mer... Vous avez rassemblé contes et histoires différentes avec toujours un amour de l'être humain. Chaque personnage apporte sa personnalité et concourt à rendre l'Humanité meilleure.

Vous avez un style poétique c'est à dire que votre prose est empreinte de poésie.

« Vous parlez dans votre éditorial avec beaucoup de délicatesse de votre réinsertion sur la Côte d'Azur, tout en gardant ancrés dans le coeur vos souvenirs rémanents et lancinants du pays natal. »

Gil HERING
 
 
 

 

De: Claude  
 
Je viendrai vous voir à Juan les pins afin de faire connaissance avec la "Femme de l'Année "! Vous parlez dans votre éditorial avec beaucoup de délicatesse de votre réinsertion sur la Côte d'Azur, tout en gardant ancrés dans le coeur vos souvenirs rémanents et lancinants du pays natal. Les termes que vous employez me touchent d'autant plus que j'ai vécu le même déchirement...conjuré en partie toutefois, par le fait d'avoir pu y revenir pour y travailler un temps, puis y être allé ensuite en visite touristique...
Quand vous parlez de Chréa, j'y allais souvent en week-end pour skier, depuis Blida, en passant par les gorges de la Chiffa, pendant mon service militaire au 1er RTA. A bientôt le plaisir de vous rencontrer.
Cordialement C M
 
 
 

 

De: Paule  
 
J'ai déjà fini de lire « De la Côte Turquoise à la Côte d’Azur ».
Je me suis laissée emporter au fil des contes et n’ai pu les abandonner que peu de temps.
J’ai éprouvé tantôt nostalgie, tantôt tristesse, ou retrouvé mon âme d’enfant avec Jean de la lune, la Bosse du chameau, le Talisman et d’autres encore…
Je pense que la prochaine fois que j’irai chez mon médecin, je lui demanderai de me mesurer, j’ai peut-être bien perdu un petit centimètre, moi aussi.
Merci pour ces beaux moments passés avec vous.
Paule
 
 
 

 

De: Dany  
 
Bonjour Jocelyne,
Tu le sais déjà, j'adore tes livres, j'ai beaucoup pleuré, surtout te connaissant depuis que tu es pratiquement à NICE, et pourtant, j'ai encore découvert énormément de moments de ta vie dans ton beau pays. Je suis contente de faire partie de tes amis, je souhaite beaucoup de succès à ton nouvel ouvrage.
 
 
 

 

De: Adrien Nour  
 
Madame Mas, Un grand merci pour avoir pris le temps de me répondre je ne sais comment vous remercier pour votre bonté et votre amabilité.
Je ne suis pas sûr de tout à fait comprendre pourquoi vous me dîtes que vous n'êtes pas "écrivain(e) de métier" ; car d'après ce que j'ai pu lire, vous avez publié au moins deux livres, qui ont tous deux rencontrés un franc succès. Cela est bien suffisant pour moi, tant il est vrai que l'aura d'un écrivain ne se mesure pas au nombre de ses publications. Si vous n'êtes pas écrivain(e) de métier, vous êtes tout de même écrivain, et cela suffit amplement, non ? Merci encore, sincèrement, pour tout ce temps que vous m'avez consacré ; je lirai vos réponses avec toute l'attention et le respect qui vous est dû.
Très cordialement
 
 
 

 

De: Azeddine SAHNOUN - Cité Boumenir Alger  
 
Bonjour,
Je vous remercie, d'avoir eu la bonté de m'envoyer ce précieux message que je garderais comme le plus beau souvenir qu'un être puisse avoir, toutes mes félicitations pour avoir été classée parmi les 100 Femmes de l'Année, enfin, je vous souhaite tout le bonheur du monde.
 
 
 

 

De: Mana  
 
Bonjour Madame, je vous félicite pour ce beau site, c'est par hasard que j'ai découvert votre site.Je faisais des recherches sur mes anciennes Maîtresses de l'école primaire à Alger dont je garde de très bons souvenirs, je ne cesse de parler d'elles à mes enfants malgré les années et la distance qui nous séparent mais elles sont toujours présentes. La vie est faite ainsi et je ne peux que vous dire que votre site est très intéressant, si vous avez besoin de photos sur Alger, je suis à votre disposition, n'hésitez pas, mes amitiés sincères.
 
 
 

 

De: Monique  
 
Bonjour Jocelyne, J'ai bien reçu votre livre qui a fait partie de mes bagages lors de vacances dans ma famille en Anjou. Je l'ai lu d'une traite...et il me donne envie d'en savoir plus sur cette Algérie que je ne connais pas. Je vous livre mes impressions en vrac... : Que de nostalgie et de d'amour dans l'évocation des souvenirs ! J'en suis sortie avec l'impression d'un lieu de paradis terrestre, de pureté, sans doute l'innocence de l'enfance... et puis la fracture, la violence, l'irréparable cassure que vous avez su développer sans tomber dans le misérabilisme... et enfin le lent retour à la vie au milieu d'un chaos non cicatrisé...D'où l'importance du rayon de soleil derrière les nuages, du sourire de l'enfant dans une foule triste... et toute la poésie qui émane de votre texte. J'ai hâte de lire votre prochain livre qui sera justement des textes poétiques si j'ai bien lu les articles de journaux ? J'imagine par la suite toutes ces familles déracinées, ces amitiés brisées. Je vais relire votre livre pour m'imprégner des données d'histoire. Écrire est sans doute pour vous une nécessité pour sortir tout ce poids de silence, de souffrance qui a dû être le lot de beaucoup d'entre vous. Vous êtes leur ambassadeur et notre enseignante. Continuez à écrire Jocelyne comme vous avez commencé avec succès à le faire. Nous avons besoin de savoir, de connaître ce qui s'est passé. Les bouquins d'histoire sont une chose, ce qu'ont vécu les gens sur place a tout autant de richesse voire même plus. Continuez Jocelyne ! Avec ma sympathie
 
 
 

 

De: Zohra  
 
Bonjour Jocelyne, merci beaucoup pour votre message qui était très très touchant et je comprend, ce que vous ressentez.Croyez moi pas mal de gens le ressente, je parle de gens sages, comme vous le savez à ce jour il y a des esprits fermés qui ne veulent pas comprendre l'autre et des deux cotés. Moi, ce que je voudrais dire Dieu nous a créer qu'une seule fois et une fois nous quitterons ce monde le départ sera sans retour donc pourquoi pas ne pas essayer avec un peu de courage de mettre ce passé de coté sans l'oublier, du faite qu'il fait partie de notre histoire commune et guérir cette déchirure afin de profiter des moment qui nous reste à vivre. Pourquoi vous ne revenez pas sur votre terre ça sera un soulagement. Moi je garde le souvenir de mes maîtresses d'école qui m'ont tout donné et qui ont été d'une extrême gentillesse, je vous considère comme une soeur car mes institutrices qui sont au nombre de cinq, notre pharmacien dont j'ai oublié son nom, certains médecins, nos voisines étaient très proches de nous. Il y avait un certain respect entre nous,voila mon 2ème email ,encore une fois merci beaucoup car je ne pensais pas que vous alliez me répondre et si vous voulez des photos sur certains endroits de votre pays je suis à votre disposition et si vous voulez visitez votre pays je vous invite chez moi soyez les bienvenues bon courage et merci.
 
 
 

 

De: Yves Fiol  
 
Je vous félicite très sincèrement, vous êtes également un honneur pour notre petite communauté vouée à l'extinction puisque nous faisons partie des derniers jeunes de l'Algérie Française. Quand le dernier d'entre nous fermera les yeux, que restera-t-il de nous ? Nous aurons toujours tort aux yeux de l'Histoire.
 
 
 

 

De: Rosy  
 
Félicitations pour cette nouvelle distinction ! Toute mon amitié.
 
 
 

 

De: Marc Boronad  
 
C'est merveilleux et les mots manquent sous mon clavier. Je lirai votre oeuvre avec beaucoup de plaisir. mon cher Clos-Salembier fait pâle figure aujourd'hui devant une des cent femmes de l'année.
Je vous dis mon admiration.
 
 
 

 

De: Eric Pereira  
 
Je vous adresse mes félicitations les plus sincères pour cette distinction, parfaitement méritée. Je suis très heureux que tant d'autres lecteurs aient apprécié autant que moi votre ouvrage magnifique.
 
 
 

 

De: Camille Para  
 
Chère Madame,
Nous vous félicitons vivement pour votre nomination parmi les 100 meilleures femmes de l'année,
Et vous assurons de nos sentiments amicaux.
Le Cercle algérianiste et sa revue " l'Algérianiste "
 
 
 

 

De: Sabine  
 
je comprends et ressens mieux certaines choses maintenant... Je passe du rire ou sourire aux larmes, c'est un très beau livre... Mais l'histoire de cette guerre que je ne connaissais pas est affreuse...Je ne pensais pas qu'il pouvait y avoir autant d'atrocités dans un monde comme on dit civilisé !
 
 
 

 

De: Marcel Ferreres  
 
Bravo de figurer parmi les 100 femmes de l'année, comme vous le dites si bien, c'est vraiment un hommage de plus à tous nos parents.
A bientôt Jocelyne, fuerte abrazo comme on disait à Oran et encore bravo.
 
 
 

 

De: Jean-Paul Selles  
 
Bravo Jocelyne ! Sincères félicitations d'un Algérois !! Vous souhaite le succès pour bien faire connaître notre Histoire à nos descendants et aux autres !
 
 
 

 

De: Henry Doucet  
 
Félicitations Jocelyne pour ce classement. J'y vois deux challenges : progresser dans ce classement des 100 Femmes de 2008, et pour cela nous faire des encore-plus-super œuvres littéraires avec nos racines !!
Bien cordialement,
 
 
 

 

De: Gérard Socquet  
 
Toutes nos félicitations de vous voir figurer parmi les100 femmes de l'année. Alain, vos enfants et petits enfants doivent être fiers de vous. Nous avons imprimé les deux photos qui étaient jointes en souvenir.
 
 
 

 

De: Claire Nord  
 
Bravo, vous le méritez! Que 2008 continue à vous donner le courage de continuer votre oeuvre dans la reconnaissance de la Vérité.
 
 
 

 

De: Benamara Ouali  
 
Juste un petit message d'Alger. C'est avec plaisir que j'ai lu votre biographie. Je comprends votre déchirure sur l'Algérie. Je profite de l'occasion pour vous souhaiter mes meilleurs voeux de santé et de bonheur, à l'occasion de la nouvelle année. Moi, je suis berbère et je vis à Alger. Salutations distinguées.
 
 
 

 

De: Jacques PEYRAT, Sénateur-Maire de Nice  
 

Chère Amie,
C'est avec plaisir que j'ai pris connaissance, grâce à votre message, de la récompense que vous venez d'obtenir, à savoir la Médaille de Bronze avec mention "Excellence", pour le manuscrit de votre troisième ouvrage, intitulé "De la Côte Turquoise à la Côte d'Azur" que vous avez présenté au Concours International Littéraire du Centre Européen pour la promotion des Arts et Lettres.

J'ai hâte de me plonger dans la lecture de ce recueil de contes, poèmes et nouvelles dès sa parution tant j'apprécie la qualité de votre plume et vos sources d'inspiration : l'Algérie et la Côte d'Azur. Dans ce pays qui vous a vu naître et auquel vous demeurez fort légitimement attachée, j'ai eu l'honneur de servir sous l'uniforme pour y défendre la présence française ; dans cette région, dont je suis, comme vous, tombé amoureux en la découvrant, j'y ai fixé ma vie : deux points communs entre nous.

Ce fut d'ailleurs pour moi un grand honneur, et un immense plaisir, de rédiger la préface de votre deuxième livre "Chez nous, la Méditerranée était au Nord" lequel, tout comme le premier "Il était une fois Alger la Blanche", avait été couronné par de nombreuses récompenses et distinctions amplement méritées.

En tant que lecteur je me réjouis donc, encore une fois du succès que rencontre votre talent.
Et en tant que Sénateur-Maire de Nice, je tiens à vous dire toute ma fierté de voir l'une de mes administrées mise à l'honneur pour son oeuvre littéraire, preuve, s'il en était besoin, que notre ville est un exceptionnel creuset d'artistes et que la vie culturelle y est intense.
C'est d'ailleurs pourquoi j'ai lancé, comme vous le savez la candidature de Nice au titre de Capitale Européenne de la Culture 2013.

Avec le témoignage renouvelé de mon admiration, je vous prie d'agréer, Chère Amie, l'expression de mes respectueux hommages.

Jacques PEYRAT
 
 
 

 

De:Rosy  
 
Eh oui, Jocelyne, c'est enfin moi... Tu dois te demander ce qui m'est arrivé. En fait, je ne voulais pas te répondre avant d'avoir lu ton livre, et je ne voulais pas lire ce livre avant d'être partie faire le voyage que tous mes collègues et anciens collègues m'ont offert pour mon départ à la retraite. Je voulais profiter de tous mes cadeaux au même moment... Voilà. C'est fait. J'ai entamé ton livre le jour de mon départ (en autocar pour Herculanum, Pompeï, Naples, Capri, Sorrente, Amalfi) et je n'ai pas pu le lâcher avant de l'avoir terminé (le soir, tard, à l'hôtel). Il est super ! J'aime ton style, il t'appartient, mieux : il te ressemble. On te retrouve à chaque instant, quand on te connaît. Ton coeur transparaît à chaque page, à chaque mot, même. J'entendais ta voix à chaque ligne, tu me racontais ta vie. Bravo, vraiment, et très sincèrement. Je suis heureuse d'avoir lu tes souvenirs et fière de te connaître. Honnêtement, si tu en as encore envie, n'hésite pas à continuer à écrire. C'est vraiment très bon, ce que tu fais. Et comme on te sent passionnée et émue, tu nous passionnes et nous émeus par contrecoup. Alors, sache que j'ai été près de toi par la pensée la semaine dernière, encore plus que je ne peux l'être d'habitude, et grâce à ton oeuvre. C'est merveilleux d'avoir eu le courage de mettre en mots toutes ces choses qui te tiennent tellement à coeur et de les offrir en lecture au monde entier. J'admire ! Je regrette beaucoup d'avoir manqué le premier... Enfin, voilà. Je ne sais même pas comment te dire combien j'ai apprécié chaque instant de ma lecture. Mais peut-être qu'il me suffit de te dire toute mon amitié ? Je t'embrasse très fort. Amitiés à Alain et aux enfants. à bientôt. Rosy.
 
 
 

 

De:Christian G.  
 
Vous êtes un poète ( je préfère à poétesse !) vous avez du talent et vous devriez écrire des livres !
C.Garcia
 
 
 

 

De:Arlette  
 
Une amie m’a prêté votre livre « Chez nous en Algérie, la Méditerranée était au nord ». Je vous envoie tout de suite ce mail pour vous dire combien j’ai été heureuse de le lire. Je l’ai lu d’une traite. Rien ne m’a paru plus important que d’en terminer la lecture. C’est un très beau livre et j’ai eu souvent les larmes aux yeux car vous décrivez les évènements avec une telle sincérité, d’un style émouvant et clair, simple et descriptif que nous sommes plongés dans l’histoire et que la réalité n’existe plus. Quand on arrive à la fin on a envie de le relire pour bien s’en imprégner.
Merci à vous pour ce témoignage.
Je vous embrasse
Arlette
 
 
 

 

De:Eric  
 
Salut Mum !
Regarde ce que m'écrit Eric dans un mail:
"le livre de ta maman connait un fort succès : je viens d'acheter le dernier exemplaire à la fnac pour offrir à une amie, et le vendeur m'a dit qu'ils devaient ENCORE passer une nouvelle commande ! Chapeau!"
 
 
 

 

De:Christophe  
 
Mum,

Je viens de finir ton livre, allongé au bord de la piscine,
tu vois je sais me reposer aussi.
J'ai adoré ton livre, je suis vraiment très fier d'avoir des
parents comme vous.
J'espère que dans quelques années tu viendras au "Pebre d'aïe"
raconter à notre fils ou fille les belles choses que tu dis dans ton livre
(pendant que papa regardera un feuilleton américain) et je te promets
dans vingt ans de mettre, avec toi, mon nez dans les archives de la
guerre d'Algérie lorsqu'elles seront devenues publiques.

Gros bisous et félicitations à mon auteur préféré.

Cac !
 
 
 

 

De:Gérard  
 
Bonsoir jocelyne
Merci encore pour tes si jolies pensées ! ces mots ! qui nous rappellent
tant de choses ! et qui restent gravées à jamais dans nos coeurs !
mais à part nous ! il n'y aura plus personne qui saura notre Histoire !
il n'y a que les livres qui resteront, et perdureront notre Mémoire.
A bientôt
Gérard
 
 
 

 

 

De:Gérard  
 
bonsoir jocelyne !
ton poème m'a beaucoup plu !
je garde tous tes écrits, précieusement, dans un dossier !
il y aurait tellement à dire sur ce que tu as écrit !
et à chaque fois celà provoque des remous interminables !
qu'il est impossible d'oublier et encore moins d'effacer !
en plus je me rends compte qu'avec l'âge j'y pense beaucoup !
quand je parle avec les gens d'ici ils ne savent pas la chance
qu'ils ont de ne pas avoir eu à quitter leur Pays !
ils ne savent pas de quoi ils parlent ! !
à bientôt
gérard
 
 
 

 

 

De:Manon 2007  
 
FELICITATIONS
j'ai hâte que le troisieme livre paraisse.
je suis très fière d'avoir une mamy écrivain.
grâce à tes livres je comprends mieux votre peine.
j'espère que tu continueras dans cette voie.
j'ai adoré l'histoire de "mamy rosalie","autant emporte le siroco" et
d'autres.
encore mes felicitations.
Ta Manon
 
 
 

 

  De:Magali - juin 2007  
 
Bonjour Tata,
J'ai dévoré ton livre cette nuit, tu as ajouté des éléments par rapport au précédent non? Cette version est trés réussie.
J'ai beaucoup aimé lire toutes ces histoires de famille avec un petit h et l'Histoire avec un grand H comme on ne nous la raconte jamais : du point de vue des pieds noirs.
C'est bon de savoir d'où l'on vient lorsqu'on choisit où on veut aller dans la vie.
Dans le livre, il y a plein de mots, d'expressions, de superstitions dont j'ai hérité sans toujours savoir d'où cela venait. Je les trimballe à travers la France avec moi...
André est maintenant pour moi un peu moins un mythe (le passage que tu as écrit sur sa campagne africaine puis sur son baptême à Jerusalem est assez fascinant) et un peu plus un personnage en chair et en os et je retrouve la description de ma grand-mère conforme à mes souvenirs et aux descriptions de papa et maman. Bien qu'elle nous ai quitté trop tôt, j'ai de nombreux souvenirs d'une grand-mère merveilleuse et le mimosa, Sainte Rita, les chiffres et les lettres, "la vie en rose" ... (et tant d'autres choses) m'évoquent systématiquement ma mamie.
e t'embrasse Magali
 
 
 

 

  De:Zohra  
 
bonjour Jocelyne,je suis devenue une habituée de ce site malgré moi, je suis entrain de me dimistifier à travers le net et certains messages me replonge dans mon passé lointain , ce passé me renvois vers votre site que je trouve très enrichissant en meme temps ça me permet de me ressource en revivant ces bons moment de souvenirs que j'ai voulu partager. Je voudrais lancer un appel à tous ceux qui pourrons m'aider à retrouver les traces de mes institutrices dont je garde de très bons souvenir d'elles. elles sont: Mme BOBIER de l'école primaire rue zaatcha il y avait que 2 classes et une petite cours, Mme MARCAIS, Mme Chantal BOURDON elle avait une fille qui s'appelait Véronique, Mme Jacqueline BLAZY, Mme DUBOIS et Mme LARTIGE elle avait une fille dont j'ai oublié son nom c'était à l'école de filles Rue VIGNARD c'était de 1959 à 1964 merci à tous zohra
 
 
 

 

  De:Zohra  
 
bonjour à tous et à toute, je viens de découvrir ce beaux site qui m'à rappeller beaucoup de souvenir d'enfance, en meme temps en lisant certains messages je ressent que la cassure et la déchirure elles sont vécues par les deux cote.Je pense qu'après plus de 40 ans il faut éffacer de nos mémoires ces évènements affreux et regarde vers l'avenir avec un esprit d'une reconciliation sans rancune, il faut prendre l'exemple de l'afrique du sud.Je souhaite que l'amour et la fraternité remplace la haine et la rancune dans nos coeur.mes amitiés à Mme Jocelyne.
 
 
 

 

  De:Rachida  
 
Chère Jocelyne J'ai découvert ton site grâce à Sabine qui a mis ton lien sur son blog et que je remercie.Félicitations pour tes livres, j'ai pas eu la chance de les lire mais je suis sûre qu'ils ont formidables avec tous les témoignages des lecteurs, je suis sûre aussi qu'ils sont aux anges rien qu'en les lisant et de retrouver tous leurs souvenirs d'avant. Je sais que c'est pas facile pour vous tous. Bravo à toi et pout tes oeuvres. Je te fais une grosse bise matinale d'Alger
 
 
 

 

  De:Alexandra VERDIER  
 
chère jocelyne, ma grand-mère se joint à moi pour vous souhaiter le meilleur de ce que l'on peut espérer à ceux qui nous sont et nous semblent proches.merci pour votre dernier livre.amitiées sincères,alexandra et fernande, fidèles.
 
 
 

 

  De:Marcelle et Jean-Pierre CAUVIN  
 
Madame,C’est vraiment par hasard (hasard qui n’existe pas) que j’ai découvert dans Nice-matin du 7 novembre 2006 la photo de l’Ecole Normale d’Alger en 1954.Je ne fais pas partie de cette classe mais je vous écris pour un autre sujet. Je suis heureux d’avoir pu relever votre adresse mail car je souhaitais vous écrire.J’ai lu votre ouvrage et je désire vous témoigner toutes mes félicitations. Je ne suis pas rapatrié d’Algérie, mais niçois. J’ai effectué une partie de mon service militaire à Boufarik dans la base d’aviation et, lors de cette période qui s’est déroulée après l’indépendance en 63, j’ai pu découvrir la beauté de votre pays dont je suis resté imprégné.ivre est un hymne d’amour, de tendresse, de détails, sur votre terre. J’y ai retrouvé les sensations que j’avais éprouvées à l’âge de 20 ans. Vous avez transmis vos sentiments aux mots. Etant moi-même très attaché à ma terre natale, je mesure qu’elle fut votre souffrance et celle de vos compatriotes. Je suis heureux de vous apporter mon modeste soutien.Cordialement.
 
 
 

 

  De: Carmen MENA  
 
Chère madame, felicitations pour vos livres.Merci de m'avoir fait revivre mon enfance et un peu de ma jeunesse.J'ai fait un tour avec vous de haut en bas de droite à gauche de cette ville Blanche "Alger " de Sidi Ferruch où les dimanches en hiver on allait manger les moules au vivier. A Zeralda la plage au sable d'or, à Tipasa , à Cherchell voir les singes qui descendaient jusqu'à la voiture chercher les cacahuètes ,les odeurs de jasmin, des orangers en fleurs,(j'ai de la chance car en Andalousie nous avons ces odeurs presque toute l'année) enfin tant de souvenirs de ce beau pays qu'à travers vos ecrits j'ai revu .Bon chère madame merci encore.Je vous envoie un grand bonjour d"Antequera à 45 kms de la Méditerranée au Sud. Carmen.
 
 
 

  De: Eric PEREIRA  
 
Bonsoir Jocelyne,Je m’appelle Eric Pereira, je suis un ami de Christophe. Il m’a offert il y a peu votre dernier livre que vous aviez eu la gentillesse de me dédicacer.Je souhaitais vous remercier vivement pour ce geste d’une part, pour ce livre d’autre part…..mais aussi pour tout ce qu’il contient !Le lire fut un réel moment de bonheur, de partage, de découverte…en un mot, de plaisir.J’ai adoré votre plume. J’ai appris en vous lisant. J’ai rêvé en vous lisant, j’ai tremblé aussi parfois. Il m’est arrivé également de pleurer.Rares sont les gens qui savent si généreusement parler de leurs racines. Rares sont les déracinés qui savent partager si joliment de leurs souvenirs.Fils d’immigré portugais, j’ai souvent perçu chez mon père, comme chez ses compatriotes, cette « saudade » typique de leur pays. Les poètes disent que la « saudade » ne se traduit pas. Les dictionnaires s’y essayent en parlant de « triste souvenir, nostalgie ».« Le bonheur ce n’est pas grand chose, c’est du chagrin qui se repose ». En lisant cette phrase me reviennent en mémoire des flots de souvenirs d’enfance, souvenirs de ces immigrés qui se retrouvaient pour bavarder, pour rire, afin d’oublier un instant que leur terre, leurs racines sont ailleurs, très loin.Puisse votre livre connaître le succès qu’il mérite, et vous montrer ainsi que loin de l’indifférence, un large public se sera reconnu dans votre sensibilité.Merci encore, Jocelyne.Amicalement,Eric.
 
 
 

  De: Danielle Benveniste  
 

"Chez nous en Algérie...", est ce qu'il m'a plu ? Mais c'est bien plus que ça. Je m'y suis mise dés que je l'ai reçu et je l'ai littéralement dévoré regrettant presque de l'avoir lu si vite. Quelle joie, quel plaisir au fil des pages. Grâce à vous, ce fût un vrai bonheur que de remonter le temps. Le temps de notre enfance dans notre si belle ville. Je ne peux vous dire qu'un immense merci pour toutes ces émotions retrouvées. Merci pour tous ces souvenirs ravivés, les tragiques bien sûr et tous les autres, tellement plein d'insouciance et de bonheur qui resteront à jamais gravés dans mon coeur. Je rajoute un mot, un seul et rien d'autre : BRAVO.

 
 
 

 

  De: Morales Claudia  
 
Lorsque j'ai "cliqué" et vu le Jardin d'Essai, bien des souvenirs ont ressurgi du plus profond de ma mémoire, mémoire embuée mais pas éteinte...
Félicitations Jocelyne. Une partie de ma famille demeurait à Hussein-Dey et...j'étais supportrice de l'OHD. Que de souvenirs!!
A bientôt peut-être sur le site et encore mille bravos.
 
 
 

 

  De: Philippe  
 
Je vous félicite de continuer à fire vivre le souvenir d'une terre qui nous manquera toujours.
 
 
 


  De: Marcelle  
 

J'ai terminé la lecture de votre livre après avoir vécu beaucoup d'émotions et versé des larmes contenues depuis de longues années. Vous avez un vrai talent d'écrivain. La simplicité de l'écriture et la sincérité nous amènent à vivre des moments forts empreints de couleurs et d'odeurs. Encore bravo.

 
 
 

 

  De: Ulysse GOSSET  
 

Je viens de terminer votre ouvrage "Chez nous en Algérie, la Méditerranée était au Nord". Je l'ai lu avec beaucoup d'intérêt et de plaisir. Je l'ai fait lire à mes proches. Bien à vous.

 
 
 

 

  De: Georges  
 

Je dévore tout simplement ! Beaucoup de pudeur, mais le petit mot léger et qui fait mouche,c'est tout un art. J'ai souri à l'homme léopard, j'ai eu les larmes aux yeux à la tuerie de la rue d'Isly....Continuez, votre famille peut être heureuse d'avoir une mamie qui raconte et garde son courage. Une belle leçon d'optimisme.

 
 
 

 

  De: Danielle  
 

Ce fut un grand bonheur de vous lire et de retrouver toutes ces sensations enfouies que nous avons tous et toutes en commun. Un grand Merci

 
 
 

 

  De: D  
 

J'ai fortement apprécié vos deux livres et plus particulièrement le second qui est un Chef d'Oeuvre de notre patrimoine alliant votre "saga" familiale à l'histoire de notre terre d'Algérie française. Le ton général de ce livre me plait beaucoup car c'est le langage de la Vérité qui y transparait et met à mal bien des mythes de ceux que nos pairs sont venus défendre sans tergiverser car la Patrie était en danger. Par contre, l'inverse dans les chaumières : les familles se posaient subitement la question de savoir pourquoi il fallait aller défendre ces " manants" qui de l'autre côté de la Méditerranée "faisaient suer le burnous" et "payer le verre d'eau". Sans équivoque, vous avez bien appuyé là où ça fait mal ! Sincères félicitations.

 
 
 

  De: Annie PAILLON  
 
J'ai visité avec émotion et plaisir vos pages. Bravo pour votre oeuvre plaçant un lien précieux et unique entre nous et nos enfants et petits enfants ; la mère patrie ne s'en étant souciée que par un hypocrite silence !!!! Merci du fond du coeur.
 
 
 

 

  De: Jean Michel  
 
Bonjour .tout d abord j ai été a alger en sept 2005 j ai des photos du hamma et d alger pour ceux qui en veulent.reveur83@hotmail.com.
j aiemerai aussi savoir si vous madame jocelyne Mas vous etes parentée des Mas du hamma et champ de maneouvre ancien nom Massot d origine spanish demeurenat a algerie alger. merci pr votre jolie site
 
 
 

 

  De: paillon annie  
 
Votre site est superbe ,Jocelyne,......quelle rencontre si j'ose dire !!!!!! tout d'abord ,cette vue du jardin d'essai .......où,j'ai vécu tant de rêves ..... rue de lyon,hamma, ruisseau .....merci,c'est vraiment peu dire . En dehors des propos "tranchés" ,gardons cette douce "nostalgérie"........ gratitude sincère . J'ai hâte de Vous lire ...... annie .
 
 
 


  De: GERARDIN  
 
Je suis trés content qu'au festival du livre de nice cela marche bien pour vous allez bon courage de la part d'un oranais
 
 
 

 

  De: GARCIA Christian  
 
Ce deuxième livre se lit plus lentement, permettant de savourer chaque page.
J'apprécie beaucoup ce que vous avez ajouté. Je constate que vous avez
toujours la rage au cour et la nostalgie à fleur de peau. Vous avez aussi de
très belles phrases qui pourraient, si vous ne prenez garde, vous conduire à
l'Académie française ! J'ai ajouté l'une d'entre elles sur la dernière page
du CD d'Alger: "La nostalgie est la nourriture des déracinés". C'est
tellement vrai.
 
 
 


  De: IOTTI-COEURET Danièle  
 
Ce fut un grand bonheur de vous lire et de retrouver toutes ces sensations que tous et toutes nous avons en commun Un grand merci!
 
 
 


  De: zidyab  
 
la lecture del'extrait du livre est emouvante et pleine d'une verité qui vous donne froid aux entrailles,malheureusement le livre ne se trouve pas dans leslibrairies algeriennes.je dis un grand bravo à l'auteur que je salue chaleusement...et à qui je souhaite qu'il puisse retourner un jour parmi nous; pour revoir ce qu'ila longtemps cheri...enfin bon courage et beaucoup de santé...et je vous dedie ces vers que j'ai ecrit pour vous.
algerie,
loin,loin je te vois
algerie douce etoile
de mon coeur.
algerie,
loin,loin je te vois
algerie douce princesse
de ma vie
 
 
 

  De: Elyane PUIG-PICHON  
 
Merci mille fois Jocelyne pour votre magnifique site, votre parcours est exemplaire et tout ce que vous dites est tellement vrai, terriblement vrai. Jamais nous ne cicatriserons de cette déchirure, et aujourd'hui qui s'en préoccupe ? Mais heureusement, internet, maintenant à la portée de tous, permet de nous contacter, d'échanger et de témoigner aux yeux du monde. Je vais acheter votre livre et faire connaître votre site à d'autres. Permettez-moi de vous embrasser du fond du coeur. Elyane PUIG
 
 
 

  De: Z.Roudoci  
 
Beau livre tres emouvant.(www.bainsromains.tk)
 
 
 

  De: Marylène Coustaury  
 
Ce livre est votre histoire et pourtant il paraît être l'histoire de chaque pied-noir.
En le lisant j'ai revécu ma jeunesse, les senteurs, les couleurs, et les sentiments étaient si réels qu'il m'ont paru dater d'hier.
 
 
 

  De: Mr Girod Préfet, Co-fondateur de la technopole de Sophia-Antipolis  
 
"Bravo plusieurs fois, votre style est agréable et simple, le fond est plein d'émotion et de vérité. Votre talent entraîne le lecteur dans une véritable épopée. Encore toutes mes félicitations."
 
 
 

  De: Mr Pons Cannes  
 
"J'ai lu votre livre d'un trait, passant par toutes sortes d'états émotionnels. Je vous remercie d'avoir avec tant de talent et de vérité écrit ce livre."
 
 
 

  De: Mr Woignier. Directeur de publication  
 
"A chaque page de votre livre c'est l'amour qui transpire, on va du rire aux larmes avec une infinie tendresse. On ne quitte pas une maison, ses amis, un pays, sans perdre un peu de son âme. Pourtant point de haine, point de remords, mais seulement une volonté de témoigner, de transmettre. Votre prix des Arts et Lettres de France est sans doute une belle récompense, reconnaissance d'une mère patrie qui n'a pas toujours été charitable ici comme là-bas."
 
 
 

  De: Mr Garcia Chirurgien-dentiste. Paris  
 
"Dés les premières phrases, on a d'emblée une envie irresistible de poursuivre la lecture. On tourne chaque page une à une avec une sorte d'avidité, de précipitation. Le temps passe trop vite. Chaque phrase nous touche profondément, parce que l'histoire de Jocelyne Mas, est la nôtre. Le livre fourmille de détails vécus par chaque lecteur. C'est l'histoire des Pieds Noirs qu'elle raconte. Elle décrit parfaitement notre exil, le désespoir de nos grands-parents. Dans ce récit , il y a les odeurs, les couleurs, les saveurs que nous avons tous connu.
Merci d'avoir écrit notre histoire avec des mots simples mais directement émouvants."
 
 
 

  De: Mr Dechabanne. Ecrivain. Mallorca  
 
"Je viens de lire votre oeuvre et j'en suis bouleversé. Vous savez si bien décrire nos paysages, j'ai cru sentir les parfums des fleurs de Baraki. Bravo, bravo Madame, persistez, vous avez un grand talent, une excellente plume, que vous trempez dans l'encre de votre coeur."
 
 
 

Se rapporter au Livre d'Or
  De: Mme Bolier. Avocate, Nice  
 
"En lisant votre livre, j'ai revécu mon enfance avec les senteurs de jasmin, la mouna et les noyaux d'abricots. Au de là des souvenirs votre livre est rare, c'est un merveilleux message d'amour que vous donnez aux vôtres. C'est là un héritage précieux.Vous avez largement su vaincre l'oubli. Tout comme vous j'étais heureuse sans vraiment le savoir."
 
 
 

  De: Mr Revel  
 
"C'est avec plaisir que j'ai appris que aviez eu le prix des Arts et Lettres de France. Je tiens à vous féliciter pour ce travail de mémoire. Ce livre m'a beaucoup touché car nous avons vécu la même enfance de chaque côté de la Méditerranée. C'est un récit triste et gai, émouvant et sincère. Merci et bravo."
Maire de Saint-Laurent du Var, Conseiller général des A.M.
 
 
 

  De: Mr Guido. Adjoint au Maire. Courmes  
  "Merci, Madame, pour ce témoignage plein de sincérité, d'amour, d'émotions et de souffrances aussi."  
 
 

  De: Professeur Moïse Namer. Nice  
  "J'ai passé un trés bon moment à la lecture de votre livre.Merci et bravo."  
 
 

  De: Mme Lacaze. Carros  
  "J'ai lu votre livre en courant, je me suis envivrée de tous les parfums, l'émotion est au rendez-vous. Ce n'est rien que de vous dire Merci Madame. Veuillez me réserver un exemplaire de votre prochain ouvrage."
 
 
 

  De: Mr Garcia-Delmonte. Austin. Texas.  
  "Votre récit est l'illustration de l'histoire de notre peuple. Merci encore et soyez assurée que vous avez en moi un allié de plus, pour la promotion de votre oeuvre, ici auprès de ma tribu dispersée en Europe."  
 
 

  De: Mr Augarde  
  "Bravo et félicitations"
Ancien ministre, de l'académie des sciences d'Outre Mer.
 
 
 

  De: Mme Lagoutte. Toulon  
  "Merci pour votre si beau livre. Si vous donnez une suite, je serai heureuse de l'apprendre."
 
 
 

  De: Mme Simon. Paris  
  "Je vous remercie d'avoir écrit ce livre attachant qui m'a fait pleurer."  
 
 

  De: M. Caillol  
 
"Je vous remercie de votre ouvrage que je viens de lire d'un trait! Pourquoi, si vite, ce n'est pas dans mes habitudes. Votre style est simple et précis, un régal à lire. Félicitations pour votre prix des Arts et Lettres de France."
 
 
 
     

  De: F. Kester  
 
"J'ai lu avec beaucoup de plaisir ces lignes si joliment évocatrices de nos nostalgies de jeunesse, les mêmes, exactement, sur les mêmes lieux, avec les mêmes émotions, les odeurs, les couleurs, les repères si évocateurs eux-mêmes. Actions simples ou sentiments complexes, quelle joie de retrouver sous votre plume élégante, nos souvenirs communs ou parallèles. Vraiment bravo, d'avoir eu le courage de cette entreprise, de l'avoir si bien menée, sans prétention mais avec qualité, celle du ressenti tout simple, sans fard comme les beautés naturelles de notre ville et de notre pays. Bravo et merci pour la trace conservée, le témoignage authentique et frais, chaleureux, passionné de la bonne façon, celle du coeur tout simplement.Encore merci pour ce grand plaisir. A quand la suite?"
F. Kester Directeur général de Côte d'Azur Développement.Nice
 
 
 

 

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